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En mars, c’est poésie

Retour en images sur ce rendez-vous incontournable de printemps, le Printemps des poètes, cette année du 25 au 29 mars avec comme l’année dernière une déambulation poétique de l’Université vers la médiathèque Grand M voisine (16 mn à pied)

Et on peut tout revoir en images animées, et c’est par ici

Pas de Printemps sans poètes…

Cette année, le CRL organisait une session hors les murs de son Printemps des poètes. C’était à la médiathèque Grand M voisine (16 mn à pied). Des poètes venus de l’Université, pour de la poésie en chinois, catalan, arabe, galicien, basque et français, des usagers de la médiathèque… Bref, des poètes du quartier…

 

 

 

La semaine de poésie au CRL est reportée à une date ultérieure, les activités sur le campus étant suspendues actuellement suite à un mouvement de grève et blocage.

A suivre…

Printemps des poètes 2017

Cette année à nouveau la poésie était à l’honneur au CRL.

Des étudiant-e-s et leurs enseignant-e-s récitaient, déclamaient, lisaient des poèmes dans toutes les langues (ou presque) quatre jours d’affilée à l’heure du déjeuner…

Aux manettes comme chaque année Jean Nimis, enseignant d’italien, et pour l’animation et la capture du son (malheureusement et techniquement indisponible sur ce blog), Gilles Pouyol, étudiant au DEFLE et animateur de Radio R’d’autan.


Lundi,
c’était le jour de l‘italien : Ndjock Ngana «Africa» d’un poète camerounais vivant à Rome, du grec : «Willy, le chauffeur-mécanicien du Djibouti», de Nikos Kavvadias, de la Chorale du SCASC, du Français Langue Étrangère avec «Rama Kam» (David Diop), «Femme libre» (Léopold Sédar Senghor), «Un autre départ» (Cécile Oumhani), «Tentative de Jalousie» (Marina Tsvétaïéva), «Mère Afrique» (Fatou Diome), du catalan avec la participation du poète catalan Marc Artigau, du chinois avec «L’Olivier» 橄榄树 – gǎnlǎnshù, de Sanmao (poétesse taïwanaise contemporaine, qui a vécu quelques années dans l’ancien Sahara espagnol).

Mardi, place à l’occitan avec Aurélien de Chaire, «La sang de la tèrra» (A l’Ombra d’un manguièr, 2015), à l’anglais avec Helene Johnson, «Sonnet to a Negro in Harlem», Maya Angelou, «Still I Rise», Antjie Krog, «Country of Grief and Grace», Okot p’Bitek, «We women will never have peace», Odia Ofeimun, «I am a writer», Langston Hughes, «Afraid», Roma Ryan, «Storms in Africa», Langston Hughes, «The Kids in School with Me», au hongrois, au grec à nouveau avec  «Patrice Lumumba : le Saint Noir», poème de Yannis Ritsos, au frioulan : Leonardo Zanier, «Cramârs marochins» (Vendeurs ambulants marocains, 2012) et au français encore et en musique avec Charles Baudelaire, «L’invitation au voyage» et Aimé Césaire, extrait de Debout dans les Cordages

 

 Mercredi, pour le portugais : «Naturalidade» de Rui Knopfli (Mozambique, 1959) et «Monangamba» de António Jacinto (Angola, 1961), l’espagnol (Amérique Latine) : poètes de l’Équateur, du Pérou, de la Caraïbe et de la côte Pacifique; le russe : Nikolaï Goumilev (Никола́й Гумилёв), «La girafe» et «La nuit Africaine», le basque et le galicien.

Jeudi 16 mars, lectures de nahuatl, de japonais, de polonais : Julian Tuwim, «Le Petit Bambo» [Murzynek Bambo] ; Stanislaw Przesmycki et Zofia Vieweger, «Berceuse» [Kolysanka murzynska] ; Aimé Césaire, «Blanc à remplir» et «En vérité», d’allemand : Rainer Maria Rilke, «Der Panther», Yvan Goll «Der Regenpalast» (Le palais de pluie), Ingeborg Bachmann «Dein Schatten» (Ton ombre), Paul Celan «In Ägypten», de latin: extraits du chant IX de l’épopée de Lucain, Bellum ciuile;et d’arabe : Mahmoud Darwich (محمود درويش), «Chant d’amour à l’Afrique» – Mohammed El ‘Id Al Khalifa, «L’esclave noir» – Mohammed Miftah Al-Fitouri (محمد الفيتوري), «Je suis nègre» et «L’aube brise le mur de l’obscurité».