Psychologie

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Le blog Corps et Médecine. Recherches en sciences humaines et sociales, auparavant hébergé par l’Université Toulouse II le Mirail devient un carnet Hypotheses.org, édité par OpenEdition, un portail de ressources électroniques en sciences humaines et sociales.

Le principe est le même, mais de nouvelles fonctionnalités sont à l’étude.

L’adresse à consulter à présent est :

http://corpsetmedecine.hypotheses.org/

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Journée d’étude – Situations de handicap et représentations

Mercredi 11 avril 2012  |  Bonneuil-sur-Marne (94380)

Cette journée d’étude est la seconde d’un cycle de journées annuelles « situations de handicap, formation, apprentissage » organisées par l’université Paris-Est-Créteil (IUFM), en lien avec le centre de recherche CIRCEFT (EA 4384). Ces rencontres sont ouvertes à tous publics, et en particulier aux formateurs, étudiants, chercheurs, professionnels dans le domaine de l’éducation intéressés par des développements méthodologiques et scientifiques concernant les situations de handicap, l’apprentissage et la formation. Il s’agit de présenter des recherches qui conjuguent un intérêt pour la formation et l’apprentissage dans le domaine du handicap, l’enjeu étant de permettre à des chercheurs et praticiens-chercheurs de partager avec un public élargi la méthodologie, l’étayage théorique et les résultats de travaux en lien avec des apprenants à besoins spécifiques.

Au cours de la journée d’étude du 11 avril 2012, quatre chercheurs explorent la question des représentations sociales que des professionnels de l’éducation peuvent construire au sujet d’élèves les renvoyant à un sentiment de profonde altérité, et mettent cette question en lien avec celles des postures et gestes professionnels qui animent le quotidien pédagogique dans une classe.

Les représentations sociales sont des processus et produits d’une élaboration psychique de la réalité qui se construisent tout au long de la vie dans une interface entre l’individuel et le social. Elles permettent à tout un chacun d’inscrire un fait ou une idée dans un schéma de pensée personnel et de le métaboliser pour le rendre compatible avec ce qui lui préexiste intellectuellement et affectivement.Jean-Sébastien Morvan propose une analogie entre un système de représentations et une tragédie grecque, de par le fait que cette dernière « est toujours triple spectacle : d’un présent (on assiste à la transformation d’un passé en avenir), d’une liberté (que faire ?), et d’un sens (la réponse des dieux et des hommes) »[1]. S’agissant de la construction d’une relation d’aide pédagogique avec des élèves à besoins spécifiques, les représentations sociales générées par une rencontre difficile entre enseignement et apprentissage s’apparentent parfois à une tragédie grecque au sens propre, si le potentiel génératif de la pensée est entravé par un déficit d’étayage interne face à une altérité trop déroutante. En considérant les représentations sociales des professionnels de l’éducation en termes d’élaboration et d’actualisation d’une réflexion impliquée dans un contexte interrelationnel spécifique, il devient alors intéressant d’explorer quelles lectures du quotidien ces représentations fournissent et comment elles sont susceptibles d’orienter des décisions, des conduites, des descriptions, des anticipations, des modalités de communication, des formes d’adaptation, etc.

Au cours de la journée d’étude du 11 avril 2012, des chercheurs-praticiens interrogent les représentations sociales sous-tendues par un agir enseignant ou par des propos relatifs à cet agir, en présentant la méthodologie et les résultats de recherches impliquées ou construites en extériorité. Dans leurs études, la question du handicap est envisagée au sens large, c’est-à-dire qu’elle inclut des situations potentiellement handicapantes en termes de devenir personnel, social, professionnel. Chaque intervention est construite suivant un principe d’isomorphie, c’est-à-dire qu’une analyse prenant appui sur des dispositifs de formation dévolus à des enseignants est mise en relation avec une réflexion sur des dispositifs d’apprentissage impliquant des élèves à besoins spécifiques, et réciproquement.

[1] Morvan J.S. (1997). Représentations des situations de handicaps et d’inadaptations, Paris : CTNERHI, p. 23.

Programme de la journée du 11 avril 2011 : « Situations de handicap et représentations »

Discutant : Benoit Lasnier, formateur à l’IUFM de l’université Paris-Est Créteil, professeur agrégé d’EPS, membre de la commission de recherche de l’IUFM.

Matinée : 9 h – 12 h 15

9 h : Accueil et introduction (Benoit Lasnier).

  • 9 h 15 : Pierre Egal, conseiller pédagogique pour l’ASH dans le Val-de-Marne.
    « Représentations institutionnelles et pédagogiques au sujet de l’élève « hautement perturbateur » ».
  • 10 h 15 : Discussion avec l’assistance.

10 h 45 : Pause.

  • 11 h : Patrick Binisti, formateur pour l’ASH à l’IUFM de l’université Paris-Est Créteil, doctorant en sciences du langage, laboratoire MODYCO (Modèles Dynamiques Corpus, université Paris Ouest-Nanterre).
    « Interactions entre professeurs et élèves présentant des troubles du langage et de la communication : étude de la mise en place des formats de Bruner comme leviers de transformation des représentations au sujet des élèves autistes ».
  • 12 h : Discussion avec l’assistance.

12 h 30 : Pause déjeuner.

Après-midi : 13h 45 – 15h 15

  • 13 h 45 : Valérie Barry, formatrice pour l’ASH, IUFM de l’université Paris-Est Créteil, maître de conférences en sciences de l’éducation, laboratoire CIRCEFT (équipe REV). Alexandre Ployé, formateur et responsable des formations pour l’ASH à l’IUFM de l’UPEC, laboratoire CIRCEFT (équipe ESSI).
    « Représentations d’enseignants spécialisés stagiaires au sujet des besoins d’apprentissage de leurs élèves : quelles caractérisations ? Quelles incidences sur la construction de postures et de gestes professionnels ? ».
  • 14 h 45 : Discussion avec l’assistance.

15 h 15 : Synthèse et clôture de la journée (Benoit Lasnier).

Numérisation et enrichissement du présentiel

  • Avant et après chaque journée d’étude, une plateforme collaborative d’échanges (et de mutualisation de documents) en lien avec les contributions proposées est mise en place et animée par les organisateurs de la journée et les intervenants, pendant une durée de quinze jours avant et après chaque rencontre. Il s’agit notamment de pouvoir anticiper et prolonger la discussion engagée, autour de questions qui ont émergé en amont de la journée, qui n’ont pas émergé pendant celle-ci, ou dont la complexité nécessite de prolonger les échanges, d’approfondir et de mettre en réseau les différentes interventions, d’initier une continuité dans le temps de l’événement, mais également d’évaluer celui-ci.
  • L’adresse du site internet, libre d’accès, est : http://www.handiformapprentissage.fr
  • Ce site sera ouvert du 1er au 30 avril 2012. N’hésitez pas à y accéder et y déposer vos questions, suggestions ou remarques, avant et/ou après la journée d’étude.
Contact
  • Valérie Barry
    courriel : valerie [point] barry (at) u-pec [point] fr

    IUFM
    ASH
    Rue Jean Macé
    94861 Bonneuil sur Marne cedex

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Appel à contribution – Le veillissement, la maladie d’Alzeihmer, la dépendance : nouveaux problèmes, nouveaux enjeux. Regards croisés France – Algérie

Mardi 15 mai 2012  |  Tizi Ouzou (15000, Algérie)

La question de la dépendance et de l’accompagnement des personnes âgées est inscrite dans l’agenda politique de nombreux pays en Europe et plus particulièrement en France. Le débat porte d’une part, sur les modes d’accompagnement des personnes ayant des pertes d’autonomie et, d’autre part, sur les systèmes et les modalités de prise en charge financière de la dépendance. Quoique considérés comme pays jeunes, le vieillissement guette aussi les pays du Sud qui vont connaître dans les prochaines années une métamorphose démographique de grande ampleur. Afin de réfléchir sur ces phénomènes, la faculté de sciences humaines et sociales de l’université de Tizi-Ouzou (Algérie) et la chaire de travail social et d’intervention sociale du Conservatoire national des arts et métiers (France) organisent un colloque du 4 au 6 juin à Tizi-Ouzou.

Après avoir réussi le défi de la maîtrise de la fécondité, les pays du Sud auront à faire face à de nouveaux enjeux dont celui de l’accompagnement et de la prise en charge économique et social des personnes âgées. La part des plus de 65 ans augmente de manière beaucoup plus rapide qu’elle ne l’a été en Europe et devrait doubler d’ici 2050 dans l’ensemble des pays du Sud (Afrique, Amérique Latine, Asie du Sud, Maghreb, Moyen-Orient, etc.). Ainsi, un algérien sur cinq aura plus de 60 ans en 2040, soit la même proportion qu’en France aujourd’hui. Ce problème du vieillissement et de la dépendance nous conduit donc à réfléchir tant sur la place des personnes âgées dans nos sociétés que sur les dispositifs publics de prise en charge et les solutions proposées en matière de lieux de vie pour les personnes âgées dépendantes.

Partant de ce constat, ce colloque s’articulera autour de trois axes principaux :

1. Vieillissement, maladie et dépendance des personnes âgées : état des lieux

En France comme en Algérie, la question du vieillissement et de la dépendance des personnes âgées est désormais amorcée et inscrite au rang des priorités de l’action publique. En France,  il existe environ 800 000 personnes âgées très dépendantes parmi les 12 millions de personnes  âgées de 60 ans et plus, dont 860 000 atteintes par la maladie d’Alzheimer. Le nombre des  personnes âgées connaît un accroissement de plus en plus important avec l’allongement de l’espérance de vie (83,8 ans pour les femmes, 76,7 pour les hommes en 2004). Selon l’Institut Selon l’Institut national des études démographiques (INED), 2,3 millions de personnes ont plus de 80 ans ; elles seront 7 millions en 2040. Cette situation pose de multiples problèmes de gestion sociale du vieillissement. Environ 625 000 personnes âgées vivent dans des établissements sociaux, médico-sociaux et des unités de long séjour. Selon leurs besoins, elles relèvent de l’Aide sociale et/ou des dispositifs financés par la Sécurité sociale. Mais 77 % des personnes les plus dépendantes vivent à domicile, chez elles ou chez des proches, ce qui n’est pas sans poser d’importants problèmes pour les familles. Il en va de même en Algérie où les personnes âgées vivent le plus souvent au sein de leur famille, auprès de leurs enfants et de leurs petits enfants. L’obligation sociale et morale de prise en charge des personnes dépendantes est en grande partie assurée par les familles. L’idée de « placer » son père ou sa mère dans une maison de repos est considéré encore comme un abandon et expose les enfants et plus largement tous les membres de la famille à l’opprobre communautaire. Et pourtant, avec l’accès des femmes au marché du travail, l’augmentation du niveau d’instruction et le développement du mariage exogame, les situations de « non cohabitation intergénérationnelle » seront amenées à se renforcer notamment dans les grandes villes où l’on assiste à l’émergence d’un processus d’individuation qui commence à toucher les régions rurales. Toutefois, en l’absence de dispositifs généralisés de protection sociale, l’accompagnement et la prise en charge des personnes âgées et dépendantes relèvent encore des formes de solidarité familiale, renforcées et relayées par les référents religieux.

Le cas le plus visible de maladie invalidante dont les sujets nécessitent différentes formes d’accompagnement est la maladie d’Alzheimer : on estime à 100 000 le nombre de personnes atteintes, dont 10 000 seulement sont reçues dans les consultations médicales. Les « hôpitaux de jour » considérés comme une solution qui allégerait les familles ne sont jusqu’à récemment qu’au nombre de deux centres situés à Alger et Constantine. Les acteurs spécialisés dans l’accompagnement à domicile n’ont au mieux qu’une formation d’infirmier et encore, cet accompagnement n’a pas de caractère institutionnalisé. Par ailleurs, l’Algérie a vécu jusque-là sur des données démographiques qui ne prennent que rarement en compte la frange des plus de 60 ans, en raison de la jeunesse de sa population. Or, depuis 2009-2010, la situation tend à connaître un fléchissement relatif dans la mesure où le troisième âge devient plus visible. Les plus de 60 ans passent de 7,4 % à 7,7 % de la population et cette tendance est appelée à s’amplifier dans la décennie à venir. Les besoins en matière de prise en compte des maladies impliquant une forte dépendance de la personne vont s’affirmer, mais il faudra résoudre la question complexe des acteurs et des professionnels qui doivent accompagner des dispositifs qu’il faut aussi penser.

Cet état des lieux doit nous permettre de définir également les termes du débat. Qu’entend-on par dépendance en France et en Algérie? Si le terme dépendance s’est progressivement imposé en France, quel est son équivalent dans la langue arabe ou berbère ? Toutefois une approche centrée sur le seul critère d’âge n’est pas la plus pertinente car elle ne rend pas justice au fait que la dépendance repose sur des liens d’interdépendance à tous les moments de la vie (Martin, 2006). Autrement dit, la dépendance pourrait tout aussi bien être envisagée comme la base du lien social et de solidarité que comme le fondement de toute relation sociale, sans limitation au seul champ de la vieillesse (Memmi, 1979).

2. Les dispositifs publics et la question de la prise en charge financière de la dépendance

Comment les personnes âgées dépendantes sont-elles accompagnées dans les deux pays ? Comment la prise en charge est-elle organisée, à domicile ou dans des structures de soin adaptées ? Il est clair que le maintien à domicile apparait comme est un objectif prioritaire dans de nombreux pays étudiés et cela pour des considérations à la fois économiques (baisse des coûts au niveau collectif) et humaines (lutte contre l’isolement du malade et des familles).

En Algérie, l’Etat a récemment mis au point un dispositif de protection des personnes âgées et dépendantes en adoptant une loi qui redouble le paradigme traditionnel en innovant en matière d’encadrement professionnalisé. Cette loi privilégie en effet le maintien à domicile et le renforcement des liens familiaux avec une contrepartie assurée par l’Etat comme les soins, équipements nécessaires et pour ceux qui n’ont pas de liens familiaux et qui sont en difficulté une pension équivalente à 2/3 du SNMG (équivalent du Smic en France). D’autre part ces personnes âgées se voient protégées par la loi en cas de maltraitance. En soi la promulgation d’une telle loi indique une prise de conscience d’une question sinon occultée, du moins de faible pertinence dans le contexte démographique et social algérien. Toute la question reste maintenant à « inventer » l’environnement d’une politique sociale à l’endroit de cette population et particulièrement du phénomène de la dépendance.

3. Les acteurs professionnels et familiaux de l’accompagnement des personnes dépendantes : Quels métiers, quelles formations ?

Aujourd’hui dans la plupart des pays européens, la majorité des bénéficiaires de soins de long  terme sont pris en charge à domicile (Malochet, Gimbert, 2011). La multiplication des  dispositifs et des organisations destinées à répondre aux besoins des personnes en difficulté s’est accompagnée d’une spécialisation des intervenants. Dans les années 1980, la question de nouveaux métiers s’est posée du fait de nouvelles politiques publiques : des métiers émergents ont d’autant plus retenu l’attention avec la création d’emplois nouveaux. Ainsi, de nouveaux problèmes se font jour, en particulier à l’occasion des « défis de l’accompagnement du grand âge» , notamment face à la diversification des formules et la multiplication d’expérimentations et d’innovations. Dans ce mouvement, le plan Alzheimer a été l’occasion de créer de nouvelles formules qui déclinent les formes de combinaison de troubles du comportement dont l’évaluation doit être très fine, en complément des MAIA (Maisons pour l’autonomie et d’intégration des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer) : des pôles d’activités et de soins adaptés (PASA) au sein des établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes, « souffrant de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée compliquée de symptômes psycho-comportementaux modérés qui altèrent la sécurité et la qualité de vie de la personne et des autres résidents » ou des unités d’hébergement renforcé (UHR) pour les mêmes personnes, mais cette fois avec des « symptômes psycho-comportementaux sévères », ce qui implique d’utilisation d’échelles de mesure des troubles du comportement , avec des questions de seuil auxquelles les experts médicaux et paramédicaux se confrontent. D’autre part, parmi les intervenants impliqués dans le maintien à domicile, beaucoup ne sont pas des professionnels ayant un statut consolidé. Pour une personne âgée sur cinq, vivant à domicile, l’aide est uniquement formelle, c’est-à-dire émanant de professionnels exclusivement rémunérés à cet effet. Pour les quatre autres, l’aide est soit le fait de proches parents ou consiste en un mélange des deux formules. 7% de la population française répond aux critères de définition d’un « aidant principal », c’est-à-dire consacre une part non négligeable de son temps personnel à aider un proche rendu dépendant par la maladie, le handicap ou le grand âge ; deux millions de personnes sont « aidant principal » selon l’Union nationale des associations familiales (UNAF).

Or, aujourd’hui les compétences spécifiques des aidants familiaux sont mieux reconnues et l’idée avance de les former pour qu’ils acquièrent des compétences supplémentaires. Faut-il pourtant aller dans le sens de l’institutionnalisation des fonctions et de la construction de nouveaux métiers ? En s’institutionnalisant, l’accompagnement social ne risque-t-il pas de s’éloigner de la sollicitude et d’accentuer la distance relationnelle ? Autant de questions qui méritent des approches comparatives à l’échelle internationale et des échanges à la fois entre scientifiques, professionnels, responsables politiques et, autant que faire ce peut, avec des personnes directement impliquées par le vieillissement et la dépendance. L’apport et le rôle des associations oeuvrant en direction des personnes âgées est globalement assez mal connu. Des communications sur cette thématique seront les bienvenues et apporteront sans doute des éléments d’analyse pertinents sur cette question de la dépendance.

Organisation des trois journées :

Trois temps seront consacrés à des comparaisons internationales :

  • la situation des personnes dépendantes (aspects cliniques, sociologiques…)
  • les dispositifs (appui au maintien à domicile, institutions, formules innovantes…)
  • les intervenants (aidants familiaux, professionnels, approches pluridisciplinaires…)

Ces temps alterneront des conférences et des tables rondes

Président d’honneur du colloque : Professeur Hannachi Nacerdine, Recteur de l’UMMTO.

Comité scientifique :

  • Professeur Salhi Mohammed Brahim sociologue (UMMTO/Faculté des sciences humaines et sociales),
  • Marcel Jaeger, professeur titulaire de la chaire travail sociale et action sociale (CNAM-Paris),
  • Dr Recham Ali, Anthropologie de la santé (UMMTO/FSHS),
  • Professeur Aïnes Lahlou (UMMTO/ Faculté de Médecine),
  • Professeur Areski Dalila, psychologue clinicienne (UMMTO/ Faculté de lettres et langues),
  • Dr Nouria Remaoun, directrice du CRASC (Oran),
  • Professeure Tebiche Rabéa, psychologue clinicienne (Université d’Alger ),
  • Professeur Haddab Mustapha (Université d’Alger),
  • Professeure Mimouni Badra psychologue clinicienne (Université d’Oran/CRASC),
  • Mohamed Madoui, professeur au Cnam-Paris,
  • Frederik Mispelblom Beyer, professeur à l’université d’Evry,
  • Jean-Yves Chataigner, directeur d’établissement médico-social,
  • Germaine Peyronnet, ancienne directrice adjointe des établissements de la Croix-Rouge,
  • Saïd Acef, Mission nationale d’appui à la santé mentale.

Comité d’organisation :

  • Boutaba Farid (vice-doyen),
  • Amrouche Hakim chef de département,
  • Slimi Sacia, Chef de Département, Bara Sid Ahmed, Chef de Département,
  • Kherkhour Taous, maître-assistante,
  • Anaris Mohand, maître-assistant,
  • Dahmani Naouel, maître-assistante,
  • Adouri Malika, maître-assistante,
  • Mammeri Samira, maître-assistante,
  • Slimani Malika Maître assistante, Aïci Aziza, maître-assistante,
  • Lamara Mohamed Smaïl, chef de département adjoint.

Les propositions de communication ne dépassant pas une page sont à adresser à Brahim Salhi : brahimsalhi@yahoo.fr

Date limite de réception des résumés : 15 mai 2012

Contact
  • Mohamed Madoui
    courriel : mohamed [point] madoui (at) cnam [point] fr

    CNAM
    2, rue Conté
    1D4P20
    75003 PARIS
  • Brahim Salhi
    courriel : brahimsalhi (at) yahoo [point] fr

    Université de Tizi Ouzou
    Amraoua
    15000 Tizi Ouzou
    Algérie

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Parution – Gérontologie et société

 

Gérontologie et société. Vieillissement et migrations, n°139, 2011/4

 

VIEILLISSEMENT ET NOUVELLES MIGRATIONS SUD-NORD

Laurent Bornia – Système migratoire et métiers du care : comment les évolutions démographiques produisent de nouvelles migrations

Cinzia Castagnaro – Vieillissement et dévieillissement : un débat européen

Christophe Bertossi – Identités professionnelles, ethnicité et racisme à l’hôpital : l’exemple de services de gériatrie

VIEILLIR ENTRE PAYS D’ACCUEIL ET PAYS D’ORIGINE : UN ENTRE-DEUX

Omar Samaoli – Vieillesse des immigrés : quelques interrogations d’actualité

Libres propos. Prendre soin des migrants âgés : le réseau de santé intermed en Rhône-alpes . Entretien avec Fabienne Diebold & Mickaël Soussan

Libres propos. Prendre soin et accompagner les femmes migrantes âgées. Le café social Ayyem Zamen . Entretien avec Moncef Labidi

Chantal Crenn  – « vieillir » dans deux pays : une situation alimentaire « combinée » pour les migrants retraités « Sénégalais » de Bordeaux

Rémi Gallou – Vieillir et mourir en Afrique ou en France ? Regards croisés de deux générations d’immigrés subsahariens

Georges Dorion – Les antillais retraités en métropole : trajets de vie

Aníbal de Almeida – Les Portugais en France à l’heure de la retraite cinquante ans après leur arrivée en france, les portugais parviennent à l’âge de la retraite

S’INSTALLER AU SUD ?

Libres propos. Vivre sa retraite au soleil : représentations idéales, pratiques réelles . Entretien avec Rémy Knafou

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Séminaire – Maladies industrielles et mobilisations collectives

Le séminaire « Maladies industrielles et mobilisations collectives » aura deux séances à une semaine d’intervalle, les 5 et 12 mars, à Paris (centre Pouchet). Il est ouvert à toutes et tous.

Lundi 5 mars 2012 de 10h à 13h :

Emilie Counil (EHESP/GISCOP 93) et Gérard Voide (Collectif des riverains et victimes du CMMP d’Aulnay-sous-Bois) – « Enjeux de santé publique autour d’une ancienne usine de broyage d’amiante : le Comptoir des minéraux et matières premières à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) »

La discussion sera introduite par Pascal Marichalar (CMH, GSPE).

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Lundi 12 mars 2012 de 10h à 13h :

Thomas Le Roux (Maison française d’Oxford) – « Plaintes, oppositions et actions contre les nuisances industrielles, France, 1750-1850 ».

La discussion sera introduite par Gwenola Le Naour (Triangle).
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Lieu : Centre Pouchet du CNRS, 59/61 rue Pouchet Paris 17e (Métro : ligne 13, station Brochant ou Guy Môquet). Salle affichée à l’entrée.

Programme des séances ultérieures :

Lundi 2 avril 2012
Sylvain Laurens (Université de Limoges, CURAPP, GSPE) « La construction d’une protection au travail « raisonnable » du côté patronal : ethnographie au sein d’une fédération professionnelle européenne ».

Lundi 21 mai 2012
Sonia Granaux (Université de Toulouse, IRIS-Paris 13).
« Les CHSCT dans les établissements de fabrication de produits chimiques : trois décennies de confiscation du pouvoir des représentants du personnel et d’influence des réseaux d’alerte en santé au travail (1974-2006) ».

Lundi 11 juin 2012
Pascal Marichalar (CMH, GSPE) et Laure Pitti (Université Paris 8, Cresppa-CSU)
« Recourir à la médecine contre la médecine : les circulations des savoirs médicaux entre ouvriers et médecins dans les années 1970 ».

Plus d’informations sur le séminaire :
http://calenda.revues.org/nouvelle22245.html

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Parution – Sport et VIH. Un corps sous contrainte médicale


Sylvain Ferez & Julie Thomas (dir.), Sport et VIHUn corps sous contrainte médicale, Téraèdre, 2012.

 

 

« Séropositif ». Quand le diagnostic tombe, c’est tout le rapport à soi, et au corps, qui est ébranlé. Les questions fusent, des tensions sont mises en jeu. Et notamment pour ce qui concerne des activités physiques et des pratiques sportives. Tensions existentielles, d’abord : « Vais-je pouvoir continuer à bouger et à vivre? Vais-je pouvoir continuer à exercer mon sport? » Tensions relationnelles, aussi : « Mon nouveau statut sérologique va-t-il être accepté par les autres ? Puis-je en parler à mes partenaires de pratique? »La vision de l’activité physique sous le seul prisme de ses « bienfaits » est très largement partagée par les acteurs du monde du vih. Cherchant à se défaire de cette vision uniquement positive, l’enquête nationale ici présentée porte sur les enjeux de cette définition, ainsi que son influence sur les pratiques effectives. Une manière de respecter le regard des acteurs et de mieux appréhender les processus d’élaboration du sens de leurs activités, et des aspects susceptibles de les orienter ou de les influencer. L’enquête conduit finalement à la mise au jour de tensions qui traversent l’expérience des personnes vivant avec le vih, et à une remise en question des « communautés » classiquement manipulées par l’épidémiologie.

 

 

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Enseignement – La (re) production du genre : sciences, médecine, sociétés


Programme du séminaire de master EHESS (responsable : Ilana Löwy) pour le deuxième semestre 2011-2012.

Les séances auront lieu le lundi de 13 h à 16 h dans la salle 3, RdC, bât.
Le France, 190-198 av de France 75013 Paris), du 13 février 2012 au 2 avril 2012 . Le seminaire est ouvert aux étudiants de master et aux doctorants, ainsi qu’à toute personne intéressée par le thème.

Présentation :

Ce cours étudiera le rôle de la biologie et de la médecine dans la production du masculin et du féminin et leur présentations comme des catégories « naturelles », hors histoire et hors société. Il va se focaliser sur les intersections entre l’histoire des sciences et histoire de genre, le rôle de la science dans la conceptualisation des différences entre les sexes, les redéfinitions du « normal » dans un contexte de biomédicalisation des corps, et sur la place occupés par la « reproduction  » – entendue dans un sens large – dans la production des hiérarchies de genre.

La question du genre sera ainsi abordée à travers l’histoire de la perception scientifique de la dichotomie sexuelle au XIXe et au XXe siècle laquelle a été marquée par le développement de la gynécologie et de l’obstétrique, de la sexologie et la psychiatrie, par celui des recherches sur la physiologie de la reproduction et les hormones sexuelles, ainsi que par les études sur le comportement sexuel « normal » et « déviant ». Parmi les sujets abordés dans cette perspective : l’histoire des perceptions et représentations des différences entre les corps des hommes et femmes ; l’avènement de la gynécologie et de l’obstétrique ; la contraception et la maîtrise de la fécondité en relation avec les politiques de gestion des populations ; l’histoire de la santé maternelle et infantile ; l’eugénisme et la lutte pour produire des bébés de « bonne qualité » ; le « péril vénérien » ; le contrôle et le traitement des stérilités féminines et masculines et le développement des techniques d’assistance médicale à la procréation.

Séances :

. 14 février – Sexe et genre
textes : Delphine Gardey, « Les sciences et la construction des identités sexuelles », Annales HSS, 2006, 61 : 649-673.
Nancy Krieger, Genders, sexes and health : what are the connections – and why its matters ?  » International Journal of Epidemiology, 2003, 32 : 652-657.

. 20 février – Anatomie
Textes : Londa Schiebinger, « Skeletons in the closet : The first illustrations of the female skeleton in eighteen-century anatomy », Representations, 1986, 14 : 42-82.
Sadiah Qureshi, « Displaying Sara Bartman, the ‘Hotentote Venus’, History of Sience, 2004, 42 : 233-254.

. 27 février – Physiologie.
Textes : Elsa Dorlin et Grégoire Chamayou, « L’objet =X : Nymphomanes et masturbateurs XVIIIe – XIXe siècle », Nouvelles questions féministes, 2005, 24(1) : 53-66.
Thomas Laqueur, « Orgasm, generation and the politics of reproductive biology », Representations, 1986, 14:1-41.

. 5 mars – Maternité.
Textes : Irvine Loudun, « Maternal mortality 1880-1950 : Some regional and international comparaisons », Social History of Medicine, 1988, 1(2) : 183-228.
Ornella Moscucci, « Men –midwives and medicine : The origins of a profession », in O. Moscucci, The Science of Women, Cambridge University Press, 1990, pp. 42-74.

. 12 mars – Contraception (non hormonale). textes : Vern L. Bullough,  » A brief note on rubber technology and contraception : The diaphragm and the condom », Technology and Culture, 1981, 22 (1) : 104-111.
Andrea Tone, « Violence by design : Contraceptive technology and the invasion of the female body », in Michael Bellesiles, ed., Lethal Imagination : Violence and Brutality in American History ,New York University Press, 1999, pp. 373-391.

. 19 mars – Hormones.
Textes : Nelly Oudshoorn, Hormones, technique et corps. L’archéologie des hormones sexuelles (1923-1940) », Annales HSS, 1998, . 53 : 775-793.
Margaret Lock, « Anomalous ageing, Managing the menopausal body », Body and Society, 1998, 4(1) : 35-61.

. 26 mars – Diagnostique prenatal. Textes : Silja Samerski , ’Genetic counseling and the fiction of choice : Taught self-determination as a new technique of social engineering », Signs, 2009, 34(4) : 735-761.
Carine Vassy,  » From a genetic innovation to mass health programmes : The diffusion of Down’s Syndrome prenatal screening and diagnostic techniques in France », Social Sciences and Medecine, 2006, 63 : 2041-2051.

. 2 avril – Inter/ transsexe.
textes : Alice Domurat Dreger,  » “Ambiguous sex“ : Or ambivalent medicine ? Ethical issues in the treatment of intersexuality » , The Hastings Center Report, 1998, 28 (3) : 24-35.
Berenice Hausman,  » Demanding Subjectivity : Transsexualism, Medicine, and the Technologies of Gender « , Journal of the History of Sexuality, 1992, 3 (2) : 270-302

 

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Création d’un groupe de travail de jeunes chercheurs (M2/doc/post-doc) en sciences sociales sur le cancer
Depuis quelques temps, un intérêt se fait jour au sein du Réseau des Jeunes Chercheurs Santé et Société autour de l’idée de créer un espace de travail  à l’échelle nationale regroupant des (post-)doctorant-e-s et étudiants de M2 travaillant sur des problématiques liées au cancer.

 

Classiquement, il s’agirait de proposer à l’avenir un certain nombre de journées de rencontre et d’échanges scientifiques régulières autour d’objets, de concepts, de théories ou de méthodes qui nous posent question dans nos recherches et à propos desquels nous pourrions solliciter les éclairages de chercheurs plus expérimentés. Ces Journées de travail pourraient se tenir dans différentes villes (Paris, Marseille, Bordeaux, Rennes, etc.) en fonction des personnes qui souhaiteront s’y investir.

Afin de concrétiser ce projet, nous proposons de tenir une première réunion de préparation/programmation qui se déroulera

Le jeudi 8 mars de 14h30 à 18h
à l’EHESS, 190 avenue de France, Paris 13ème arr.
en salle 576 (5e étage)

avec toutes les personnes intéressées et disponibles en ces lieux et date.

Si le projet vous intéresse, n’hésitez pas à nous contacter (groupecanceretsociete@gmail.com) pour participer à la première réunion ou nous faire part de vos idées pour la constitution de ce groupe. Le cas échéant, merci de préciser en quelques mots la nature de votre recherche.

En vous remerciant de bien vouloir diffuser l’information dans vos laboratoires et réseaux scientifiques,

Benjamin Derbez, Hélène Marche, Emilie Moreau et Zoé Rollin

 

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Journée d’étude – Sport & santé : le bien-être relationnel

Jeudi 08 mars 2012  |  Paris (75005)

Pourquoi des milliers d’anonymes se suivent à la queue leu leu dans les couloirs bondés des piscines ? Quelles sont les motivations profondes des adeptes du fitness ? Réputées pour leurs bienfaits physiologiques, ces pratiques ne sont-elles pas plutôt l’occasion de renouer du lien social ? A priori logiquement antagonistes, rugby et judo peuvent-ils susciter une dynamique socio-affective ? En somme, plutôt que de rappeler une énième fois leurs vertus sur la santé biologique, il s’agira d’envisager une dimension éducative (souvent) oubliée des jeux sportifs : le bien-être relationnel.

8h30-9h00 : introduction

  • Discours d’ouverture d’un représentant de la FFEPGV,
  • de Bertrand During, Pr, Directeur de l’UFR STAPS de Paris Descartes, Directeur du GEPECS,
  • et de Luc Collard, Pr, Directeur de l’équipe TEC

Matinée

  • 9h-9h20 : Le fitness, le bien-être au féminin. Jeanne-Maud Jarthon. Doctorante en Sociologie.
  • 9h20-9h40 : Nager, une pratique de santé ? Valérie Schwob. Professeur agrégé d’EPS, Doctorante en STAPS.
  • 9h40-10h00 : Bien-être relationnel et adversité en judo. Emmanuel Gourmelin, Entraîneur de judo, Doctorant en STAPS.
  • 10h00-10h20 : De la mise en place au décryptage du bien-être relationnel. Le cas de l’équipe de France féminine de rugby à 7. Hélène Joncheray, Maître de Conférences en STAPS,  collaboratrice scientifique à la cellule recherche de la Fédération Française de Rugby.

10h20-10h40 : pause

  • 10h40-11h00 : Le « bien-être » dans la construction discursive de la santé et de l’obésité. Haïfa Tlili, Docteur en STAPS.
  • 11h00-11h20 : « Approche par les capacités » et Praxéologie motrice : une collaboration fructueuse ? Alexandre Oboeuf, Maître de Conférences en STAPS unité HaDePaS.
  • 11h20-11h40 : « Yoga et bien-être ». Ludovic Tenèze, Professeur agrégé d’EPS et Pascal Bordes, Maître de Conférences.

12h30 : pause déjeuner

Après-midi

  • 15h-19h : Assemblée Générale du COREG EPGV IDF
Contact
  • Hélène Joncheray
    courriel : helenejoncheray (at) yahoo [point] fr

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Appel à contributions – Sida, santé et développement : Genre et VIH

 

Avant le 15 avril – Fondation de France

Dans la plupart des sociétés, les statuts des hommes et des femmes diffèrent et sont marqués par des rapports d’inégalité. La propagation du VIH s’en nourrit mais contribue également à les renforcer.

Si l’impact des inégalités de genre sur les populations et sur l’épidémie de VIH/Sida commence à être connu, les déclinaisons pratiques peinent à être mises en œuvre. Dans cette perspective, la Fondation de France souhaite contribuer au progrès des connaissances et à l’évolution des pratiques professionnelles ainsi que des politiques sanitaires.

À qui s’adresse l’appel d’offres ?

Cet appel d’offres concerne les sciences sociales (sociologie, anthropologie…), l’épidémiologie, la santé publique, ou la recherche clinique. Une attention particulière sera accordée aux jeunes chercheurs (doctorants ou post-doctorants). La Fondation de France souhaite financer des projets ayant une utilité potentielle à court ou moyen terme pour les populations concernées. Les terrains de recherche concerneront les zones suivantes :

. les départements français d’Amérique : Antilles et Guyane ;

. l’Afrique ;

. l’Asie : Cambodge, Inde, Laos, Thaïlande et Vietnam ;

. l’Amérique du Sud : Brésil et Argentine.

Quels projets de recherche ?

Une attention particulière sera accordée aux projets portant notamment sur l’un des points suivants :

. l’implication du VIH en termes de santé reproductive ;

. les comorbidités et coinfections (i.e. infection au papillomavirus HPV) ; . les conséquences positives ou négatives sur les femmes du développement des outils de prévention à efficacité partielle (microbicides, circoncision, etc.) ;

. les violences faites aux femmes et leurs consé- quences en termes de VIH ;

. les freins à l’implication des hommes dans la lutte contre l’épidémie à titre individuel (dans leur cellule familiale) ou collectif (au sein de leur communauté), et les propositions d’actions qui en découlent.

Les critères de sélection

La collaboration entre équipes de recherche en France (ou en Europe) et au Sud sera un pré-requis déterminant. La Fondation de France retiendra uniquement :

. lesprojets de recherche innovants élaborés à partir d’une analyse rigoureuse de la réalité des besoins ;

. les projets justifiant l’originalité de leur démarche : la prise de risque intellectuelle sera appréciée ;

. les projets décrivant précisément leurs objectifs et les répercussions attendues (utilité médicale et sociale concrète) ;

. les projets d’une grande rigueur méthodologique.

Les modalités de soutien

Une partie de ces subventions peut servir à financer le salaire d’un post-doctorant et/ou d’un doctorant ainsi que des bourses de mobilité. Ces aides pourront être annuelles (éventuellement renouvelables) ou pluriannuelles (d’une durée maxi- male de 3 ans).

Pour information, le budget global du programme « recherche sida » de la Fondation de France s’élève en 2012 à environ 500 000 euros.

Infos complémentaires :

http://www.fondationdefrance.org/No…)/fre-FR

 

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