Sociologie

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Appel d’offres – Recherche médicale sida

La Fondation de France lance en 2012, pour la sixième année consécutive, un appel à projets « Sida, Santé et Développement – Recherche Médicale ».

La Fondation de France souhaite soutenir des projets de recherche abordant la problématique « Genre et VIH ». Elle souhaite contribuer au progrès des connaissances et à l’évolution des pratiques professionnelles et des politiques sanitaires. Elle entend intéresser des chercheurs de disciplines telles que la recherche clinique, la sociologie, la santé publique, l’anthropologie et l’épidémiologie.

Les terrains de recherche concerneront les zones suivantes :
• L’Afrique,
• L’Asie : Cambodge, Inde, Laos, Thaïlande et Vietnam,
• L’Amérique du Sud : Brésil et Argentine,
• Les départements français d’Amérique : Antilles et Guyane.

Afin de sensibiliser le plus grand nombre de porteurs de projets, nous sollicitons votre collaboration et vous prions de bien vouloir diffuser cette plaquette auprès de vos réseaux et/ou lecteurs.

Par ailleurs, nous vous proposons de consulter ou de signaler notre site www.fondationdefrance.org (rubrique « Trouver un financement ») d’où il est possible de télécharger cet appel à projets ainsi que le dossier de demande de subvention.

 

 

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Mise en ligne des vidéos – Variations sur le corps


Les entretiens Michel Serres et Yves Coppens

Samedi 26 novembre 2011 au Samedi 26 novembre 2011

Lyon – Cité internationale

Yves Coppens, paléontologue et Michel Serres, philosophe, académicien sont les narrateurs de cette journée et s’entretiennent avec les personnalités invitées tout au long de la journée Des séquences fortes, surprenantes, brèves et mises en scène pour appréhender de façon sensible 4 objets du patrimoine :le Musée des Confluences, révèle de façon « inattendue » quatre objets de nos collections en écho aux thématiques des quatre tables rondes. »

Voir les vidéos du colloque : http://webcast.in2p3.fr/events-variations_sur_le_corps

 

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Séminaire – Maladies industrielles et mobilisations collectives (2011-2012)

 

Deuxième année du séminaire. L’objectif de ce séminaire de recherche est d’explorer un champ encore peu stucturé des études en sciences sociales sur les liens entre travail et santé : l’histoire et la sociologie des mobilisations contre les effets sanitaires néfastes des activités de production.

En France ou à l’étranger, des travaux retracent l’institutionnalisation d’une forme de « compromis » rendant acceptables, aux yeux des employeurs et des pouvoirs publics, les accidents du travail et maladies professionnelles induits par l’activité de production. De nombreuses études se penchent plus particulièrement sur une forme d’exposition professionnelle et montrent comment certaines activités industrielles peuvent se perpétuer en dépit de l’existence de savoirs médicaux attestant de leur dangerosité pour les salariés. Des travaux, enfin, mettent en lumière la mise sur agenda médiatique et politique des questions de santé publique en lien avec le travail, que celles-ci concernent les salariés ou les riverains des usines. Dans ce panorama, les travaux sur les mobilisations collectives portées par les salariés eux-mêmes et/ou les riverains concernant les impacts sanitaires de la production restent encore peu nombreux.

Centré sur les « maladies industrielles », selon l’expression du sociologue Paul Jobin, et non exclusivement professionnelles, ce séminaire entend étudier ces mobilisations à l’intérieur et à l’extérieur des lieux de travail, cherchant ainsi à éclairer les croisements mais aussi parfois les logiques de concurrence entre maladies professionnelles et maladies environnementales. Comment s’articulent les luttes des salariés et des riverains – parfois en contradiction lorsque l’emploi des premiers est menacé, parfois en convergence ? Comment les acteurs de ces mobilisations se réapproprient-ils les savoirs médicaux et techniques institués – ou encore contribuent-ils à leur avancée ?

« Maladies sociales avec des aspects médicaux », selon l’expression du pneumologue Irving Selikoff, les maladies industrielles n’ont d’existence que dans un champ de forces où leur réalité, leur gravité et leur étiologie sont remises en cause à chaque instant. Du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui, l’objet de ce séminaire est ainsi d’analyser les conditions de possibilité de mobilisations qui les prennent pour objet, fruits d’alliances improbables entre salariés, riverains, chercheurs, médecins et avocats.

  • Entrée libre. Un lundi par mois : 10-13h.
  • Centre Pouchet du CNRS, 59/61 rue Pouchet Paris 17e (Métro : ligne 13, station Brochant ou Guy Môquet). Salle affichée à l’entrée

Lundi 7 novembre 2011 – séance annulée (et si possible reportée à une date ultérieure)

Frédéric Decosse (IRIS-EHESS)
« La santé des saisonniers agricoles étrangers OMI [Office des migrations internationales] : entre invisibilisation, externalisation et résistances ».

Lundi 5 décembre 2011

Nicolas Hatzfeld (université d’Evry)
« Les malades du travail face au déni administratif : la longue bataille des affections périarticulaires (1919-1972) ».

Lundi 9 janvier 2012

Sezin Topçu (CEMS)
« De l’atome contesté aux « dégâts » du nucléaire ? Controverses sanitaires  et mobilisations sociales dans l’histoire de l’énergie nucléaire en France ».

Lundi 13 février 2012

Emilie Counil (EHESP/GISCOP 93) et Gérard Voide (Collectif des Riverains et Victimes du CMMP d’Aulnay-sous-Bois)
« Enjeux de santé publique autour d’une ancienne usine de broyage d’amiante : le Comptoir des minéraux et matières premières à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ».

Lundi 12 mars 2012

Thomas Le Roux (CRH)
« Plaintes, oppositions et actions contre les nuisances industrielles, France, 1750-1850 ».

Lundi 2 avril 2012

Sylvain Laurens (Université de Limoges, CURAPP, GSPE)
« La construction d’une protection au travail « raisonnable » du côté patronal : ethnographie au sein d’une fédération professionnelle européenne ».

Lundi 21 mai 2012

Sonia Granaux (Université de Toulouse, IRIS-Paris 13).
« Les CHSCT dans les établissements de fabrication de produits chimiques : trois décennies de confiscation du pouvoir des représentants du personnel et d’influence des réseaux d’alerte en santé au travail (1974-2006) ».

Lundi 11 juin 2012

Pascal Marichalar (CMH, GSPE) et Laure Pitti (Université Paris 8, Cresppa-CSU)
« Recourir à la médecine contre la médecine :  les circulations des savoirs médicaux entre ouvriers et médecins dans les années 1970 ».

Contact :

  • Pascal Marichalar
    courriel : pascal [point] marichalar (at) gmail [point] com

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Parution – Prescrire, proscrire. Enjeux non médicaux dans le champ de la santé

 

Cédrick Le Bodic et Anne-Chantal Hardy (dir.), Prescrire, proscrire. Enjeux non médicaux dans le champ de la santé, Presses Universitaires de Rennes, 2011.

Sur quels critères distinguer la composante non médicale d’un acte posé par un professionnel de santé ? Énoncées sous la forme d’un interdit ou d’un ordre, les pratiques témoignent de frontières mouvantes et irréductibles ni à la science ni même à la raison. Les contributions de cet ouvrage se réfèrent systématiquement à des pratiques concrètes, mais les auteurs se saisissent différemment de la dissociation entre médical et non médical. Ces enjeux sont ici repérés dans des champs aussi divers que ceux de la procréation, de la sexualité ou des conduites alimentaires, du point de vue des soignants comme de celui des patients.

Qu’est-ce que « médical » veut dire ?
  • Faire vivre ? La médecine prise « à rebours » dans le champ de la procréation
  • Interdire ? Quand la médecine fait de la morale

Prescrire, proscrire : la médecine passe à l’acte

  • Prescrire un médicament, proscrire la maladie
  • Proscrire le corps souffrant, prescrire un soin

 

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Journée d’étude – Le corps au travail (XIXe-XXe siècles)

 

Journée d’étude organisée par la thématique Santé et Société du laboratoire Framespa (Université Toulouse II le Mirail), Atelier 1.

Université Toulouse II le Mirail

Maison de la recherche – salle D30

12 janvier 2012
9h30 – 17h

9h30

Introduction de la journée, Jean-Yves Bousigue, Bruno Valat (Framespa)

10h

La santé au travail, entre savoirs et pouvoirs (XIXe-XXe siècle), Nicolas Hatzfeld (Université d’Evry), Catherine Omnes (Université de Versailles)

11h

Santé au travail et genre, Catherine Omnes, (Université de Versailles)

Pause déjeuner

14h

Les relations santé-travail : caractéristiques générales et configurations particulières, Valentine Helardot (Université Toulouse II)

15h

Les affections articulaires (tms) d’origine professionnelle : une histoire plurielle, sociale, savante et politique, Nicolas Hatzfeld (Université d’Evry)

16h

L’excellence de la souffrance, Nicolas Adell (Université Toulouse II)

 

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Appel à contribution – La physiognomonie entre représentations et interprétations. Transpositions esthétiques et transferts internationaux du XIXe au XXIe siècle


Colloque international à Montréal le 8 mai 2012

Dès les premières traductions françaises des traités de Johann Kaspar Lavater à la fin du XVIIIesiècle, la physiognomonie a pris une place prépondérante dans l’iconographie et la pensée de l’époque. Très tôt renforcée par la diffusion des traités de phrénologie de Franz Josef Gall, cette théorie paramédicale a suscité une émulation telle qu’elle a contribué à poser les bases de la morphopsychologie, qu’elle a participé au développement de l’anthropométrie et s’est ramifiée en d’innombrables branches parmi lesquelles figurent la physiognomonie zoologique, la physiognomonie ethnologique ou encore la « pathognomonie ». En outre, reposant sur la conviction qu’il est possible d’atteindre les profondeurs de l’intériorité humaine par l’observation d’éléments conçus comme autant de signes à déchiffrer, cette théorie relève du  raisonnement par induction  qui a pris, dans la fiction littéraire, la forme spécifique d’une recherche d’indices et a participé, dans les disciplines médicales, à la méthode diagnostique.

Le postulat selon lequel une connaissance de l’être humain est possible par l’observation minutieuse de ses traits extérieurs – conviction renforcée, à la moitié du siècle, par les possibilités techniques de la photographie – a contribué à enrichir la description, à affiner l’art du portrait et à aiguiser le trait incisif de la caricature. Ayant offert de riches moyens cognitifs et esthétiques d’exploration du monde social au peintre, à l’illustrateur, à l’homme de lettres et à l’historien, ces théories paramédicales ont durablement marqué l’histoire des conceptions et des représentations sociales.

Envisager l’influence de la physiognomonie en termes de diffusion d’un paradigme scientifique permettra de saisir les modalités et de mesurer les enjeux non seulement de la transposition de ce paradigme d’un médium à un autre, mais aussi de sa circulation entre différentes aires géographiques, disciplinaires ou sociales. L’étude des vecteurs suivant lesquels la physiognomonie investit les représentations fera intervenir des corpus variés, issus de contextes culturels allant de la France romantique à la blogosphère actuelle en passant par l’Allemagne nazie de l’entre-deux-guerres. À l’observation attentive des sources primaires (documents historiques, traités médicaux, gravures d’époque, oeuvres picturales, textes littéraires), s’ajoutera une réflexion sur la postérité de ces développements théoriques par l’analyse des discours distanciés, dubitatifs, voire explicitement critiques à leur égard, et ce dès leur toute première diffusion.

Le colloque est ainsi conçu comme un espace de dialogue et de réflexion susceptible d’apporter des éléments de réponse à la double question suivante : de quelle postérité épistémique le modèle d’interprétation et de représentation hérité de la physiognomonie bénéficie-t-il, entre dépréciation et application effective, à partir de la seconde moitié du XIXe siècle ? Comment cette influence s’est-elle répandue ?

Les pistes d’étude suivantes pourront être explorées :

  • la diversité des transpositions esthétiques dans les domaines de la peinture (Girodet, Géricault), de la sculpture (Rodin, Carpeaux, David d’Angers, traitement des allégories) et de la littérature (personnage romanesque chez les « romanciers du réel » dans le sillage de Balzac et Dickens, portraits tératologiques et représentation fantastique du monstrueux, imprégnation corporelle des traces visibles du vice et de la vertu chez Wilde). On s’intéressera particulièrement aux doctrines physiognomoniques comme vecteurs de réflexion sur l’art (esquisses préparatoires, écrits programmatiques, discours fictionnel) ;
  • le développement de petits genres journalistiques, paralittéraires ou parascientifiques amplifiant les postulats physiognomoniques à travers une écriture descriptive en prise sur l’actualité socioculturelle : CodeArt, Hygiène,Physiologie, panorama, chronique, scène de moeurs, sketch ;
  • la possibilité de saisir les manifestations les plus évanescentes et/ou les plus spécifiques de la physionomie humaine, comme celles de la voix, dumouvement, de l’empreinte graphique (naissance de la graphologie) et de lasignature identitaire (adéquation entre signe et signature) ;
  • L’apport de la physiognomonie, en tant que pourvoyeuse de principes prédictifs, à l’astrologie et aux arts divinatoires ;
  • la constitution d’un discours et d’une iconographie critiques – humoristiques ou sérieux – visant à réfuter les apports controversés de ces théories dépourvues de véritable méthode ou à déformer par l’excès leurs principes d’application : caricatures (Daumier, Gandville, Dantan Jeune, Cham et les autres), pamphlets (à l’instar du plaidoyer de Flourens contre les thèses phrénologiques et des satires de Lichtenberg contre Lavater), critiques philosophiques (Hegel, Phénoménologie de l’esprit ; révisions kantiennes) ou littéraires (Bouvard et Pécuchet de Flaubert) ;
  • les distinctions et divergences entre physiognomonie et phrénologie, les idées respectives de Lavater et de Gall ayant été assimilées par l’effet d’une vulgarisation conjointe qui a trop souvent confondu leurs théories. On pourra étudier les raisons de cet amalgame ;
  • la manipulation idéologique des présupposés racialistes dans les discours de propagande, les dérives éthiques de la pensée de l’irrégularité pathologique et les considérations normatives en matière de criminologie depuis la théorie de l’« homme délinquant » de Cesare Lambroso ;
  • le rôle de l’imprimé illustré dans la circulation internationale des principes de la physiognomonie, à travers livres, journaux et traductions, en particulier depuis la langue allemande (les termes Physiognomik, Phrenologie etCharakterologie sont-ils des calques en français ? leurs acceptions sémantiques respectives sont-elles modifiées par la traduction ?) ;
  • la fortune épistémologique de la physiognomonie dans l’historiographie chez d’autres penseurs que Walter Benjamin et Carlo Ginzburg.

 

Le colloque aura lieu au Palais des Congrès de Montréal, dans le cadre du 80e Congrès de l’Association Francophone pour le Savoir (ACFAS), le 8 mai 2012.

Les propositions de communication, d’environ 300 mots, sont à adresser àV.Stienon@ulg.ac.be et wicky.erika@uqam.ca avant le 10 février 2012.

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Appel à contributions – Corps médicalisés, corps autonomes, corps sexuels ? Handicap et sexualité dans une perspective militante, féministe et LGBTQI

 

Colloque organisé dans le cadre des Universités d’Eté Euroméditérranéennes des Homosexualités – UEEH

19 Juillet 2012, BMVR L’Alcazar, 58 Cours Belsunce – 13001 Marseille

Nous recherchons des intervenantEs provenant du tissu associatif, personnel soignant, chercheurEs mais aussi militantEs, artistEs et personnes concernéEs (y compris et surtout des personnes handi).

Présentation :

En France, la sécurité sociale ne rembourse un lit dou- ble médicalisé que pour des personnes handicapées qui peuvent attester qu’elles vivent en couple. Comment une personne handicapée célibataire peut-elle déjà commencer à faire des rencontres ?

Le handicap n’est pas uniquement un fait biologique. L’organisation des institutions, l’accessibilité de l’archi- tecture, de l’espace public tout comme grand nombre de représentations sociales contribuent partout à ex- clure et laisser les personnes handicapés dans l’oubli. La question de la sexualité des personnes handicapées est souvent abandonnée au corps médical — ou aban- donnée tout court. Le corps handi semble un « corps à aider », un corps qu’on réduit souvent à quelque chose qui doit être lavé, soigné, entretenu et réparé, un corps asexuel et asexué, réduit aux obligations médicales, à la dépendance qui l’entoure, le borde et le définit. Peut- on penser des personnes dans ces corps ?

L’accès à la sexualité dans les structures d’accueil et d’hébergement est loin d’être un acquis, autant pour des raisons de règlement, par exemple l’interdic- tion de recevoir des personnes dans sa chambre, ou uniquement « du même sexe » (sic. . . ), ou simplement pragmatico-économiques : un lit médicalisé coûte cher, un lit double encore plus. . . Le milieu associatif hand- icapé [est] toujours fermé aux problématiques d’orien- tation sexuelle, et face à cela, en raison d’un culte de la beauté physique et d’un corps normé, mais aussi du fait de la non accessibilité des lieux sociaux et convivi- aux, le milieu LGBTQIF discrimine les personnes hand- icapées.

Les outils des mouvements de libération des femmes, des gays et des lesbiennes, la reprise de l’injure, la sub- version volontaire des codes de genre, la pensée de l’empowerment, etc, sont-ils pertinents ou réutilisables dans notre cadre ? Comment vivre son orientation sexuelle et/ou ses pra- tiques de genres tant que toute sexualité reste tabou, toute pratique sexuelle refusée ? Comment aborder la question du désir amoureux et/ou sexuel ?

Peut-on imaginer une culture du corps invalide, incom- plet, des modes de vies, sexuels et affectifs subversifs, positifs et nouveaux ?

Comment, pour un valide, passer les différentes bar- rières physiques et symboliques qui limitent a priori la capacité à établir du lien ?

Quels espaces de rencontres et/ou de cohabitations sont possibles ? Qu’est ce qui existe, qu’est ce qui reste à inventer ? Quelle part peuvent jouer, jouent ou ne jouent pas, les politiques d’accessibilité des villes et des bâtiment quant à cette question ?

Cette liste de questions n’est qu’indicative, n’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez proposer d’autres sujets.

Informations pratiques

Les communications dureront de 15 à 30 minutes. Les propositions doivent être envoyées par mail à colloque2012@ueeh.net avant le 30 Mars 2012, les au- teurSEs des propositions retenues seront informéEs au plus tard le 16 Avril. Les textes des communi- cations retenues devront être envoyés avant le 18 Juin 2012, afin de permettre la mise en place de la tra- duction (Traduction simultanée au casque ou par sur- titrage vers l’anglais et l’espagnol, interface LSF sous réserve). Les actes feront l’objet d’une publication sur le site des UEEH.

Infos et contact :

http://www.ueeh.net/

 

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Appel à contributions – Bodies – systems – structures. Masculinities in the UK and the US, 1945 to the present

 

Avant le 15 février 2012 – Dresde (Allemagne)

International Conference, TU Dresden, Germany, 13-15/06/2012 Organizers : Prof. Dr. Stefan Horlacher (TU Dresden), Prof. Kevin Floyd (Kent State University)

Masculinities are routinely studied in one of two potentially incompatible ways : as exemplifying abstract systems such as patriarchy or kinship ; or as concrete, corporeal phenomena. The very term masculinity has hitherto been examined in such a broad range of contexts that it can sometimes appear as a pure abstract form, some kind of configuration or ‘relation‘ practically devoid of any concrete, defining content. We might say the same thing about crisis, a term that seems as persistent as it is exhausted. And even concepts that have become staples of masculinity studies, like hegemony or performativity, seem to be wavering between concrete specificity and theoretical abstraction. This conference will explore masculinity as an idea or a concept that operates across, or at least in relation to, a distance/difference that may or may not be bridgeable : between the systemic and the corporeal, the abstract and the concrete. Thus, this conference will not only encourage scholarly movement in a direction that both builds on re- cent work in the field of masculinity studies and moves past it toward more comparative kinds of analysis, but it will also explore the relations between different abstract and corporeal, metaphorical and metony- mical manifestations of masculinity. With these dilemmas in mind, we invite theoretical, cultural, or literary analyses of masculinities in the US and/or the UK since World War II – a period in which differentiated masculinities proliferate for specifically national and transnational reasons, including global waves of decolonization, changing patterns of migration, the emergence of ‘new‘ subaltern subjects demanding social, cultural, and political recognition, as well as conservative reactions against these developments.

We especially encourage papers with comparative and/or transnational emphases. Possible topics might involve (but need not be limited to) any of the following :

. Masculinities and/as Systems (which systems – military, symbolic, technological, post- or neo- colonial, liberal or neoliberal, political or bio-political – can masculinity embody, exemplify, or perform ?)

. Masculinities as Bodies – Bodies as Systems – Systems as Bodies • Masculinities and/as Structures (structures of feeling, experience, possibility)

. Masculinities and/as Concepts (textual/narrative/discursive, historical/temporal, ethnic/social)

. Masculinities and/as Power (hegemony/kinship/relation to the symbolic order)

. Masculinities and/as ‘Crises‘ (an exhausted abstraction ?)

Please send an abstract of no more than 500 words by February 15th, 2012 to both Prof. Dr. Stefan Horlacher (stefan.horlacher@mailbox.tu-dresden.de) and Prof. Kevin Floyd (kfloyd@kent.edu).

 

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Appel à contributions – Women, Health and Welfare

 

Avant le 16 janvier 2012 – Londres

 

WHN Southern Branch Spring MeetingSaturday 17th March 2012 At Kingston University.

Kingston University’ Centre for the Historical Record (CHR) will host the Spring 2012 one-day conference organised by the Women’s History Network, Southern Branch. The topic is deliberately broad to encourage a wide range of papers and participants interested in the history of women’s health and welfare. In resonance with the CHR’s remit to promote public history, the conference seeks to identify themes from history which resonate with women’s experiences of health and welfare today, and can inform policy makers. Proposals for papers are invited that relate to women either as receivers or providers of health and welfare, in any time period. We are particularly interested in papers which discuss these twin themes in women’s history in the context of public history, which may include a discussion of available archival sources and records.

Conference themes might include those listed below, but we would be interested to receive papers on any theme which falls within the broad remit of the conference, as described above :

Women and HealthPhysical health – different understandings of ‘illness’ and the medicalisation of women’s bodies.

Mental health – changing ideas about treatment and perceptions of women’s relationship with their inner selves.

Sexuality and medical discourse.
Women and Welfare
The impact of welfare policy on women.
The impact of women on welfare policy.
Women as consumers of welfare.
Public History

How can women’s history direct or inform modern media debates in matters relating to women’s health and welfare ? How can women’s history help inform current policy on women’s health and welfare ? How well is women’s health represented in archives ; and discussions on accessibility to relevant records ?

Please send a proposal of 250 words and a short biographical note to Sue Hawkins (s.e.hawkins@kingston.ac.uk) or Nicola Phillips (n.phillips@kingston.ac.uk).

The deadline for the submission of proposals is 16 January, 2012.

 

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Appel à contribution – La santé à l’épreuve des reconfigurations organisationnelles et communicationnelles : enjeux, défis et perspectives

 

Vendredi 27 janvier 2012  |  Montréal (Québec, Canada)

80e congrès international de l’ACFAS

 

Le système de santé est une organisation qui s’ouvre de manière exponentielle à son environnement. Quelles frontières, aussi bien professionnelles que politiques, s’en trouvent redessinées ? Quel visage de la santé en résulte-t-il ? Plus précisément, nous nous intéressons dans ce colloque aux reconfigurations organisationnelles et communicationnels qui travaillent actuellement le domaine de la santé. Par reconfiguration nous voulons faire appel aux multiples figures que prennent les organisations face aux enjeux et défis associés aux services de soins et à la promotion de la santé.

ANNONCE
  • Date : du 7 au 11 mai 2012
  • Lieu : Palais des Congrès – Montréal – Canada
  • Congrès organisé par : ACFAS Association francophone pour le savoir
  • Colloque organisé par : ComSanté, UQAM – Canada / CERTOP UMR5044 CNRS, Toulouse France / CRESPPA UMR7217, Paris France

La santé s’organise dans des institutions ou des réseaux que l’on considèrera comme des organisations. Par organisations de santé nous référons tant aux organisations médicales (les hôpitaux, les cliniques, etc.), qu’aux organisations de promotion et de prévention, voire de gestion de la santé, quelles soient privés ou publiques, internationales, nationales ou locales, à but lucratif ou non lucratif. En plus d’inclure une variété d’organisations formelles dans la notion d’ « organisations » de santé, nous proposons, en suivant en cela Zoller (2010)[1], d’ouvrir la réflexion sur l’organisation en tant que processus de réagencement du social, c’est-à-dire questionner, par la clé d’entrée des processus communicationnels, les formes de constitution et transformation des systèmes de santé. Plus précisément, nous nous intéressons dans ce colloque aux reconfigurations organisationnelles et communicationnels qui travaillent actuellement le domaine de la santé. Par reconfiguration nous voulons faire appel aux multiples figures que prennent les organisations face aux enjeux et défis associés aux services de soins et à la promotion de la santé.

Les organisations subissent des reconfigurations qui posent la question de leurs frontières organisationnelles au regard de l’intégration de plus en plus prononcée d’acteurs de la société civile (les associations de patients, les citoyens auxquels est offert la possibilité de consulter les rapports sur les hôpitaux, par exemple) et d’un Etat préconisant des principes de responsabilisation. Ceci interroge les nouvelles missions des organisations de santé prises entre une mission fondamentale de soin, mais également une mission économique au sens où les contraintes du système de santé poussent à leur gestion maîtrisée ; s’ajoute une mission civique selon laquelle les organisations de santé exercent une responsabilité sociale.

Qu’il s’agisse de nouvelles démarches de gestion, de nouvelles formes de normalisation, de nouveaux standards, de nouveaux acteurs, de nouvelles maladies, ces transformations amènent les organisations à se renouveler, à se reconfigurer. Ces reconfigurations passent par de nouvelles formes de communication, qui visent à assurer aussi bien l’interopérabilité des systèmes – le partage de l’information et des savoirs – que la coordination et la redéfinition des soins. Le besoin de coordination et ses modalités ne s’expriment pas de la même manière selon les contextes sociaux et les contextes organisationnels. Or ces reconfigurations organisationnelles interrogent les transformations associées des activités de communication. Si la notion de « configuration » nous enjoint à saisir les formes, les structures, les « patterns » associés à ces mutations, notons que le préfixe ‘re’ de « reconfiguration » nous en rappelle le mouvement continu – le caractère dynamique des transformations du système de santé – ainsi que son caractère itératif : s’agit-il de configurer afin d’assurer une certaine continuité, de concilier changement et permanence ?

Trois types de reconfigurations sont ici différenciés: (1) les reconfigurations des systèmes de santé nationaux ou internationaux, touchant la viabilité et la mise en cohérence des réseaux de santé, (2) les reconfigurations institutionnelles, touchant les missions des organisations de santé et leurs modes opératoires, (3) les reconfigurations professionnelles, touchant les territoires et les formes de coordination des individus et groupes participant aux service de soins et à la promotion de la santé. Ces trois formes de reconfiguration soulignent l’importance de la mise en cohérence des multiples figures de l’organisation de la santé, figures associées à des impératifs tantôt sociaux ou économiques, tantôt technologiques ou relatifs aux pratiques professionnelles, tantôt administratifs ou éthiques.

Le système de santé est une organisation qui s’ouvre de manière exponentielle à son environnement. Quelles frontières, aussi bien professionnelles que politiques, s’en trouvent redessinées ? Quel visage de la santé en résulte-t-il ? Les axes suivants proposent différentes avenues pour en dresser le portrait.

Axe 1 – Développement des réseaux, reconfigurations territoriales, politiques des soins et relations inter-organisationnelles

Dans les évolutions des systèmes de santé on peut constater des transformations liées aux politiques de santé. Les politiques de gestion des territoires (par exemple, politique de regroupement des hôpitaux en France) ne sont pas sans effet sur la manière de communiquer ensemble et à distance. Il existe des interventions règlementaires ou incitatives qui peuvent changer la donne : le partage des informations en temps réel au travers de réseaux informatisés, le développement du dossier patient, sont autant de dimensions qui interfèrent sur les manières de travailler ensemble, sur un même site et à distance.

La répartition des actes ou des populations à prendre en charge s’appuie également sur un partage renouvelé entre secteur public et secteur privé. On constate par exemple en France un clivage entre les interventions courantes, à faibles risques et bien remboursées, prises en charge par le privé, et celles plus complexes et à risque laissées au secteur public. Qu’en est‐il des autres pays ? Comment se fait le partage entre institutions ? Existe‐t‐il une spécialisation en fonction de critères financiers, sociaux, ou en fonction des types de spécialisation ? La séparation s’accompagne t‐elle de formes de coopérations et lesquelles ?

Les réseaux de soin constituent une forme particulière de relations entre institutions. Les établissements doivent progressivement obtenir des autorisations de prise en charge sur certains types et niveaux de pathologie, selon un dispositif qui dessine différents territoires du soin en même temps que des formes de parcours préconisés. Comment peut‐on caractériser les modalités de la coopération dans ces configurations ? Il sera intéressant de montrer comment se construit le fonctionnement des réseaux de soins dans différents pays, comment les différents acteurs s’organisent entre eux. Peut‐on rapporter la forme d’organisation observée à une prise en charge spécifique liée à une pathologie, ou bien ces prises en charges sont‐elles liées à la composition des réseaux et à la diversité professionnelle de leurs membres?

Axe  2- Formalisation et standardisation, reconfigurations des pratiques professionnelles

On constate un développement des certifications qualité, des règles de sécurité, des dispositifs gestionnaires au plus près de l’activité. Ainsi les politiques publiques de ces dernières décennies ont cherché à introduire progressivement la dimension économique dans la décision de soin. Les transformations des modalités de coordination tiennent également à la formalisation et la standardisation des méthodes et procédures, à travers la protocolisation, les prescriptions de ‘bonne pratique’, et autres recommandations associées à l’évaluation des pratiques professionnelles. Au‐delà des méthodes elles‐mêmes, ce sont aussi les valeurs, les normes professionnelles qui sont travaillées par des référentiels issus du secteur marchand et qui font l’objet de formes diverses d’appropriation (gestion de la qualité, gestion des risques, démarche processus…).

La question du temps et des effectifs est aussi un élément important à prendre en compte. On peut s’interroger sur la manière dont s’accroit l’intensité du travail dans un contexte marqué par la pénurie. Comment évoluent les collectifs de travail ? Y a‐t‐il une montée en puissance des fonctions d’encadrement et une transformation de ses missions, des manières de les conduire ? L’accès à ces fonctions est‐ elle liée à la trajectoire de soin ou constate‐t‐on une diversité dans la manière de pourvoir ces fonctions ?

Axe 3 : Déploiement et reconfigurations associés à la mise en œuvre des technologies dans les systèmes de santé

Au regard des évolutions observables dans les services de santé, il est possible d’identifier deux logiques fortes dans les formes de mobilisation des TIC :

  1. Une logique d’intégration des systèmes d’information des établissements incluant l’extension de cette informatisation aux activités de soins. Les TIC constituent de plus en plus la trame des activités opérationnelles et de gestion, en les imbriquant, en lien avec des objectifs de meilleure efficience,,de maîtrise budgétaire, et de traçabilité requise par les exigences médico légales ;
  2. Une logique de développement de formes d’interopérabilité entre systèmes d’information des établissements et autres opérateurs des réseaux de santé (notamment, médecine de ville), pour assurer le suivi des patients, dans un contexte de parcours de soins marqués par des épisodes de plus en plus spécialisés, mis en oeuvre par une offre de services régionalisée, organisée en termes de complémentarité et privilégiant les soins ambulatoires.

L’offre de solutions informatiques apparaît en bonne part limitée, peu stabilisée, parfois technologiquement dépassée. Comment caractériser cette offre selon les pays, et comment expliquer cette situation ? Comment les établissements opèrent‐ils le choix de déploiement de ces systèmes, quel rôle est attribué aux professionnels de santé ? En quoi ces nouveaux systèmes participent‐ils d’une évolution des activités, de leur coordination, et de la relation au patient ? Les changements dans les modalités de la coordination peuvent être liés aux évolutions des objets techniques (dossier du patient papier ou informatisé, fiches de reporting ou d’enregistrement de l’activité), ainsi qu’aux nouvelles taches qui incombent aux personnels soignants.

L’instauration d’un système d’information de santé n’a pas seulement une finalité comptable et statistique ; elle tend à évaluer l’efficacité des activités thérapeutiques et soumettre l’activité médicale au contrôle de la représentation nationale et des services de l’administration. Ces transformations ne sont certainement pas sans effet sur les charges de travail, la répartition des activités et l’échange des informations, notamment parce qu’elles introduisent de nouvelles dépendances entre services. Ce travail d’organisation est d’autant plus complexe que différentes réformes se succèdent et sédimentent des pratiques, des règles, des habitudes qui se superposent sans toujours permettre le fonctionnement souple et réactif nécessaire aux professionnels.

Axe 4: Les figures du patient en tant que citoyen, partenaire, usager, consommateur….les figures de l’organisation sociétale, partenaire, de service, productrice…

Une autre dimension importante des transformations en cours a trait aux patients et à la façon dont ils s’inscrivent dans la relation de service qui les lie aux professionnels des établissements de soin. Ces évolutions mettent notamment en jeu les transformations du droit des patients, de leur approche des pratiques de soins et leurs rapports aux professionnels de santé en lien avec des évolutions sociales plus globales. La relation de soin est de plus en plus vue comme une coproduction entre les professionnels et les malades. Les patients cherchent dans les médias et via l’internet des informations sur les pathologies et les thérapies, au risque de s’égarer dans cette profusion de discours. Cette nouvelle posture des patients et de leur environnement familial interroge sur l’évolution des rapports aux soignants, au plan notamment de la nécessaire construction de la confiance qui combine diversement connaissances et croyances (Karpik, 2007)[2].

Par ailleurs, le développement des associations de patients, et l’obligation de représentation des usagers au sein de divers conseils et commissions de l’hôpital posent la question de l’effectivité de ce que certains experts appellent la ‘démocratie sanitaire’. En quoi et à quelles conditions cette participation renouvelée des patients contribue‐t‐elle aux transformations des organisations hospitalières ?

Enfin, la montée en puissance du rôle des établissements du secteur privé au sein des réseaux de santé interroge sur les conditions de cet accès au soin, sur l’information dont disposent les patients, et plus largement sur les formes renouvelées des inégalités de l’accès aux soins.

Axe 5 : Le rapport entre établissements de santé, système de santé et société civile : une mission reconfigurée ?

Les établissements de santé sont de plus en plus interpelés dans les média au plan de leur responsabilité dans les maladies nosocomiales, et plus largement du point de vue de la qualité des soins prodigués aux patients. La médiatisation des risques de pandémies interroge également sur le rôle des différents types d’acteurs au sein des systèmes de santé du point de vue de leur prise en charge et de leurs territoires d’intervention. Les formes de rationalisation de l’offre de soins, qui tendent fréquemment à concentrer l’offre sur des pôles régionaux suscitent des réactions au sein de la population, qui manifeste son inquiétude au regard de l’éloignement des établissements de santé. Comment les établissements de santé tentent‐ils d’instaurer de nouvelles relations avec la population ? Peut‐on parler du développement d’un débat public autour des enjeux de santé, sur quelles questions, et quelles formes prend‐il ?

Dans ce contexte, les établissements de santé se voient assignés de nouvelles missions qui dépassent leur rôle premier de soin. Il s’agit de promouvoir et d’accompagner la société dans sa prise en main de la santé. Les Hôpitaux Promoteurs de Santé, par exemple, se doivent d’éduquer – et non plus soigner – non seulement le patient mais aussi le citoyen. La maîtrise de la santé ne relève plus de compétences curatives seules mais d’un transfert de compétences habilitantes pour l’individu dans la prise en charge autonome de sa santé.

Axe 6 : La santé comme domaine d’étude, reconfigurations interdisciplinaires

La santé n’est-elle qu’un domaine d’études parmi d’autres utiles aux chercheurs dans la connaissance de mouvements plus généraux ? Sa spécificité nécessite-t-elle de l’appréhender selon des méthodes, des croisements disciplinaires inédits ? Cet axe insiste sur une dernière figure de la santé – la santé en tant qu’objet d’étude – et encourage à une réflexion questionnant les défis que cette figure soulève afin d’en délimiter les traits.

Conditions de participation

Les auteurs enverront une proposition de communication de 3 000 signes (espaces compris) et un résumé de 10 lignes, en format Times New Roman, caractère 12 et interligne simple,

au plus tard le 27 Janvier 2012.

Cette proposition doit être adressée à : vasquez.consuelo@uqam.ca ; jolivet.alexia@courrier.uqam.ca

Les propositions de communication ainsi que les articles feront l’objet d’une évaluation en « double aveugle » par les membres du comité scientifique. Les communications sélectionnées seront réparties en ateliers (voir les thématiques). Il conviendra donc pour les auteurs de rendre leurs propositions d’articles anonymes, en envoyant deux types de documents :

  1. Une fiche en format A4 comprenant le titre de la proposition d’article, le nom de l’auteur, son rattachement institutionnel, sa fonction, ses adresses électronique et postale, son numéro de téléphone : merci de bien compléter ces informations, elles sont requises dès soumission pour que nous puissions vous faire figurer sur le programme de l’ACFAS ;
  2. En format A4, le titre de la proposition d’article et le texte de l’article.
  • Décision du comité scientifique : 15 Février 2012
  • Remise des contributions (20 000 à 30 000 signes) : 6 Avril 2012

Publication des actes

Les actes  seront publiés sur le site du Centre institutionnel de recherche sur la communication et la santé de l’UQAM – ComSanté.

Tout participant-contributeur au colloque doit s’inscrire au congrès de l’ACFAS (http://www.acfas.ca/congres/). L’inscription (1) donne accès à toutes les séances du congrès et (2) donne droit à l’abonnement à la revue Découvrir.

Compte tenu des règles de l’ACFAS, les communications seront mises en ligne après inscription au congrès.

Responsables scientifiques de la manifestation

  • Anne Mayère, Professeure en sciences de l’information et de la communication, Université de Toulouse, CERTOP, UMR 5044, Centre d’Etude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir
  • Consuelo Vasquez, Professeur adjointe au département de communication sociale et publique de l’Université du Québec à Montréal, ComSanté: Centre de recherche sur la communication et la santé
  • Régine Bercot, Professeure de sociologie, Université Paris 8, Laboratoire CRESPPA, UMR 7217, équipe Genre Travail Mobilité
  • Alexia Jolivet, Stagiaire postdoctorale au Laboratoire ComSanté, Centre de recherche sur la communication et la santé, Université du Québec à Montréal, et chercheure au CERTOP, Centre d’Etude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir, UMR CNRS 5044 Université de Toulouse.

Calendrier :

  • Date limite de réception des propositions de communication : 27 janvier 2012
  • Evaluation par le comité scientifique : du 27 janvier au 15 Février 2012
  • Retour vers les auteurs : 17 février
  • Envoi par les auteurs de leur communication : 6 avril 2012

Renseignements: vasquez.consuelo@uqam.ca ;  jolivet.alexia@courrier.uqam.ca ;  anne.mayere@iut-tlse3.fr ; regine.bercot@gtm.cnrs.fr

Notes

[1] Heather M. Zoller (2010). What Are Health Organizations? Public Health and Organizational Communication. Management Communication Quarterly. 24(3) 482–490

[2] Karpik L., (2007), L’économie des singularités, éd. Gallimard.

Contact
  • Anne Mayere
    courriel : anne [point] mayere (at) iut-tlse3 [point] fr

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