La Licence Pro EDL, c’est surement ceux qui y sont passés qui en parlent le mieux. Camille Brunel, de la promo 2009-10, s’est prêté au jeu des questions/réponses.

Comment es-tu arrivé dans la Licence Pro EDL ? 

Suite à mon BTS ACSE dans l’enseignement agricole, je voulais un diplôme d’université de l’éducation nationale, c’est donc pour cela que la Licence Professionnelle Entreprises et Développement Local fut mon premier choix. Une licence qui mélange des moments théoriques et des moments pratiques.

Avec le recul, comment vois-tu ton année en Licence Pro EDL ?

Sur les premières semaines, compliqué car les moments théoriques représentent une grosse partie, mais qui est nécessaire.

Ensuite les Projets Tuteurés et les stages procurent un bol d’air, d’indépendance, de travail en équipe et également des prises de conscience du métier à venir.

Quel a été ton parcours professionnel après la Licence Pro EDL ?

J’ai donc réalisé mon stage à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat avec comme mission l’organisation d’une manifestation ludique sur l’artisanat ariégeois.

Suite à ce stage et vu mon intérêt pour le sport, le directeur m’a proposé un entretien d’embauche pour un poste de délégué départemental d’une fédération sportive.

Avant même mon oral de licence pro, j’avais signé mon contrat avec l’association pour un poste qui m’a paru important à 23 ans !

Maintenant, quel est ton métier et quelles sont tes missions ? 

A aujourd’hui, je suis directeur du GESCO (groupement d’employeur des Sports Collectifs) Ariégeois et également délégué départemental de l’UFOLEP

Mais missions sont:

• gestion et animation du comité et du groupement d’employeur

• coordination des salariés du GESCO (ressources humaine + accompagnement et suivi de projet).

Un conseil pour les étudiants qui sortent aujourd’hui de la Licence Pro EDL ? 

Ne pas lâcher les premiers temps de la formation car tout est utile. C’est la deuxième partie de la Licence est très intéressante pour votre avenir.

Un seul mot à retenir « RESEAU ». Cette formation a un grand et bon réseau sur le département et être étudiant dans cette formation vous ouvre des portes. Par contre, il faut travailler : «  ON A RIEN SANS RIEN »