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Sylvia POLDERZONI / Thèse qui peut 2021 #3

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Résumé

Dans le cadre de la Fête de la Science 2021, toutes les bibliothèques du campus, en collaboration avec le CPRS, se sont associées pour vous proposer une nouvelle édition de « Thèse qui peut ! », qui s’est déroulé du 4 au 8 octobre 2021. Ainsi, la recherche s’invite dans les centres de ressources et à la BUC avec de nombreux doctorant.es et docteur.es venus présenter leurs travaux et leurs parcours. Nous vous invitons à les écouter !

Épisode #3 : Silvia Federzoni (laboratoire CLLE) : « Typologie des chaînes de référence à la lumière de corpus annotés diversifiés »

Fiche technique

Auteur(s) : Sylvia POLDERZONI 

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès. (DTICE / CPRS)

Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD

Editeur : SCPAM /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : octobre 2021

Durée du programme : 6 min

Langue : Français

Conditions d’utilisation / Copyright : Tous droits réservés à Université Toulouse – Jean Jaurès et aux auteurs.

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Lea POLVERINI / Thèse qui peut 2021 #2

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Résumé

Dans le cadre de la Fête de la Science 2021, toutes les bibliothèques du campus, en collaboration avec le CPRS, se sont associées pour vous proposer une nouvelle édition de « Thèse qui peut ! », qui s’est déroulé du 4 au 8 octobre 2021. Ainsi, la recherche s’invite dans les centres de ressources et à la BUC avec de nombreux doctorant.es et docteur.es venus présenter leurs travaux et leurs parcours. Nous vous invitons à les écouter !

Épisode #2 : Léa Polverini (laboratoire LLA-CRÉATIS) : « Révoltes et dérision dans les littératures arabes modernes et contemporaines (R. Boudjedra, D. Chraïbi, A. Cossery, A. Khal, M. RabT) »

Fiche technique

Auteur(s) : Lea POLVERINI 

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès. (DTICE / CPRS)

Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD

Editeur : SCPAM /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : octobre 2021

Durée du programme : 6 min

Langue : Français

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Camille LE GAL / Thèse qui peut 2021 #1

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Résumé

Dans le cadre de la Fête de la Science 2021, toutes les bibliothèques du campus, en collaboration avec le CPRS, se sont associées pour vous proposer une nouvelle édition de « Thèse qui peut ! », qui s’est déroulé du 4 au 8 octobre 2021. Ainsi, la recherche s’invite dans les centres de ressources et à la BUC avec de nombreux doctorant.es et docteur.es venus présenter leurs travaux et leurs parcours. Nous vous invitons à les écouter !

ÉPISODE #1 : Camille Le Gall (laboratoire CAS) : « Sociolectes, idiolectes et communication grotesque : identifier et traduire les voix de la marge dans les romans de Zora Neale-Hurston, Carson McCul­lers et William Faulkner. »

Fiche technique

Auteur(s) : Camille Le Gal

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès. (MIN / CPRS)

Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD

Editeur : SCPAM /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : octobre 2021

Durée du programme : 6 min

Langue : Français

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Photo d'Emmanuelle Perez Tisserant pour la série de portait O Delà du Labo

Emmanuelle Perez Tisserant / O Delà du Labo #10

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Résumé

Passionnée d’histoire et de littérature depuis toujours, Emmanuelle Perez-Tisserant est maitresse de conférences au laboratoire FRAMESPA. En permanence à la recherche de réponses, elle étudie comment la Californie, ancienne colonie espagnole, réagit à l’indépendance du Mexique en 1821 et au renouveau des pratiques politiques associées.

Son parcours se nourrit d’expériences décisives des deux cotés de l’Atlantique. D’abord à l’École normale supérieure de Paris où elle rencontre des professeurs passionnants qui aiguisent son intérêt pour l’histoire du XIXe siècle et de l’Amérique latine. Saisissant ensuite la chance qui se présente, elle profite d’une année de mobilité à l’Université de Californie à Los Angeles pour découvrir la riche histoire de ce territoire et s’en inspire pour son sujet de thèse. Cette mobilité marque un tournant décisif dans sa carrière.

L’histoire suscite toujours un vif intérêt auprès du grand public, en témoignent le succès des événements de diffusion des savoirs comme le festival « Histoire à venir » pour lequel Emmanuelle Perez-Tisserant fait partie du comité scientifique. Lors de ces évènements comme dans son travail de recherche, la chercheuse s’applique à travailler les récits pour déconstruire le sens commun et revaloriser le rôle du hasard. Elle cherche et met en lumière toutes les interactions et complexités qui se cachent derrière un fait historique annoncé.

Même si les archives ne manquent pas, elle rêve, comme tout bon historien, d’accéder aux pensées et pratiques non écrites des populations de l’époque. Cela lui permettrait d’apercevoir ainsi la vision des populations amérindiennes, très peu présentes dans ses sources, ce qui lui offrirait de meilleures perspectives sur son sujet.

Fiche technique

Auteur(s) : Emmanuelle Perez-Tisserant, Franck Delpech, Elodie Herrero, Nathalie Michaud.

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès. (DTICE / CPRS)

Réalisateur(s) : Franck Delpech

Editeur : SCPAM /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : Septembre 2021

Durée du programme : 6 min

Langue : Français

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Photo d'Emmanuelle Perez Tisserant pour la série de portait O Delà du Labo

Amanda Rueda / O Delà du Labo #9

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Résumé

Maîtresse de conférences au laboratoire LERASS, Amanda Rueda dédie tout son travail de recherche à cet objet de communication et de médiation si spécifique qu’est le festival de cinéma, d’Amérique latine et du Sud plus spécifiquement. Dans le détail, elle analyse les acteurs à l’œuvre ainsi que les logiques éditoriales et discursives qui accompagnent ces évènements, concourant à mettre à l’honneur un certain type de cinéma.

Entamant son parcours professionnel dans sa Colombie natale, c’est une réorientation en école de communication qui lui fait trouver sa voie et ouvre à jamais sa vision sur le monde. Amanda Rueda poursuit ensuite son chemin, fait de rencontres décisives qui motiveront notamment sa venue en France. Elle terminera sa formation à l’ENSAV de Toulouse.

Passionnée et consciencieuse, elle rêve d’une mobilité totale pour aller voir les grands comme les petits cinémas à travers le monde, du cinéma soutenu au plus marginal, en ne cessant jamais de se poser toujours davantage de questions.

Fiche technique

Auteur(s) : Amanda Rueda, Franck Delpech, Elodie Herrero, Nathalie Michaud.

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès. (DTICE / CPRS)

Réalisateur(s) : Franck Delpech

Editeur : SCPAM /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : Juillet 2021

Durée du programme : 6 min

Langue : Français

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CONF / EDGAR MORIN, la sociologie peut-elle prévoir ?

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Résumé

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La sociologie peut-elle prévoir ? Edgar MORIN. Conférence donnée dans le cadre de l’Institut d’Études Doctorales. Université Toulouse II-Le Mirail, mars 2000. Présentation de la conférence par René Souriac (vice-président de l’UTM), Michel Bressolette (directeur de l’IED) et Daniel Filâtre (directeur de l’UFR de sociologie).

Dans cette conférence, Edgar Morin propose une réponse à la question de savoir si la sociologie, l’histoire et la philosophie aussi, peuvent permettre de prévoir l’avenir. La connaissance d’un présent complexe, ou du moins la conscience que l’on en a, permet-elle de  » savoir ce qui est promis à la décadence rapide et ce qui va germer dans le futur » ?
Convoquant tour à tour Euripide, Hegel, Pascal, Bartholomeo De Las Casas, Ortega y Grasset ou Lévi-Strauss, la philosophie des Lumières et les Droits de l’homme, les « technosciences », la biologie, la physique ou la cybernétique et même la science-fiction, Edgar Morin rend compte de la difficulté, voire de l’impossibilité, de toute prévision : « On n’est jamais sûr d’avoir une connaissance de ce qui va contribuer à l’imprévisibilité de notre futur ». Les événements imprévus, perturbateurs et inassimilables tels que l’on en a connus dans l’histoire ancienne ou récente, l’évolution des courants majoritaires dominants face aux contre-courants ainsi que les interactions continues entre les événements au niveau local et au niveau mondial ne permettent pas de prédire le futur. Surtout à l’heure de la globalisation et des changements induits par les avancées de la recherche scientifique sur le vivant, sur le génome. Ce moment où  » l’Humanité peut remporter une première victoire de façon non mythologique sur la mort », et où, paradoxalement, « pèse sur l’Humanité la menace d’une mort collective et totale dûe aux risques nucléaires et écologiques » ne permet aucune prévision. « Nul ne possède un observatoire d’où il puisse déclarer que l’on n’inventera pas des formes sociales nouvelles, la créativité humaine ne peut pas être déclarée comme close ». Néanmoins, malgré ces facteurs d’incertitude, Edgar Morin pense que la sociologie peut proposer une « problématisation du futur » qui serait assortie de vigilance, fondée sur un pari pour certaines valeurs et qui, plutôt qu’un plan programmé, mettrait en œuvre une stratégie modifiable selon le hasard des événements… « et puis, il faut s’attendre à de l’inattendu ».

Fiche technique

Auteur(s) : MORIN Edgar

Réalisateur(s) : Jean JIMENEZ

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Date de réalisation : 1 mars 2000

Durée du programme : 83 min

Niveau : Tous publics / hors niveau, 1er cycle, 2ieme cycle

Disciplines : Théories sociologiques et méthodologie

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

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CONF / L’année 68 des femmes : 1968, de grands soirs en petits matins. Nouvelles explorations de l’événement / LUDIVINE BANTIGNY

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Résumé

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L’année 68 des femmes : 1968, de grands soirs en petits matins. Nouvelles explorations de l’événement / Ludivine Bantigny, conférence présentée dans le cadre des Savoirs partagés et animée par Sylvie Chaperon, professeur en histoire contemporaine, chercheure au laboratoire FRAMESPA, Université Toulouse Jean Jaurès, 13 novembre 2018.

1968 était la première année du monde » : plus qu’un millésime, plus qu’une encoche sur le calendrier, l’événement est selon Annie Ernaux une espérance et un commencement, une ouverture d’un genre nouveau. Les femmes sont nombreuses et très actives lors du soulèvement de Mai-Juin 1968 : elles font grève, occupent, sont présentes sur les piquets, prennent la parole dans les usines, les bureaux, les magasins, les universités, dans les comités d’action et de quartier.
Elles contribuent ainsi à la rupture avec un monde ancien. Pour tous les anonymes qui ont « fait » l’événement sans voir leur nom inscrit au fronton des médias, c’est une révolution. Pour les femmes en particulier, la nouveauté est encore d’autant plus aiguisée qu’à mots plus ou moins couverts, elles ont été longtemps invitées à se taire. La division des rôles de genre était implacable ; sa rigidité de fer n’était presque jamais contestée : aux femmes revenaient la maisonnée, le domestique et la sphère privée ; aux hommes, les honneurs du dehors, l’engagement public et la politique. On ne sort pas d’un tel monde en deux mois. Le sexisme et la misogynie ne s’évanouissent pas par la grâce de l’événement.
Les femmes qui y participent voient bien que, même parmi les critiques les plus virulentes des exploitations, des formes d’autorité se reproduisent, s’insinuent sans être interrogées, évidentes, acceptées. Les grands « leaders » sont des hommes et ne s’en préoccupent pas, ne se posent même pas la question de leur propre domination.
Bon nombre de femmes ont conscience de ces contradictions. Plus tard, certaines décideront de s’organiser en non-mixité pour pouvoir prendre la parole plus librement, sans être interrompues ou malmenées par quelques hommes sûrs de leur supériorité : le féminisme de la « deuxième vague » s’est en grande partie fondé sur ce constat et la volonté de ne plus l’accepter.

Fiche technique

Auteur : BANTIGNY Ludivine

Date de réalisation : 13 novembre 2018

Durée du programme : 90 min

Discipline : Histoire Moderne et Contemporaine : France

Niveau : niveau Licence (LMD), niveau Master (LMD)

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Réalisateur(s) : Samir BOUHARAOUA

Editeur : SCPAM / Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Langue : Français

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