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Les stratégies de segmentation syllabique en lecture chez l’enfant

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Résumé

Peut-on dépasser le constat classique du rôle « indiscutable » des « grands classiques » psycholinguistiques, notamment le rôle des propriétés statistiques des syllabes pour justifier des stratégies de segmentation ou d’accès au lexique ? Alors même que la syllabe est une unité centrale en français, cela ne fait qu’une vingtaine d’années que, véritablement, les études développementales mettent en évidence son rôle précoce, mais progressif, pendant l’apprentissage de la lecture.

Et nombreuses sont celles qui se sont attachées à démontrer, non sans certaines controverses, l’importance de la fréquence d’occurrence de la syllabe initiale dans la langue comme un facteur déterminant, associée à la fréquence lexicale ou bien encore au trou bigrammique pour expliquer la sensibilité et l’utilisation de la syllabe dans des activités de lecture.

Pourtant, son statut d’unité incontournable repose principalement sur le respect de grands principes linguistiques (e.g., principe d’attaque maximale, loi du contact syllabique optimal, principe de séquençage basé sur la sonorité) qui n’ont que très rarement été abordés d’un point de vue développemental, en lecture.

Partant du postulat que les propriétés statistiques bénéficieraient d’un « excès de confiance » et que l’implication des propriétés phonologiques universelles sont sous-estimées (e.g. la sonorité) – tout du moins pour l’étude du français – l’objet de la présentation consistera à répondre à plusieurs questions autour de leurs rôles respectifs dans des activités de lecture auprès d’enfants, qu’ils soient normo-lecteurs ou dyslexiques.

Les stratégies de segmentation syllabique en lecture chez l’enfant : quid des sensibilités phonologiques universelles ? / Norbert Maïonchi-Pino, séminaire organisé par l’Unité de Recherche Interdisplinaire en neuropsycholinguistique Octogone-Lordat, Université Toulouse Jean Jaurès, 20 mai 2016.

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Fiche technique

Date de réalisation : 21 Mai 2016

Durée du programme : 99 mn

Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche

Auteur(s) : MAÏONCHI-PINO Norbert

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Réalisateur(s) : DELPECH Franck

Editeur : SCPAM / Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Langue : Français

Conditions d’utilisation : Tous droits réservés à l’Université Toulouse – Jean Jaurès et aux auteurs.

Traduire les images du goulag : Problème de fidélité et d’opacité / Liuba Jurgenson

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Résumé

Parce qu’il se réfère au réel, dans un rapport au vécu particulier, le témoignage se trouve être un texte dont la langue de l’original constitue un contexte indissociable de la création du texte.

En ce qui concerne les témoignages sur le Goulag, dans les textes traduits du russe, l’événement lui-même a été vécu dans la langue russe y compris par des sujets non russes. Lorsque l’on va traduire ces textes vers une autre langue, ce sont non seulement les modalités de transposition, que le traducteur va élaborer individuellement, qui vont compter,  mais aussi la culture d’accueil qui participe de l’élaboration de l’événement.

Dans cette communication, Liuba Jurgenson questionne le statut du témoignage comme construction d’une trace sur l’héritage des violences extrêmes, les mécanismes de transmission de textes qui voulaient faire preuve du système concentrationnaire russe, la traduction du témoignage, parfois 40 à 50 ans après la publication du texte original.

« On sort des problématiques purement traductologiques et purement littéraires, puisque la traduction va participer de l’élaboration de l’événement dans une culture donnée. La construction de l’événement Goulag dans la culture française s’est faite à partir de traductions, elle ne s’est pas faite à partir de textes originaux. Réfléchir sur la traduction va plus loin que les simples questions techniques de vocabulaires ou de style (…) Une autre question quand on passe de l’original à la traduction, est que cette mise en mots, ce passage de l’écrit des survivants a souvent été pensé par eux-mêmes comme une sorte de traduction, vers une langue autre que celle du vécu. Les témoignages eux-mêmes sont traversés par une réflexion sur l’impossibilité de restituer une expérience trop violent, trop dure, une expérience qui suppose une dissolution du sujet, d’absence du sujet à lui-même ».

Faire l’épreuve d’un intraduisible relève t-il de la traduction, comment traduire cette dimension justement intraduisible ? Le témoignage, habituellement considéré comme une source primaire par un historien, un sociologue ou un anthropologue, est-il encore une source primaire lorsque il a été traduit, même le plus fidèlement possible ?
« Il y a toujours une médiation qui tire les textes hors de leur origine apportant une sorte d’indistinction entre source primaire et source secondaire ».

Traduire les images du Goulag : problème de fidélité et d’opacité / Liuba Jurgenson, conférence dans le cadre des journées d’études  « Introduction à la traductologie » organisées sous la direction scientifique de Vladimir Beliakov (section de slavistique du  département Langues étrangères) et du laboratoire LLA-Creatis de l’Université Toulouse – Jean Jaurès, le 25 mars 2016.

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Fiche technique

Date de réalisation : 25 Mars 2016

Durée du programme : 96 min

Classification Dewey : Traduction (linguistique), Littératures slaves du groupe oriental (littérature russe)

Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche

Auteur(s) : JURGENSON Liuba

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès-campus Mirail

Réalisateur(s) : BOUHARAOUA Samir

Éditeur : SCPAM / Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Langue : Français

Conditions d’utilisation : Tous droits réservés aux auteurs et à l’Université Toulouse – Jean Jaurès.

Les sociétés littorales face au défi du changement climatique / Virginie Duvat

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Résumé

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Le cinquième rapport d’évaluation du GIEC, adopté en 2014, contribue de manière significative à l’amélioration de la connaissance sur les impacts actuels et futurs du changement climatique sur les littoraux. Il apporte, en particulier, une compréhension plus poussée de ces impacts à l’échelle des différentes régions du globe, grâce au progrès des observations et des modèles et à une meilleure intégration des interactions sociétés/environnement à l’analyse. À partir de là, il est possible d’appréhender de manière plus concrète que précédemment les menaces que le changement climatique fait peser sur nos territoires et nos manières de vivre à différentes échéances temporelles.

C’est à cette question des impacts que Virginie Duvat (chercheure au laboratoire LIttoral ENvironnement et Sociétés à l’Université de La Rochelle) consacre la première partie de cette conférence. Dans un second temps, elle traite des marges de manœuvre dont disposent les sociétés littorales pour s’adapter : quelles sont véritablement ces marges de manœuvre aujourd’hui ? Comment les conserver et les accroître ? L’adaptation passe-t-elle nécessairement par l’innovation ?

Les sociétés littorales face au défi du changement climatique / Virginie Duvat, conférence-débat organisée par le département de géographie de l’Université Jean Jaurès dans le cadre des « Mercredis de la connaissance », en partenariat avec les Cafés géographiques de Toulouse, 16 décembre 2015.

Fiche technique

Auteur(s) : DUVAT Virginie

Réalisateur(s) : Bruno BASTARD

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Date de réalisation : 16 décembre 2015

Durée du programme : 102 min

Niveau : niveau Licence (LMD), niveau Master (LMD)

Disciplines : Géographie physique, humaine, économique et régionale

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

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Style et colère : Juger les formes de vie / Marielle Macé

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Résumé

Dans cette conférence, Marielle Macé tente de comprendre « en littéraire » la revendication qui lui semble être la plus communément la nôtre aujourd’hui : celle qui consiste à réclamer « d’autres manières de vivre », « d’autres formes de vie ».
Elle propose pour cela de réfléchir aux deux dispositions qui sous-tendent cette revendication, et qui engagent la stylistique : celle qui consiste à regarder la vie comme un engagement de formes (des manières d’être et de faire, des gestes, des rythmes, des modes relationnels…), et celle qui consiste à se risquer à poser sur ces formes un regard critique, à engager son jugement et, souvent, sa colère.

De Baudelaire à Boltanski, d’Adorno à Pasolini, voir les formes de vie, ce fut toujours les juger et en réclamer d’autres. C’est donc à cette critique stylistique de l’existence que Marielle Macé s’attache, pour la comprendre, la situer, en esquisser une histoire, en dire l’actualité.

Marielle Macé, in Séminaire Poéthiques organisé par Jean-Yves Laurichesse (laboratoire Laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire, équipe Littérature et Herméneutique- PLH-ELH) et Nathalie Cochoy (laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes-CAS), Université Toulouse – Jean Jaurès-campus Mirail, 27 novembre 2015.

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Fiche technique

Date de réalisation : 27 Novembre 2015

Durée du programme : 65 min

Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche

Auteur(s) : LAURICHESSE Jean-Yves, MACÉ Marielle

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Réalisateur(s) : DELPECH Franck, BOUHARAOUA Samir

Langue : Français

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Les excès du genre : concept, image, nudité / Geneviève Fraisse

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Résumé

Geneviève Fraisse, philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, a publié de nombreux ouvrages relatifs à la généalogie de la pensée féministe ainsi qu’à la controverse sexe/genre d’un point de vue épistémologique et politique.

Avec « Les Excès du genre » (éd. Lignes, 2014), Geneviève Fraisse offre une perspective sur la polémique sexe/genre, la critique des stéréotypes et l’usage de la nudité en politique. Avec l’œil critique d’une chercheuse, elle privilégie résolument la généalogie de l’émancipation et l’examen de la tradition philosophique, plutôt que la discussion sur les catégories et les identités. Le concept de « genre », ni simple outil, ni théorie radicale, est un pari philosophique. Philosophie pour distinguer clairement ce qui relève d’un objet de pensée, d’un concept ou d’une théorie.

Et pour toutes disciplines, car l’enjeu est alors de comprendre ses usages : comme un neutre, le genre, comme un pluriel, les genres et, avec ou sans le mot « sexe » ? Aussi, ne l’oublions pas, ce mot est en excès, car ce qu’il traite déborde l’ordre établi.

Conférence organisée par le réseau de master ARPEGE, Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail, le 4 novembre 2015.

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Fiche technique

Date de réalisation : 4 Novembre 2015
Durée du programme : 67 min
Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche
Auteur(s) : FRAISSE Geneviève
producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail
Réalisateur(s) : MICHAUD Nathalie
Editeur : SCPAM / Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail
Langue : Français
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Jacques Lordat ou la naissance de la neuropsycholinguistique cognitive / Jean-Luc Nespoulous

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Résumé

Cette conférence a été organisée par le laboratoire Octogone à l’occasion du 25ème anniversaire du Laboratoire Lordat, à l’Université Toulouse – Jean Jaurès, le 9 juillet 2015.

Jacques Lordat (1773-1870) a fait une exceptionnelle carrière, d’une cinquantaine d’années, à la Faculté de Médecine de Montpellier, dont il fut un temps Doyen. Très tôt, il s’intéressa aux troubles du langage consécutifs à des crises d’apoplexie (cf. sa description des troubles manifestés par son collègue médecin et naturaliste, Pierre Marie Auguste Broussonnet (1761-1807).
Ses observations le conduisirent à une modélisation des différentes étapes de l’acte de parole, de sa conception initiale jusqu’à sa réalisation ultime par les organes de la phonation (à la manière d’un Garrett ou d’un Levelt), et ce plusieurs années avant qu’il ne souffre lui-même d’une aphasie transitoire (1825) qui ne manqua pas d’alimenter la poursuite de sa réflexion sur le sujet jusqu’à la fin de sa carrière.
Indiscutablement, Jacques Lordat fait rétrospectivement figure de fondateur de la neuropsycholinguistique cognitive.

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Fiche technique

Date de réalisation : 9 Juillet 2015

Durée du programme : 59 min

Classification Dewey : Psycholinguistique

Niveau : niveau Licence (LMD), niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche

Auteur(s) : NESPOULOUS Jean-Luc

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Réalisateur(s) : MICHAUD Nathalie

Editeur : SCPAM / Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail

Langue : Français

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Les métamorphoses de la fiction / Jacques Rancière

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Résumé

Conférence présentée par Nathalie Cochoy (laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, axe « Poéthiques ») et Jean-Yves Laurichesse (laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire) dans le cadre des « Savoirs Partagés », Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 11 mars 2016.

Suite à la parution de son ouvrage Le fil perdu en 2014, Jacques Rancière offre dans cette conférence « un regard nouveau et lumineux sur la fiction moderne et, en particulier, sur les œuvres de romanciers et poètes français (Flaubert, Baudelaire…) mais aussi anglais et américains (Conrad, Woolf, Keats…), s’attardant moins sur ce que la fiction représente que sur ce qu’elle opère. Jacques Rancière s’intéresse ici à ce moment particulier où la fiction devient à ses yeux « démocratique ». C’est en effet dans la forme des œuvres, dans les détails insignifiants, non plus utiles en termes de vraisemblance cartésienne mais véritablement inscrits dans une continuité de coexistence sensible, qu’il décèle une attention nouvelle à des formes d’expérience jusque-là refusées. » (Nathalie Cochoy).

« Il est classique d’opposer fiction et réalité comme le domaine de la fantaisie sans règle et celui de l’action sérieuse. Mais c’est oublier qu’il n’y a de réalité qu’à travers une certaine grille perceptive et une certaine connexion des causes et des effets. Construction logique de la réalité quotidienne, la rationalité de la fiction était par excellence celle du poème tragique dont tout l’art consistait à faire produire par une connexion causale un effet logique et pourtant inattendu. Par rapport à cela, le roman a longtemps été un parent pauvre parce que les événements y arrivaient les uns après les autres sans lien causal fort. Le roman moderne a bouleversé la hiérarchie en faisant sa force de cet enchaînement faible, plus fidèle à la réalité de l’expérience vécue des individus. Par cela même, il se met dans un rapport paradoxal avec la politique. D’un côté, il en expose le fondement, la venue au jour des anonymes, la part des sans-part. Mais cette venue au jour signifie la ruine des identités établies, de la topographie sociale, de la hiérarchie des événements significatifs ou insignifiants, des enchaînements de causes et d’effets qui donnent normalement à l’action collective ses coordonnées ». (Jacques Rancière, L’Humanité, 18 avril 2014).

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Fiche technique

Date de réalisation : 11 Mars 2015

Durée du programme : 62 min

Classification Dewey : Littérature française : Histoire et étude par points spécifiques (courants littéraires, thèmes etc.), Esthétique littéraire

Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche

Disciplines : Littérature française et de langue française, Philosophie contemporaine

Auteur(s) : RANCIÈRE Jacques

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès – campus Mirail , SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Réalisateur(s) : BOUHARAOUA Samir

Langue : Français

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Politique du deuil, poétique du deuil / Philippe Forest

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Résumé

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Conférence présentée lors du séminaire Deuil et littérature organisé par Nathalie Cochoy (laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, axe « Poéthiques ») et Jean-Yves Laurichesse (laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire) dans le cadre des « Savoirs Partagés », Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 13 mars 2015.

Dans cette conférence, Philippe Forest, professeur et chercheur spécialiste de littérature contemporaine à l’Université de Nantes, propose une analyse sur le roman Requiem pour une nonne de William Faulkner qu’il fait dialoguer avec la transposition pour le théâtre écrite en 1956 par Albert Camus. Cette œuvre de Faulkner dont la construction est propice à l’adaptation théâtrale, « soulève la question métaphysique du mal à laquelle la mort d’un enfant sert de symbole scandaleux », mêlant la fresque épique et la tragédie de l’infanticide et du deuil. Pour cette étude sur le roman de Faulkner et sa réécriture par Camus, Philippe Forest convoque l’œuvre de l’écrivain russe Fiodor Dostoievski, de Crime et châtiment aux Frères Karamazov, ainsi que la tragédie grecque classique.

* Illustration : Photographie de Alan Trachtenberg (avec son autorisation).

Fiche technique

Auteur(s) : FOREST Philippe, LAURICHESSE Jean-Yves

Réalisateur(s) : Samir BOUHARAOUA

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès

Date de réalisation : 13 mars 2015

Durée du programme : 72 min

Niveau : niveau Licence (LMD), niveau Master (LMD)

Disciplines :  Littérature moderne et contemporaine, Littérature française et de langue française

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès

Langue : Français

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Propriété intellectuelle et plagiat / Stanley Claisse

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Résumé

Dans le cadre d’une journée d’étude destinée à des doctorants, Stanley Claisse, avocat au barreau de Toulouse, spécialisé dans le droit des télécommunications et des nouvelles technologies, donne une conférence sur la propriété intellectuelle, plus précisément sur la propriété littéraire et artistique.

Il présente les éléments principaux de la législation française : la qualification d’une œuvre de l’esprit, la titularité et les droits de l’auteur ainsi que l’exercice de son monopole, les exceptions aux droits d’auteur (parodie, citation…).

Il rappelle les normes de citation d’une œuvre qui respectent les droits des auteurs. S’approprier tout ou partie d’une œuvre littéraire ou scientifique sans nommer les sources est un plagiat qui en droit ressort du délit de contrefaçon selon l’article 335-3 du Code de la propriété intellectuelle.

Dans les milieux universitaires et scientifiques,  la contrefaçon est passible de sanctions pénales pour les chercheurs et enseignants, et le plagiat avéré peut mener un étudiant, en vertu de la loi de 1901, à une exclusion de l’établissement et à l’interdiction temporaire de se présenter à un examen.

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Fiche technique

Date de réalisation : 12 Mars 2015
Durée du programme : 54 min
Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche
Auteur(s) : CLAISSE Stanley
Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès
Réalisateur(s) : MICHAUD Nathalie
Editeur : SCPAM / Université Toulouse – Jean Jaurès – Campus Mirail
Langue : Français
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De la peur à l’espérance / Jean Delumeau

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Résumé

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Au fil d’un jeu de questions/réponses, Jean Delumeau, historien français, spécialiste des mentalités religieuses en Occident et, plus particulièrement du christianisme, retrace son parcours universitaire : ses recherches doctorales sur la Rome du XVIe siècle et sa rencontre avec Fernand Braudel, l’orientation de ses recherches vers la Réforme protestante et le christianisme, son professeur Jacques Monod à Marseille, ses cours sur « La peur en occident » et son séminaire au Collège de France, qui a donné lieu à la publications de plusieurs ouvrages écrits collectivement.
Son dernier ouvrage « De la peur à l’espérance » réunit deux de ses livres majeurs, « La Peur en Occident » et « Guetter l’aurore : un christianisme pour demain« , ainsi qu’une dizaine d’écrits pour la plupart peu connus, voire inédits. L’occasion d’envisager dans sa globalité l’œuvre et la pensée de ce grand historien.
Cette conférence/débat est introduite par Philippe Foro, maître de conférences en Histoire contemporaine. Elle a été organisée par l’Université Jean-Jaurès-campus Mirail, le 9 octobre 2014.

Fiche technique

Auteur(s) : DELUMEAU Jean, FORO Philippe

Réalisateur(s) : Claire SARAZIN

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Date de réalisation : 9 octobre 2014

Durée du programme : 89 min

Niveau : niveau Licence (LMD), niveau Master (LMD)

Disciplines : Histoire Moderne et Contemporaine : Monde, Sciences des religions

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

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