2015-12-SAUVET

À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU.
MÉTHODES DE DATATIONS EN ART PRÉHISTORIQUE :

l’exemple des sites aurignaciens

Georges SAUVET

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Résumé

La nécessité de disposer d’un référentiel chronologique précis est particulièrement importante pour les phases les plus anciennes du Paléolithique supérieur, correspondant aux premières œuvres d’art attribuées aux Aurignaciens. À côté du carbone-14, seule méthode qui permet de dater directement des pigments organiques, des méthodes indirectes datant les dépôts formés postérieurement sur les peintures ont été proposées (thermoluminescence, OSL, Uranium / thorium, etc.). Toutes ces méthodes reposent sur des hypothèses et présentent des difficultés d’interprétation qui sont discutées dans cet article.

Pour citer cet article

Sauvet G., 2015 – À la recherche du temps perdu. Méthodes de datations en art préhistorique : l’exemple des sites aurignaciens, in White R., Bourrillon R. (dir.) avec la collaboration de Bon F., Aurignacian Genius : art, technologie et société des premiers hommes modernes en Europe, Actes du symposium international, 8-10 avril 2013, New York University, P@lethnologie, 7, 210-225.