Accès rapide par langue

You are currently browsing the archive for the Accès rapide par langue category.

zornig geboren / LA COLÈRE D’OLYMPE

De Darja Stocker.

Lundi 2 Avril 2012 à 12h45 et 20h, Mardi 3 Avril 2012 à 20h, La Fabrique

Mise en scène : Thomas Niklos. Cie Vieille Dame.

 

Spectacle en allemand surtitré en français.

 

Pièce à paraître en édition bilingue dans la collection Nouvelles Scènes Allemand (Presses Universitaires du Mirail) dans la traduction de Charlotte Bomy.

 

Distribution

Comédiens : Timo Ames, Lena Banz, Luisa Berauer, Marie Bezian, Adeline Capillon, Marcel Danner, Lisa Engel, Clélia Gauthier, Johanna Häsler, Eliette Lacornerie, Sebastian Langer, Corinna Müller, Inka Rommel, Anja Coralie Schneidereit, Ferdinand Sehrndt, Flor Torrejon, Yann Sarrabère, Silke Wöckel

Mise en scène : Thomas Niklos, Cie La Vieille Dame
Chorégraphie et formation danse : Frédéric Jollivet
Aide linguistique : Monika Wolf
Assistant à la mise en scène : Jean-Christophe Alby
Lumières : Jean-Paul Confais, Thomas Niklos
Aide logistique : Romain Massié
Musique : Timour Tokarev
Affiche : Laure Cornu
Merci à José Castaño pour son aide précieuse

La pièce

Résumé en cours de rédaction

 

L’auteur : Darja Stocker

Née en 1983 à Zurich, Darja Stocker écrit ses premiers textes dès 1998. Dans les années 2000, elle multiplie les collaborations avec le Theater an der Sihl de Zurich. Sa première pièce Koma y est présentée en 2002. Tout en poursuivant son travail d’écriture, Darja Stocker travaille ensuite comme assistante à la mise en scène. En 2005, elle obtient le premier prix du Marché aux Pièces de Heidelberg pour sa pièce Nachtblind (Leila) dont la mise en scène par le Thalia Theater de la Gaußstrasse à Hambourg est donnée aux Journées théâtrales de Mülheim en 2007. En 2009, la pièce Zornig geboren (La colère d’Olympe), commande du Maxim Gorki Theater de Berlin, est mise en scène par Armin Petras aux Ruhrfestpiele Recklinghausen. L’auteure continue d’explorer et de mettre en scène les formes de résistance modernes dans sa dernière pièce, co-écrite avec Claudia Grehn, Reicht es nicht zu sagen, ich will leben (Ne suffit-il pas de dire, je veux vivre) donnée à Weimar et Leipzig depuis le début de l’été 2011.

Darja Stocker est une auteure du henschel Schauspiel Theaterverlag. Elle vit désormais à Berlin.

Manifestation scientifique

La représentation de la pièce de D. Stocker s’inscrit dans le prolongement d’un colloque international sur les « Contre-cultures à Berlin de 1960 à nos jours – Pratiques alternatives dans les arts / Gegenkulturen in Berlin von 1960 bis heute – Alternative künstlerische Praktiken » qui aura lieu à Toulouse du 1er au 4 février 2012. L’enjeu est d’explorer les stratégies d’affirmation, les dynamiques spatiales et les temporalités des contre-cultures de part et d’autre du Mur, avant et après sa chute.

Avec le soutien de l’UFR Langues, Lettres et Civilisations Étrangères, de la Section d’allemand de l’Université de Toulouse II-Le Mirail, du Conseil Régional, du Goethe-Institut de Toulouse et de l’AFAEA.

Prog UNIVERSCENES 2012 Allemagne

 

A vos agendas !

Retrouvez l’événement sur Facebook et laissez-nous des commentaires :

http://on.fb.me/UniverscenesSurFacebook

The Cosmonaut’s Last Message To The Woman He Once Loved In The Former Soviet Union / Le dernier message du cosmonaute à la femme qu’il aima jadis dans l’ex-Union Soviétique.

De David Greig.

 

Jeudi 29 mars à 20h et vendredi 30 mars à 20h, La Fabrique

 

Mise en scène de : Anne Cameron. Cie Les Sœurs Fatales.

 

Pièce en anglais surtitrée.

 

Distribution

Julia Bieronski, Laurie Bergamin, Belinda Bluthe, Aurélien Cassan, Guilhem Chevalier, Sophie Dedieu, Nora Durand, Kathrin Kasperlik, Manon Lance, Thomas Lay, Estelle Soulard, Mikaël Toulza, André Valente

Assistante à la mise en scène : Belinda Bluthe

Scénographie : Paul Scanlon

Création vidéo : Cal Scherer

 

La pièce

The Cosmonaut’s Last Message présente, à travers un montage de séquences fragmentaires, des personnages qui tentent tous de briser leur isolement. Les efforts de Casimir, cosmonaute soviétique abandonné sur la station Mir et cherchant à envoyer un message en direction de la terre, entrent en résonance avec la crise d’un couple écossais, l’isolement d’une jeune femme russe immigrée à Londres, la solitude forcée d’un homme victime d’aphasie. Le signal émis par le cosmonaute fait écho aux paroles qu’articule à grand peine le patient pour son orthophoniste : au fil des séquences, les dialogues mêlent savamment le pathos et l’humour, pour évoquer l’humaine condition sur le mode d’un effort à la fois héroïque et dérisoire pour établir le contact. Only connect.

L’auteur : David Creig

© Katrin Ribbe

David Greig, né en Ecosse en 1969, a grandi au Nigéria. Sa première pièce a été créée à Glasgow en 1992. Greig est à présent un auteur et un metteur en scène reconnu au Royaume-Uni. Ses pièces les plus célèbres comptent Europe (1995), sombre évocation des laissés-pour-compte du continent, San Diego (2003), qui revisite le rêve américain, Pyrenees (2005), histoire d’un homme retrouvé amnésique dans la montagne, ou encore The American Pilot (2005) sur la politique états-unienne au Moyen-Orient et en Europe de l’Est.  Récemment, David Greig s’est illustré dans l’adaptation de bande dessinée au théâtre (Hergé’s Adventures of Tintin, 2006) ainsi que dans le domaine de la traduction (Les Bacchantes d’Euripide en 2007, Créanciers de Strindberg en 2008).

Partenaires et subventionneurs : UFR des langues et IRPALL

Prog UNIVERSCENES 2012 Grande Bretagne

 

A vos agendas !

Retrouvez l’événement sur Facebook et laissez-nous des commentaires :

http://on.fb.me/UniverscenesSurFacebook

La notte degli ostinati / La nuit des obstinÉs

D’après des textes de Carlo Goldoni.

Lundi 26 et mardi 27 mars à 20h, La Fabrique

 

Mise en scène de : Jean-Claude Bastos. Cie : I Chiassosi.

Spectacle en italien et français, surtitré en français.

 

À paraître aux éditions Nouvelles Scènes Italien (Presses Universitaires du Mirail) en version bilingue : Maurizio Scaparro et Tullio Kezich, Mémoires da Carlo Goldoni/En relisant les Mémoires de Goldoni, dans la traduction de Muriel Gallot.

 

Distribution

Elena Beliaeva, Paolo Menduni, Giovanna Montermini, Roberta Pen, Elodie Piras, Emilie Villain, Olivier Zoppi.

 

La pièce

Des intermittents du spectacle, italiens et français, participent à l’occupation du Teatro Valle de Rome, le plus ancien de la capitale, créé en 1727. Menacé de fermeture, il est devenu, depuis juin dernier, le symbole de la protestation du monde artistique contre la gestion de la culture par l’ex-gouvernement italien.

Un personnage étrange leur prépare une surprise, en les guidant à la découverte de Carlo Goldoni, afin que le parcours du grand dramaturge vénitien leur soit un exemple de conduite dans la lutte pour des idéaux.

En sélectionnant des passages fondamentaux des Mémoires de Goldoni et de sa correspondance, le spectacle s’attache à montrer quelle fut la vie de l’auteur à Paris et sa lutte pour imposer la réforme du théâtre : son enthousiasme du début et ses désillusions. Après une première pièce au succès mitigé (L’amor paterno), Goldoni se voit dans l’obligation de revenir aux canevas de la commedia dell’arte. Même si ceux-ci rencontrent un grand succès, l’artiste refuse de continuer à plaire au public avec ce genre de pièces qui privilégient le jeu des acteurs et lui dénient le titre d’auteur. Une fois achevé son contrat de deux ans auprès de la Comédie Italienne, il se retire du théâtre et accepte de devenir le maître de langue des filles du roi, une tâche (bien) mal rémunérée. Après le succès en 1772 de la pièce Le Bourru bienfaisant, rédigée entièrement en français pour la Comédie Française, Goldoni disparaît peu à peu du monde théâtral, alors même qu’il continue à modifier sans cesse sa dernière pièce (L’Avare fastueux) dont il réclame jusqu’au bout la représentation. Arrivé en France pour redresser la Comédie Italienne, il n’a pu imposer sa réforme comme il l’avait fait à Venise. Les dettes ne cessent de s’accumuler, un retour à la cité des Doges n’est plus envisageable. Malade, presque aveugle, il meurt dans la misère la plus complète, ignoré de tous.

Ce spectacle constitue une petite contribution à la lutte des artistes italiens et européens, pour que la culture et ses représentants soient reconnus et sauvés de leur vivant !

L’auteur : Carlo Goldoni

Dramaturge vénitien, Carlo Goldoni (1707-1793) a écrit plus de 150 pièces en langue italienne ou en dialecte vénitien, ainsi que deux pièces en français. Il a accompli la réforme du théâtre italien, en passant du jeu stéréotypé de la commedia dell’arte à une écriture plus approfondie des pièces et du caractère des personnages. Exilé volontaire à Paris à  partir de 1762, il y travaille pour le théâtre des Italiens / la Comédie Italienne ( ?) puis à la cour du Roi comme maître de langue ; il tente vainement de réformer le théâtre français et meurt sans ressource, oublié. Il a rédigé ses Mémoires en français de 1783 à 1787.

Actions pédagogiques

Travail sur Goldoni et la pièce montée par les Chiassosi avec les élèves du Lycée Polyvalent. Matériel pédagogique à disposition de tous les enseignants pour travail préparatoire en cours.

Partenaires (en dehors de l’UTM) : La Gare aux Artistes

Prog UNIVERSCENES 2012 Italie

 

A vos agendas !

Retrouvez l’événement sur Facebook et laissez-nous des commentaires :

http://on.fb.me/UniverscenesSurFacebook

« Older entries