Beatrice Chioccioli, promo 2012 espagnol
Mobilité en L3 : Universidad de Salamanca
Études post licence : Master Études européennes à l’Université Sorbonne Nouvelle Paris 3
Parcours scolaire avant la licence : ESABAC (obtention Baccalauréat L + Diploma Liceo Linguistico internazionale) au Lycée Machiavelli de Florence (Italie).
Comment vous avez connu la licence : après avoir effectué un échange de deux mois avec le Lycée Pierre de Fermat à Toulouse, j’ai décidé que je voulais étudier dans cette ville (étant donné aussi que mes parents auraient accepté de me supporter économiquement en France, mais pas en Espagne, à cause du rapport prix/opportunités de travail) ; sur admission post-bac, j’ai cherché d’abord toutes les formations proposées par les différentes universités toulousaines, sans savoir exactement ce que je cherchais (je voulais faire de l’Histoire et à la fois continuer à étudier les langues, surtout l’espagnol)… Aussi, mes professeurs d’Histoire à Florence, anciens étudiants du Mirail, m’ont encouragée dans mon choix.
Le déroulement de la licence en France…
A l’intérieur d’un groupe réduit comme le nôtre l’était, ça a été assez facile de se faire des copains, ainsi qu’à avoir un rapport plus direct avec les enseignants, et cela a certainement contribué à me faire rester même si la Licence n’était pas comme nous l’avions imaginée : par exemple à Florence pour chaque langue / matière en langue étrangère (ex. Histoire) étudiée, on avait au moins un professeur de langue maternelle ; aussi, en Italie, par rapport à la France, l’enseignement porte beaucoup plus sur la maîtrise des notions que sur la méthode de travail. Néanmoins, l’implication de ceux qui nous ont proposé / ont organisé des activités extra-scolaires, qui nous ont suivi dès le début et aidés tout au long du parcours, m’a permis d’apprécier sincèrement les deux années à Toulouse ainsi que d’obtenir des résultats satisfaisants dans mes études.
…et en Erasmus
Premièrement, j’avais prévu de continuer ma double Licence Histoire Bilingue – LLCE Espagnol et cela n’a pas été possible dans l’université dans laquelle je suis en échange (Salamanque) ! Deuxièmement, ici le niveau est très haut ; même si je comprends tout ce que les professeurs disent en espagnol je n’arrive pas à suivre en raison du nombre incalculable des choses que je ne connais pas.