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Mobilité en L3 : Universidad del Salvador, Buenos Aires.
Etudes post-licences : Master Science politique – Acteurs des Politiques Internationales, Toulouse
Parcours scolaire avant la licence : Lycée général et technologique Pardailhan (Auch – 32) – Filière L, Bac Européen.
Projet pro : premièrement intégrer le master de Coopération Internationale en Education et Formation – Paris V. (débouchés classiques : ONG, OIG, Alliances françaises à l’étranger, Instituts français..).
Puis si cela ne fonctionne pas, je ne sais pas. Ecrire des histoires pour les enfants !
Le déroulement de la licence en France…
Une réelle pratique de la langue, notamment à l’écrit et permet d’acquérir un vocabulaire spécifique et soutenu. Obligation d’une L3 à l’étranger : gros gros plus. Intermédiaire très intéressant si on a peur de la prépa et des amphis de 200 personnes. Relation privilégiée avec les enseignants.
… la 3e année en Argentine
L’USAL est une université privée de renom à Buenos Aires. Large choix de cours, et suivi très sérieux du service des Relations Internationales. L’accueil des élèves étrangers est véritablement encadré (d’ailleurs il y a beaucoup d’élèves étrangers!).
et une expérience professionnelle en ambassade.
Pour ce qui est de mon stage à l’ambassade de Belgique à Buenos Aires, j’ai toujours été très curieuse du monde diplomatique et de fil en aiguille j’ai su que la Belgique acceptait les candidatures spontanées et les stagiaires de nationalité étrangère. J’étais rattachée au pôle diplomatique et consulaire (pas économique). Au début j’avais un peu peur de devoir faire la photocopieuse et le café (la grosse peur des stagiaires) mais pas du tout ! J’avais donc des missions très variées, que ce soit l’accueil des ressortissants belges, l’organisation de visites diplomatiques à Bruxelles, une étude sur l’inflation en Argentine afin de trouver une solution pour les salaires des employés argentins (faut il les payer en pesos, euros, dollars?), problèmes de visas/passeports… Expérience sur Novembre et Décembre 2014 !
Beatrice Chioccioli, promo 2012 espagnol
Mobilité en L3 : Universidad de Salamanca
Études post licence : Master Études européennes à l’Université Sorbonne Nouvelle Paris 3
Parcours scolaire avant la licence : ESABAC (obtention Baccalauréat L + Diploma Liceo Linguistico internazionale) au Lycée Machiavelli de Florence (Italie).
Comment vous avez connu la licence : après avoir effectué un échange de deux mois avec le Lycée Pierre de Fermat à Toulouse, j’ai décidé que je voulais étudier dans cette ville (étant donné aussi que mes parents auraient accepté de me supporter économiquement en France, mais pas en Espagne, à cause du rapport prix/opportunités de travail) ; sur admission post-bac, j’ai cherché d’abord toutes les formations proposées par les différentes universités toulousaines, sans savoir exactement ce que je cherchais (je voulais faire de l’Histoire et à la fois continuer à étudier les langues, surtout l’espagnol)… Aussi, mes professeurs d’Histoire à Florence, anciens étudiants du Mirail, m’ont encouragée dans mon choix.
Le déroulement de la licence en France…
A l’intérieur d’un groupe réduit comme le nôtre l’était, ça a été assez facile de se faire des copains, ainsi qu’à avoir un rapport plus direct avec les enseignants, et cela a certainement contribué à me faire rester même si la Licence n’était pas comme nous l’avions imaginée : par exemple à Florence pour chaque langue / matière en langue étrangère (ex. Histoire) étudiée, on avait au moins un professeur de langue maternelle ; aussi, en Italie, par rapport à la France, l’enseignement porte beaucoup plus sur la maîtrise des notions que sur la méthode de travail. Néanmoins, l’implication de ceux qui nous ont proposé / ont organisé des activités extra-scolaires, qui nous ont suivi dès le début et aidés tout au long du parcours, m’a permis d’apprécier sincèrement les deux années à Toulouse ainsi que d’obtenir des résultats satisfaisants dans mes études.
…et en Erasmus
Premièrement, j’avais prévu de continuer ma double Licence Histoire Bilingue – LLCE Espagnol et cela n’a pas été possible dans l’université dans laquelle je suis en échange (Salamanque) ! Deuxièmement, ici le niveau est très haut ; même si je comprends tout ce que les professeurs disent en espagnol je n’arrive pas à suivre en raison du nombre incalculable des choses que je ne connais pas.
Julien Carayon, promo 2012 Espagnol
Mobilité el L3: Unican, Santander, Espagne
Études post-licence: Master Science Politique, Université Toulouse 1 Capitole
Pour ma part, j’ai passé une très belle année. La ville de Santander (malgré le cliché du mauvais temps) est magnifique à tout point de vue. L’Université de Cantabrie est très bien aussi. Une fac assez petite pour ce qui est de l’histoire et de la géo, des profs compétents et à l’écoute, et un service des relations internationales accueillant. Franchement j’ai rien a dire sur cette fac. Je la recommande à tout le monde. En plus c’est pas si loin de Toulouse. On peut y aller pour 50 euros avec Eurolines.
Après, je préfère de loin le système universitaire français car je trouve ça un peu confus en Espagne. J’ai préféré les commentaires de textes, les fiches de lecture et les dissertations en France. J’ai trouvé la formation de la licence d’histoire bilingue très enrichissante dans l’ensemble. Pour la ville une préférence pour Santander, mais pour ce qui est de la formation j’ai quand même préféré mes deux premières années. J’en profite pour féliciter tous les professeurs de la formation qui ont relevé le défi de cette licence bilingue. Je regrette en aucun cas avoir fait cette licence. Par contre l’année prochaine je souhaite me diriger vers un master sciences politiques et relations internationales. L’histoire me plait mais plus pour la culture générale, le sens de l’analyse historique et le recul que ça amène. Je pense vraiment qu’une licence d’histoire est indispensable pour travailler dans les relations internationales, les sciences politiques, etc.