C’était jeudi 6 février, une rencontre avec Dominique Avon, enseignant à l’école pratique des hautes études, proposée par Abdelaltif Idrissi de la section Arabe et animée par Nacer Kassous de l’UT2J
La liberté de conscience a été conçue comme une possibilité de croire, de changer de croyance ou de ne pas en avoir. Elle a ainsi reçu une acception distincte de celle de la liberté religieuse ou de la liberté de religion.
Dans son dernier ouvrage liberté de conscience (حرية الضمير), Dominique Avon explore, entre autres, les registres de la philosophie, de la théologie et du droit. Il met en exergue la force et la fragilité d’une des libertés fondatrices de la modernité, historiquement située et qui n’a cessé d’être louée ou décriée.