Giampietro Campana
La malédiction de l’anticomane !
Un ouvrage qui sort début avril, aux Editions Jeanne d’Arc, au Puy en Velay, un ouvrage de Jean-Luc Dousset consacré à un, si ce n’est le plus grand collectionneur de pièces archéologiques ayant existé.
Giovanni Pietro Campana n’est pas un collectionneur. Il est le Collectionneur !
Né à Rome en 1808, cet aristocrate italien, devenu directeur du mont-de-piété de sa ville natale en 1833 a constitué en moins de trente ans la plus importante collection d’antiquités et d’oeuvres d’art jamais réalisée !
Il perd la raison en mettant au jour les trèsors, les milliers de bijoux en or que renferment les tombes étruques !
L’anticomanie le dévore ! Il est en proie à la fièvre…
Giovanni Pietro Campana est tour à tour archéologue, marchand d’art, mécène… et directeur du mont-de-piété.
Giovanni Pietro Campana se constitue ainsi une collection unique… avec plus de 15.000 objets d’art, des bijoux étrusques, des poteries grecques et romaines, des majoliques mais aussi des tableaux, des peintures des primitifs italiens de la Renaissance…
Il a besoin d’argent, il n’en a plus, le mont-de-piété en a.
Le cardinal Antonelli qui n’a pas supporté la nomination de Giampietro Campana en 1833 à la tête du mont-de-piété de Rome tient sa revanche près de vingt-cinq ans plus tard.
Arrêté, incarcéré à la prison san Michele, à Rome, le marquis Campana di Cavelli est condamné à vingt ans de galères pour détournement de fonds publics…
Il a été le maître de Rome, il n’est plus rien.
Dès lors, Giampietro campana va assister à la mise en pièces de sa collection, devenue la proie des Etats.
Mais, bientôt, en 1861, la France acquiert la majeure partie des oeuvres d’art !
Pouvant enfin rentrer dans Rome après la chute des Etats pontificaux , il va s’attacher à obtenir réparation, au nom de la justice.
Mais son destin est scellé.
Dans les galeries du Louvre, dans celles de nombreux musées en France, en Belgique, à Londres, en Russie, à l’Ermitage, quand les portes se sont fermées, parfois un étrange visiteur…
Né à Rome en 1808, cet aristocrate italien, devenu directeur du mont-de-piété de sa ville natale en 1833 a constitué en moins de trente ans la plus importante collection d’antiquités et d’oeuvres d’art jamais réalisée !
Il perd la raison en mettant au jour les trèsors, les milliers de bijoux en or que renferment les tombes étruques !
L’anticomanie le dévore ! Il est en proie à la fièvre…
Giovanni Pietro Campana est tour à tour archéologue, marchand d’art, mécène… et directeur du mont-de-piété.
Giovanni Pietro Campana se constitue ainsi une collection unique… avec plus de 15.000 objets d’art, des bijoux étrusques, des poteries grecques et romaines, des majoliques mais aussi des tableaux, des peintures des primitifs italiens de la Renaissance…
Il a besoin d’argent, il n’en a plus, le mont-de-piété en a.
Le cardinal Antonelli qui n’a pas supporté la nomination de Giampietro Campana en 1833 à la tête du mont-de-piété de Rome tient sa revanche près de vingt-cinq ans plus tard.
Arrêté, incarcéré à la prison san Michele, à Rome, le marquis Campana di Cavelli est condamné à vingt ans de galères pour détournement de fonds publics…
Il a été le maître de Rome, il n’est plus rien.
Dès lors, Giampietro campana va assister à la mise en pièces de sa collection, devenue la proie des Etats.
Mais, bientôt, en 1861, la France acquiert la majeure partie des oeuvres d’art !
Pouvant enfin rentrer dans Rome après la chute des Etats pontificaux , il va s’attacher à obtenir réparation, au nom de la justice.
Mais son destin est scellé.
Dans les galeries du Louvre, dans celles de nombreux musées en France, en Belgique, à Londres, en Russie, à l’Ermitage, quand les portes se sont fermées, parfois un étrange visiteur…