Débouchés

La licence développement de projets de territoires, montagne et pastoralisme ouvre à cinq grandes catégories d’emploi.

  1. Gestionnaire-animateur d’espaces montagnards et/ou pastoraux pour les Chambres d’Agriculture et leurs regroupements, les collectivités locales et leurs regroupements (communautés de communes, syndicats, parcs naturels régionaux), les groupements d’éleveurs et de propriétaires fonciers, les structures gestionnaires des espaces protégés (ONF, Parcs nationaux, réserves naturelles…) ;
  2. Assistant ingénieur de bureaux d’études privés (aménagement rural, écologie, paysage) ou d’organismes de recherche et développement (CERPAM, IRSTEA, INRA…) ;
  3. Chargé de mission auprès des services déconcentrés de l’Etat (DREAL, DRAAF, DDT…), des établissements publics (ONF, ONCFS…) ou des Chambres d’Agriculture ;
  4. Entrepreneur de travaux pour le compte des structures de gestion des espaces montagnards ou conducteur de travaux au sein des services de travaux en régie de ces structures de gestion ;
  5. Enseignant-animateur dans les structures de l’Education Nationale et de l’Enseignement Agricole, dans les centres publics et privés de formation continue, auprès du grand public (collectivités locales et leurs regroupements, associations d’éducation à l’environnement, CPIE…).

Le suivi réalisé en interne par les responsables de la licence depuis sa création (taux de réponse 80 %) fait apparaître un taux d’activité stable autour de 60-65 % des diplômés entre 1 et 3 ans après l’obtention du diplôme, et un taux de poursuite d’études entre 10 et 15 %.

Environ 70 % des emplois sont dans les champs visés par la formation (agriculture, pastoralisme, animation territoriale, environnement), mais également à des niveaux d’emplois visés par la licence (entre technicien et ingénieur).

Pour en savoir plus :

Étude réalisée en 2014 sur le devenir des étudiants diplômés GAEMP.

Quelques paroles d’anciens extraites de cette étude :

 « Cette licence pro m’a apporté beaucoup en termes de connaissances techniques et théoriques. De plus, on nous présente bien les méthodologies à suivre pour être autonome et efficace. »

« L’équilibre cours théoriques et terrain est également un point fort de la formation. »

« Je suis très satisfaite de la licence dans le fond (contenu des interventions à domaines variés, diversités des approches des intervenants : universitaire, agricole, professionnelle, pratico-pratique) et dans la forme (diversité des profils des étudiants : agricole, environnementaliste, géographe, reprise d’étude…). »

« J’ai pu acquérir des connaissances théoriques et pratiques avec des interventions par des professeurs mais aussi des professionnels ce qui est complémentaire. D’ailleurs je rencontre et travaille avec des intervenants que j’avais eus en licence ce qui est assez plaisant, et à mon tour je suis intervenante, on peut donc dire que la roue tourne. »

« En 1 an elle permettait de découvrir de nombreuses thématiques différentes (du SIG à l’indice fourrager), dans une très bonne ambiance. »

« On comprend bien les différents enjeux liés à l’agriculture de montagne »

« Très belle année où j’ai beaucoup appris, profs, méthodes de travail et environnement idéal. »

« Très pro avec beaucoup de sorties pour illustrer les cours. »

« Cette formation apprend des méthodes de travail de groupe, ce que l’on travaille peu dans d’autres formations ».

« Beaucoup de travail d’équipe, d’échanges et de rencontres. Equilibre entre terrain et théorique. Un contenu de formation dispensé par des professionnels et des enseignants engagés et disponibles. Des stages terrains très formateurs. Découverte du milieu montagnards avec les enjeux qui lui sont propres ».