Autour de La Nouvelle en Europe

Mercredi 28 janvier rencontre avec certains des auteurs d’un ouvrage collectif, La Nouvelle en Europe, Destins croisés d’un genre au XXème siècle.

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On a ainsi retrouvé Kinga Joucaviel, Olga Cadars, Christiane Calvet, Marc Gruas, Yves Iehl et Jean Nimis. Et parmi le public Muriel Gallot, François-Charles Gaudard ou Michel Lehmann.

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Cet ouvrage est  l’aboutissement d’un séminaire de l’institut IRPALL initié en 1998 par François-Charles Gaudard et Alain Cozic, et dirigé ensuite (à partir de 2005) par Andrée-Marie Harmat.

Le livre reflète le travail mené par une équipe d’enseignants, de chercheurs et de doctorants sur un modèle littéraire (parfois qualifié de « genre ») particulièrement apprécié par de très nombreux écrivains de toutes nationalités (parmi lesquels on pourrait citer Cortázar, Borges et Calvino, pour leurs définitions particulièrement bien vues).

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Le livre s’intéresse aux spécificités textuelles du récit bref (cadres narratifs, énonciation, musicalité, structures, personnages) mises en jeu dans le territoire européen (au sens de « continent humboldtien », puisqu’on s’y promène de l’Angleterre à la Grèce et du Portugal à la Russie et aux Pays Scandinaves) à travers une bonne partie du XXe siècle et jusqu’au début du XXIe.

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Le séminaire sur la nouvelle et le récit bref s’est poursuivi depuis en prenant en compte les diverses formes de collaboration qu’il peut avoir avec l’image (de la peinture au film en passant par la photo, la gravure, la bande dessinée, le roman graphique), avec de nouvelles collaborations, toujours dans un esprit « pluridiciplinaire » et l’aventure se poursuit à l’heure actuelle avec le programme « Fictions de mondes possibles » : un travail de recherche sur l’imaginaire des sciences et de la science-fiction dans le récit bref.

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