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Vers quel RER pour la métropole toulousaine ? / Les mercredis de la Géographie #4

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Résumé

Le Parlement a adopté fin 2023 une loi pour créer des réseaux express régionaux (RER) dans une douzaine de métropoles en France. Celle-ci prévoit un budget particulièrement limité pour leur mise en œuvre et vide d’une grande partie de leur substance ces RER à la française en mettant dans le même sac les dessertes ferroviaires, les services routiers, le covoiturage et le vélo.

Dans ce contexte, il était intéressant de s’arrêter sur deux points :

  • Qu’est-ce qu’un véritable RER ? Quelles sont les fonctionnalités et le fonctionnement de cette desserte ferroviaire métropolitaine ?
  • Le projet RER toulousain : périmètre, temporalité, schéma de fonctionnement et gouvernance.

Cette conférence proposée dans le cadre des Mercredis de la Géographie était donnée par Jean-Pierre Wolff, professeur émérite au département Géographie, aménagement, environnement de l’Université Toulouse – Jean-Jaurès, membre du Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires – Centre Interdisciplinaire d’Études Urbaines (LISST-CIEU) et conseiller à la Fédération Nationale des Associations d’Usagers des Transports (FNAUT).
Elle était animée par Bruno Revelli, maître de conférences au département Géographie, aménagement, environnement de l’Université Toulouse – Jean-Jaurès et membre du Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires – Centre Interdisciplinaire d’Études Urbaines (LISST-CIEU).

Fiche technique

Auteur(s) : Jean-Pierre Wolff, Bruno Revelli

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès / MIN

Réalisateur(s) : Arnaud Mansat

Editeur : Le Vidéographe – Maison de l’image et du Numérique / /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : 31 janvier 2024

Durée du programme : 53 min

Langue : Français

Conditions d’utilisation : CC-BY-NC-SA (Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions)

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Les recompositions locales en Occitanie / Les mercredis de la Géographie #3

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Résumé

Depuis la loi Chevènement de 1999 et le récent train de réformes des années 2010-2020, le paysage local français a été très profondément modifié.

C’est d’abord l’intercommunalité qui, après plus d’un demi-siècle de piétinements, a été enfin lancée jusqu’à devenir obligatoire pour les communes. Ce sont ensuite les communes elles-mêmes qui se sont vues proposer une nouvelle procédure de fusion, la commune nouvelle, alors qu’après l’échec de la loi Marcellin de 1971, on pensait cette piste de recomposition locale définitivement abandonnée dans notre pays.

Cette conférence donnée dans le cadre des mercredis de la Géographie se propose de rappeler succinctement le renouvellement du cadre légal des recompositions locales (intercommunalité et communes nouvelles), et de présenter plus spécifiquement la façon dont elles ont été mises en œuvre dans les treize départements de la région Occitanie.

Fiche technique

Auteur(s) : Cécile Jebeili, Mariette Sibertin-Blanc

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès / MIN

Réalisateur(s) : Arnaud Mansat

Editeur : Le Vidéographe – Maison de l’image et du Numérique / /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : 13 décembre 2023

Durée du programme : 65 min

Langue : Français

Conditions d’utilisation : CC-BY-NC-SA (Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions)

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La Science-Fiction et la Fantasy, nouveaux territoires géographiques ? / Les mercredis de la Géographie #2

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Résumé

De la Terre du Milieu à Westeros, de Coruscant à Trantor, de Pandora à Arrakis, la science-fiction, la fantasy et plus largement les fictions de « l’imaginaire », nous emmènent à la découverte de nouveaux mondes (planètes lointaines, continents inventés). Un cartographie de ces territoires fictionnels semble peine perdue mais l’on peut interroger leurs géographies. Par une promenade dans des mondes rêvés (forêts, déserts, villes), nous proposons d’explorer ce que la science-fiction révèle de notre imaginaire géographique, et par là ses liens avec notre espace vécu et notre manière d’habiter le monde.

Fiche technique

Auteur(s) : Guy Thuillier, David Bédouret

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès / MIN

Réalisateur(s) : Arnaud Mansat

Editeur : Le Vidéographe – Maison de l’image et du Numérique / /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : 22 novembre 2023

Durée du programme : 55 min

Langue : Français

Conditions d’utilisation : CC BY-NC-ND  (Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification)

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L’agriculture dans un contexte métropolitain / Les mercredis de la Géographie #1

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Résumé

Ce mercredi de la géographie était consacré aux relations entre agriculture et villes, avec un regard croisé Nord/Sud (Dakar et Toulouse) sur l’agriculture urbaine ou périurbaine. 

Fiche technique

Auteur(s) : Ibrahima Faye Diouf, Mélanie Gambino, Isabelle Duvernoy

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès / MIN

Réalisateur(s) : Arnaud Mansat

Editeur : Le Vidéographe – Maison de l’image et du Numérique / /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : 8 novembre 2023

Durée du programme : 25 min

Langue : Français

Conditions d’utilisation  : CC BY-NC-SA (Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions).

La géographie des conflits

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Résumé

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La géographie des conflits, par Yves Lacoste. Cette conférence était organisée par les Cafés géographiques et le Conseil Scientifique de l’Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre des Mercredis de la connaissance. Ce thème était au programme des concours externes du CAPES et de l’Agrégation en 2011-2012.

Yves Lacoste : « Il faut distinguer différents types de conflits à la surface du globe, en fonction de leur ampleur, de leur contexte politique, des caractéristiques des adversaires : ainsi après le gigantesque conflit que fut la Seconde Guerre mondiale, les luttes pour l’indépendance de la 2° moitié du XX° siècle, et les confrontations entre « monde libre » et « monde communiste » elles aussi de la 2° moitié du XX°, n’existent plus aujourd’hui. Les conflits qui viennent d’éclater au sein de différents pays arabes ne sont pas au premier chef géopolitiques (leurs enjeux sont surtout sociaux, et non pas territoriaux), mais leurs contre – coups seront sans doute géopolitiques.
Il est utile de prendre un cas précis pour montrer le grand intérêt du raisonnement géographique dans l’analyse des conflits. Le problème israélo-palestinien (appelé d’abord israélo-arabe) est assurément le conflit le plus ancien (il date de 1948, mais remonte en fait aux années trente) qui apparaît aujourd’hui, comme pouvant devenir encore plus dangereux au plan international, bien qu’il porte seulement sur 35.000 Km2 (au sens large, Israël 26.000 Km2) soit l’équivalent de la surface de la Bretagne. Une donnée éco-géographique première est presque toujours ignorée de toutes les analyses des origines de ce conflit : le fait que l’étroite plaine littorale (200 km x 25-40) qui correspond à la partie aujourd’hui la plus peuplée du territoire israélien, était extrêmement peu peuplée (sauf le cordon littoral) au milieu du XIX° siècle, à cause de la présence de nombreux marais et de ce fait du paludisme. Sans cela, les immigrants sionistes n’auraient pas pu y acheter des terres à des notables arabes et commencer à s’implanter en Palestine, avec l’accord de l’empire ottoman ». [source : Cafés géographiques].

Fiche technique

Auteur(s) : LACOSTE Yves

Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès

Date de réalisation : 30 mars 2011

Durée du programme : 121 min

Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche

Disciplines : Géographie physique, humaine, économique et régionale

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

Conditions d’utilisation : Tous droits réservés à l’Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail et aux auteurs.

Les sociétés littorales face au défi du changement climatique / Virginie Duvat

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Résumé

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Le cinquième rapport d’évaluation du GIEC, adopté en 2014, contribue de manière significative à l’amélioration de la connaissance sur les impacts actuels et futurs du changement climatique sur les littoraux. Il apporte, en particulier, une compréhension plus poussée de ces impacts à l’échelle des différentes régions du globe, grâce au progrès des observations et des modèles et à une meilleure intégration des interactions sociétés/environnement à l’analyse. À partir de là, il est possible d’appréhender de manière plus concrète que précédemment les menaces que le changement climatique fait peser sur nos territoires et nos manières de vivre à différentes échéances temporelles.

C’est à cette question des impacts que Virginie Duvat (chercheure au laboratoire LIttoral ENvironnement et Sociétés à l’Université de La Rochelle) consacre la première partie de cette conférence. Dans un second temps, elle traite des marges de manœuvre dont disposent les sociétés littorales pour s’adapter : quelles sont véritablement ces marges de manœuvre aujourd’hui ? Comment les conserver et les accroître ? L’adaptation passe-t-elle nécessairement par l’innovation ?

Les sociétés littorales face au défi du changement climatique / Virginie Duvat, conférence-débat organisée par le département de géographie de l’Université Jean Jaurès dans le cadre des « Mercredis de la connaissance », en partenariat avec les Cafés géographiques de Toulouse, 16 décembre 2015.

Fiche technique

Auteur(s) : DUVAT Virginie

Réalisateur(s) : Bruno BASTARD

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Date de réalisation : 16 décembre 2015

Durée du programme : 102 min

Niveau : niveau Licence (LMD), niveau Master (LMD)

Disciplines : Géographie physique, humaine, économique et régionale

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

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La France de 2012 a t-elle encore une identité géographique ? / Armand Frémont

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Résumé

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Conférence-débat organisée dans le cadre des Mercredis de la connaissance et les Cafés géographiques à l’Université Toulouse- II-Le Mirail, présentée par Bernard Charlery de la Masselière et animée par Robert Marconis.

L’identité de la France est un objet obscur. Le territoire national avait trouvé son aboutissement à la frontière physique. Aujourd’hui la solidarité, la socialité et l’être ensemble ne se définissent plus uniquement par référence à une étendue spatiale continue sur laquelle s’exerce la souveraineté de l’État-national. Les frontières qui se dessinent à travers les réseaux sociaux ou la conscience partagée d’enjeux devenus planétaires sont à géométrie variable.

De façon assez paradoxale, Paul Vidal de la Blache, le fondateur de l’École française de Géographie, voyait dans la carte de la répartition, sur le territoire français, des masses minérales qui constituaient la diversité des identités régionales, « une grande figure d’harmonie, une individualité maîtresse, mais dans laquelle s’inscrivent des individualités secondaires, des régions étendues de physionomies diverses […] une heureuse combinaison qui a facilité chez nous la fusion des races, qui a présidé à l’unité de notre histoire ». Le ou les territoires de cette « heureuse combinaison » sont aujourd’hui à réinventer.

Certes, l’identité géographique de la France est solidement fixée au moins depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, en fait depuis la Troisième République : le territoire de l’hexagone national est reconstitué (cas de l’Alsace et de la Lorraine réglé), la centralisation en tous domaines intégrée, la parcellisation communale intangible, les paysages constitutifs d’une image géographique unifiée assimilés, par l’école notamment.

Ces figures expriment une certaine permanence des champs de référence du débat sur la république nationale. De façon très incertaine, la République s’est imaginée et imposée, dans un esprit à la fois moderniste et nationaliste, à partir en particulier de trois lobbies : agricole, colonial et laïc. L’identité nationale a été travaillée en profondeur par ce qui, dans la violence souvent, a pris le statut de mythes, au sens anthropologique du terme. Il n’est donc pas étonnant de les retrouver – tels quels ou leurs avatars – réactivés dans le débat actuel sur l’identité de la France, au moment où la nation doutant à nouveau d’elle-même a du mal à se projeter dans une vision cohérente de son devenir.

On peut s’interroger sur la pérennité des formes de cette identité : l’Europe, la mondialisation, la mobilité de la population, internet… mais aussi les mouvements régionaux, la régionalisation, l’outre-mer, l’émigration et le passé colonial, l’école elle-même, modifient la donne initiale. Vers une autre France, plus ouverte sur le monde, ou bien vers un repli identitaire ? Le grand débat en cours comprend incontestablement une forte composante géographique.

Fiche technique

Auteur(s) : Armand FRÉMONT, Bernard CHARLERY DE LA MASSELIÈRE

Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès – Campus Mirail

Date de réalisation : 25 janvier 2012

Durée du programme : 125 min

Niveau : niveau Licence (LMD)

Disciplines : Sociologie des cultures, Géographie physique, humaine, économique et régionale

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

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