Twenty centuries of Mexican Art, MoMA, 1940

emmabernard

Au cœur d’un contexte instable, l’exposition rétrospective Twenty centuries of Mexican Art voit le jour au Museum of Modern Art de New York. Elle vise avant tout à exposer une vision complète et équilibrée de l’art mexicain des temps les plus anciens aux dernières écoles de peinture à travers la présentations d’œuvres d’horizons variés. Cette exposition estivale va se tenir du 15 mai au 30 septembre 1940. Son commissaire d’exposition est Alfonso Caso, secondé par Manuel C. Toussaint, Roberto Montenegro ainsi que Miguel Covarrubias. Ce projet est rendu possible par la coopération et la participation de Lazaro Cardenas, président du Mexique de 1934 à 1940. Nous nous demanderons donc par quels moyens cette exposition est-elle charnière dans le lien qui unit les États-Unis au Mexique ? Nous verrons tout d’abord en quoi cette exposition est une mise en lumière sur vingt siècles d’art, puis nous étudierons sa pluridisciplinarité et enfin nous aborderons l’ampleur de l’exposition.

I – Mise en lumière sur 20 siècles de culture 

a) Les quatre sections de l’exposition


L’exposition se divise en quatre sections évoquant quatre époques différentes. C’est la première fois dans l’histoire des expositions d’art qu’une d’elle présente une collection présentant des œuvres aussi variées sur une période aussi longue. Ce phénomène peut être expliqué par le fait que les recherches sur l’Art mexicain sont assez tardives, les études émergent au XIVe, d’abord sur une période très restreinte. La première des quatre époques détaille l’art pré-colonial et est dirigée par le Dr Alfonso Caso, un archéologue mexicain aussi directeur de l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire. Il s’agit d’un art très riche. Les chercheurs se rendent compte de l’intérêt artistique de l’étude de cet art, ce qui va mener à des expositions telles que « Aztec, Incan and Mayan Art » réalisée en 1933 au MoMA. La période suivante s’étend de 1521 à 1820 et présente l’Art colonial, elle est dirigée par Manuel Toussaint, directeur de l’Institut de recherches esthétiques de l’Université Nationale. Cette section présente le mélange instauré par la colonisation entre art mexicain originel et l’art espagnol importé. L’art colonial est le témoin de l’aspect culturel de la conquête et du bouleversement qu’elle apporte, mais sert aussi de témoin d’un art européen qui s’impose. Une section est aussi consacrée à l’Art moderne, elle laisse entrevoir l’héritage artistique tiré des époques passées par des échos à celles-ci. Les artistes mexicains sont pour la plupart des hommes de culture proche et familiers avec le passé artistique de leur pays. L’art mural mexicain, issu de cette période, est la forme d’art mexicain qui va le plus s’exporter à l’étranger et va être étudié en premier. Cette section est dirigée par Miguel Covarrubias, un caricaturiste et peintre mexicain. La première moitié du XIXe siècle est marquée par un contexte instable lié à la guerre d’indépendance. Pendant cette période, la grande production artistique est restreinte au Mexique mais un foisonnement artistique et créatif persiste dans les arts plus pauvres et populaires, accessibles au plus grand nombre. Une section est consacrée à cet art, appelée Art folk ou populaire, elle est dirigée par Roberto Montenegro, peintre et directeur du premier Musée populaire fondé au Mexique. Cet art se rapproche de l’artisanat, il en existe des exemples durant les vingt siècles d’art du pays. Les techniques, supports et médiums de l’art folk sont trop nombreux pour être cités. Par cet art, les petits artistes cherchent à exprimer leur amour de la beauté et l’esthétique naturelle présente dans les objets qui n’ont pas seulement une dimension utilitaire, ils ont aussi une valeur spirituelle forte. Il s’agit de la section la plus joyeuse, colorée et variée de l’exposition.

b) La scénographie au service de la narration de l’exposition

Installation d’une série de masques présentés lors de l’exposition, archives photographiques du MoMA

Toute cette richesse historique peut notamment se ressentir dans la façon dont sont exposées les œuvres. Les différentes sections peuvent à la fois être combinées ou alors isolées. Chaque nature d’œuvre à une façon d’être exposée qui lui est propre afin de rendre compte au mieux de leur évocation. Ainsi, différentes scénographies sont présentées, elles vont des plus simples, orientées vers le White Cube ou encore des artefacts exposés sous des vitrines, aux plus atypiques. Nous pouvons évoquer par exemple la présentation des masques au sein de l’exposition. Ils sont présentés sur des bâtons, ce système permet à la fois de les surélever mais aussi de permettre aux spectateurs de les voir sous tous les points de vue. Cette installation spatiale occupe alors un espace singulier délimité par ses suspensions, qui par leur originalité, amènent le spectateur à y prêter une attention particulière. Pour mettre en avant les vingt siècles d’histoire mexicaine, l’ensemble de l’espace du musée est monopolisé.

Figure d’art folk suspendue au plafond d’une salle du musée, archives photographiques du MoMA

Ainsi, des figures, issues de production de l’art folk, sont parfois suspendues au plafond du musée pour rappeler le folklore et les coutumes mexicaines. D’autres éléments, semblant d’avantages anecdotiques, sont exposés. Il est possible de trouver des costumes traditionnels suspendus. Ils ne sont pas présentés sur des mannequins, ce qui pourrait peut être permettre aux visiteurs de s’identifier à ce peuple, à se mettre à leur place. De plus, des plantes sont aussi disposées au sein de l’exposition, elle pourrait éventuellement rappeler un lien primitif à la nature, parfois évoqué dans les œuvres exposées ou alors une évocation de divinité. L’ensemble de ces éléments servent à embrasser au mieux possible et à rendre compte de la totalité de la culture mexicaine mais aussi de ses modes de vie. Le commissaire d’exposition cherche à plonger les spectateurs dans une immersion totale.

c) La réception de Twenty centuries of Mexican Art

Nous pouvons alors nous questionner sur la perception des spectateurs et leur ressenti face à cette immersion dans une nouvelle culture. Ici, il est question d’un public très peu accoutumé aux genres d’œuvres qui lui sont proposés lors de cette exposition. Leur réaction est donc exaltée face à cette forme de nouveauté, cependant tout cela va s’estomper au fur et à mesure de l’exposition, le spectateur s’habituant à ce qu’on lui présente. La critique, quant à elle, semble divisée face à cette rétrospective complexe. D’un côté, Jeannette Lowe, pour ARTnews dira “Nothing on so comprehensive a scale has ever been attempted, and no one section has ever been so completely reviewed in Mexico or in this country. This gives to the Museum visitor a chance to follow the evolution of a complex civilization in the succeeding phases, and the imagination is stimulated by such comparisons as that between the fabulous wealth and elaborate culture which existed when the Spaniards conquered Mexico, and the simultaneous states of our own country when its Indian tribes were living in what was virtually the Stone Age. But even more striking than such contrasts as this, is the one which suggests itself between the cataclysmic present little understood, and the evolution of past eras, here seen in perspective.”. Elle nous explique ici que toute la diversité proposée au sein de l’exposition, plonge le spectateur pleinement dans une culture. Pour elle, l’exposition est aboutie dans son rôle de témoin de l’histoire et de la culture mexicaine. D’un autre côté, la critique Anita Brenner trouve que Twenty centuries of Mexican Art n’expose pas toute la richesse et la complexité de l’entièreté de l’Art mexicain. Elle dit aussi que, pour elle, cette exposition présente davantage des séries de mouvements d’avant-garde qui font partie intégrante d’un discours institutionnel.

L’exposition Twenty centuries of Mexican Art présente une grande variété d’œuvres et une approche pluridisciplinaire de l’Art mexicain afin d’embrasser au plus près les enjeux de l’exposition.

II – Pluridisciplinarité de l’exposition

a) Les enjeux

Toute la diversité présentée cherche avant tout à répondre aux enjeux de l’exposition. Ceux-ci révèlent une dimension bien plus importante que la dimension artistique et symbolique des productions présentées au sein du musée. Évidemment, il y a d’abord des enjeux de présentation d’un peuple, d’époque, de cultures. L’équipe curatoriale cherche avant tout à exposer la riche tradition artistique mexicaine. Nous voulons comprendre la progression du Mexique au travers de l’évolution de son art. Ces arts sont aussi le reflet d’un mode de vie, de coutumes et de croyances, l’art mexicain est infiniment lié à des valeurs spirituelles. Des enjeux résident aussi dans le fait de présenter l’art mexicain comme une influence à part entière d’arts étrangers, ici principalement l’art américain. Nous pouvons évoquer la citation suivante d’Elise Faure « L’Art mexicain se rapproche de plus en plus de nous au point de déterminer dans nos recherches des courants essentiels ». Ici, elle tient à placer le Mexique comme une province artistique majeure dont les influences ne sont pas à négliger. Ensuite, des enjeux politiques sont aussi à l’origine de cette exposition. L’accord du projet par le président mexicain ainsi que sa participation marque une évolution de l’amitié qui lie les deux pays. Cette exposition a été réalisée en parallèle à des expositions de peintures américaines au Mexique, ce qui témoigne d’un échange artistique, culturel, intellectuel mutuel et intéressé. Il s’agit de bien plus qu’une manifestation de l’amitié entre les Etats-unis et le Mexique. En effet, cette exposition montre aussi l’inspiration réciproque qui unit les deux pays. Ces enjeux politiques soulèvent alors, auprès des visiteurs, des enjeux à la dimension sociale fortement marquée. Ainsi, les liens entre les individus et les peuples sont renforcés par une compréhension mutuelle et l’ouverture à l’autre, à l’inconnu. Le meilleur médium de ce type d’interaction étant l’art sous de multiples formes d’expression. Un jugement plus juste et ouvert envers le Mexique dans sa généralité est recherché par l’équipe curatoriale.

b) Les partis pris scénographiques

La pluridisciplinarité de l’exposition et la richesse des œuvres exposées se ressent aussi dans les partis pris scénographiques. Dans certaines salles, des tableaux modernes cohabitent avec des artefacts et objets exposés sur des colonnes. Ces mises en vis à vis pourraient être ressenties comme un hommage aux inspirations. En effet, l’Art moderne mexicain puise ses origines dans les formes d’art antérieures du pays telles que l’Art pré-colonial ou l’Art colonial. Ce qui semble être signifié ici, c’est que l’art moderne, et toutes les formes d’arts plus généralement, se construisent sur un passé artistique. Ces cohabitations sont aussi amenées par d’autres procédés scénographiques. Nous pouvons notamment mentionner le travail de la couleur et de la lumière. Des zones, semblant exposer des œuvres anciennes, sont plongées dans l’obscurité, les murs étant noirs et la lumière ciblée uniquement sur les œuvres.

Salle sombre présentant deux statues éclairées, archives photographiques du MoMA

 Des statues sont placées sur des piédestaux et sont les seuls éléments éclairés de la salle, ce qui leur confère une spiritualisation et une sacralisation exaltées. Des zones, elles, sont baignées dans la lumière naturelle et les œuvres sont exposées sur des murs blancs. Comment expliquer ce phénomène ? Il est possible de penser que ce procédé est utilisé pour marquer un changement ou une avancée de l’art. Dans certains espaces de l’exposition ces deux types de présentation d’œuvres cohabitent. Des zones claires et des zones obscures se juxtaposent, peut-être pour mettre en avant les liens entre les différentes époques mais surtout les différentes natures d’œuvres, allant des artefacts aux fresques. Il est important ici de montrer que tout se lie pour créer un espace riche et homogène.

c) Un programme musical faisant partie intégrante de l’exposition

Mais l’exposition cherche à aller plus loin que l’exposition de différents types d’œuvres en proposant un programme musical. Ce projet est organisé par le compositeur et a pour but de présenter de façon assez générale la musique mexicaine, intimement liée aux autres formes d’art du pays. Ces concerts fonctionnent en complément de l’exposition, ils sont joués chaque jour, du début à la fin de l’exposition, le matin et le soir. Pour le Museum of Modern Art, c’est la première fois que la musique occupe une partie aussi importante d’une exposition. Des concerts sont aussi diffusés à la télévision américaine pour ouvrir cette exposition au plus grand nombre. Les concerts sont tous identiques, ils se composent à chaque représentation de neuf mouvements musicaux qui représentent les principaux genres et mouvements musicaux forts du Mexique. Le déroulé du concert donne l’impression d’un développement historique de la musique faisant directement écho à celui présenté dans l’exposition. La musique sert à ancrer encore davantage les œuvres dans un contexte déjà très complet. L’évolution musicale et artistique du pays se fait presque parallèlement, ce qui permet d’appuyer le développement présenté au sein de l’exposition. De plus, l’orchestre est composé de musiciens mexicains et américains. L’orchestre est divisé en deux parties : un orchestre moderne et un orchestre ancien. Dans celui-ci, des copies d’instruments d’époque, retrouvés lors de fouilles, sont utilisés pour être le plus proche de la musique de l’ancien Mexique. Nous pouvons nous demander si les instruments originaux sont présentés dans les salles de l’exposition pour créer un lien avec le programme musical. Ces concerts servent à promouvoir la richesse de la culture mexicaine. 

Tous ces éléments, conjugués ensemble, mettent en avant la volonté pluridisciplinaire de l’exposition afin de légitimer et de faire comprendre les productions exposées.

III – L’ ampleur de Twenty centuries of Mexican Art

a) Une préparation longue et complexe

L’exposition représente un projet d’envergure pour les deux pays. Pour l’ensemble de l’exposition, le nombre de 5000 œuvres au total est évoqué. Antonio Castro Leal dira « For the first time … there has now been brought together in one building an authoritative and systematic collection of Mexican art, from the archaic cultures to the most recent schools of painting ». Il évoque ici l’aspect titanesque du projet ainsi que le fait que cette exposition soit la plus importante, jusqu’alors, traitant du Mexique. Cette exposition a nécessité beaucoup de travail, de son organisation à sa mise en place dans le musée. Il y a une coopération entre les institutions muséales et le gouvernement mexicain, par le biais du ministère des affaires étrangères mexicains, à l’origine de ce projet. Cette exposition était d’abord destinée à un musée français mais elle se tiendra finalement à New York pour éviter le transport maritime des œuvres en période de guerre. Ce changement, lié aux évènements, pousse à une remise en question de la visée de l’exposition. Au total, ce sera plus de 1000 personnes qui travailleront au Mexique pour assembler, cataloguer et préparer les œuvres au transport. Certaines productions vont poser problème lors de leur transport. C’est notamment le cas d’une sculpture, la plus grande de l’exposition, représentant la déesse Coatlicue, qui pèse deux tonnes et ne peut être déplacée en l’état. Une copie démontable est alors réalisée par moulage de la statue originale pour la rendre transportable. Ce procédé sera aussi utilisé pour d’autres statues monumentales présentées lors de l’exposition. C’est une tâche colossale pour les mexicains qui prennent part au projet.

b) Une occupation spatiale atypique

Reproduction d’un marché d’Art folk dans les jardins du musée, Archives photographiques du MoMA

Une exposition comportant autant de productions n’a jamais été reçue au Museum of Modern Art, elle va alors nécessiter un aménagement particulier de l’espace muséal. L’exposition occupe alors la totalité des trois étages de la galerie et une partie importante du jardin du musée. Celui-ci, appelé jardin des sculptures, est totalement repensé à cette occasion. Des statues monumentales y sont exposées, en parallèle d’une reproduction d’un marché mexicain d’art folk. En effet, des stands sont reproduits par les muséographes. Ils sont réalisés en bois et en paille, fidèles aux marchés originaux. Sur ceux-ci sont présentés des objets tels que des poteries et d’autres petits artefacts. L’exposition prend donc une place importante du musée en présentant notamment notamment des systèmes d’exposition complexes et recherchés.

c) Une œuvre réalisée durant l’exposition

José Clemente Orozco peignant la fresque Dive Bomber and Tank lors de l’exposition Twenty centuries of Mexican Art au MoMA en 1940

Cette exposition est aussi marquante par l’introduction de procédés novateurs. Nous pouvons mentionner le concept de création d’œuvres par des artistes pendant l’exposition. L’artiste José Clemente Orozco réalise durant l’exposition une fresque monumentale de 275 par 550 cm composée de six panneaux mesurant chacun 275 par 91,4 cm et intitulée Dive Bomber and Tank. Ce peintre mexicain fait partie du mouvement muraliste. Ce mouvement est marqué par la sortie des artistes de leurs ateliers pour aller peindre sur des bâtiments publics en traitant des sujets politiques, historiques ou encore sociaux. Leur volonté est de rendre l’Art visible et accessible à tous. Ce mouvement va attirer le regard du monde entier sur l’Art mexicain. Le Museum of Modern Art va alors demander à José Clemente Orozco de réaliser une fresque pour cette exposition, mais pendant le déroulement de celle-ci. Ainsi, les spectateurs peuvent venir l’admirer, pendant dix jours, lorsqu’il réalise la fresque, aidé de Lewis Rubenstein. Il prend beaucoup de liberté dans le processus de création et de réalisation. Il ne va pas planifier le rendu final et ainsi réfléchir à la composition de l’œuvre au cours de la réalisation de celle-ci. Cette œuvre est évolutive, elle peut prendre différentes formes et être modifiée au cours de l’exposition en interchangeant les panneaux de place. Pour Orozco, « la peinture est un poème, rien de plus » (traduit). Ainsi, les panneaux deviennent les vers interchangeables d’une strophe dont le sens est modifié en fonction de sa disposition. L’iconographie des panneaux est simple, toujours pour l’artiste « I simply paint the life that is going on at the present ». Nous pouvons entrevoir la queue et les ailes d’un bombardier, en référence au contexte marqué par la Seconde Guerre mondiale. Cette œuvre constitue l’attraction principale de l’exposition par son interactivité et son évolution continuelle.

Cette exposition marque aussi par la volonté d’innover, de présenter l’art d’une autre façon aux spectateurs.

Pour conclure, cette exposition est autant charnière dans les relations entre les Etats-Unis et le Mexique que dans l’histoire des expositions. Elle soulève un grand nombre d’interrogations sur un peuple duquel persiste des clichés amenés par un manque de connaissance et une peur de l’inconnu. Twenty centuries of mexican Art marque aussi les esprits par une nouvelle appréhension de la scénographie et de l’espace muséal. Elle présente l’art d’une façon innovante, en présentant des concepts inédits. L’exposition est la première à exposer vingt siècles d’art en une fois et sa richesse ainsi que sa complexité en font une exposition importante et inspirantes pour les suivantes. Il s’agit de l’une des expositions les plus ambitieuses du Museum of Modern Art et marque un tournant de la place qu’occupe l’Art mexicain à une échelle internationale. Nous pouvons donc nous demander comment l’Art mexicain, mis en lumière, va-t-il devenir une source d’inspiration à l’étranger et à quelle échelle ?

Bibliographie

  • [dir.] Caso Alfonso, Twenty centuries of Mexican Art (catalogue d’exposition), MoMA, 1940
  • Orozco José Clemente, Orozco « Explains », MoMA, 1940
  • MoMA, Mexican music : notes by Herbert Weinstock for concerts arranged by Carlos Chavez as part of the exhibition Twenty centuries of Mexican Art, MoMA, 1940
  • Newmeyer Sarah, Communiqué de presse, 10 avril 1940
  • MoMA, Communiqué de presse, 1er mai 1940
  • MoMA, Communiqué de presse, 21 février 1940

Webographie

  • MoMA, Twenty centuries of Mexican Art, https://www.moma.org/calendar/exhibitions/2985?, consulté le 16/03/2021
  • Oesterreich Miriam, The Display of the ‘Indigenous’ – Collecting and Exhibiting ‘Indigenous’ Artifacts in Mexico, 1920-1940, OpenEditions Journals, consulté le 16/03/2021
  • Albrecht Donald and Mellins Thomas, Mexico Modern: Art, Commerce, and Cultural Exchange, Caa.reviews, consulté le 16/03/2021
  • Alex Greenberger, Georgia O’Keeffe, Jacob Lawrence, and More: How ARTnews Covered MoMA’s Defining Shows of the 1940s, ARTnews, https://www.artnews.com/art-news/retrospective/moma-best-1940s-shows-georgia-okeeffe-jacob-lawrence-13197/, consulté le 16/03/2021

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