Une visite en ligne, ça se construit à force de prises de vue : 360 ° de droite à gauche, 360° de haut en bas, et derrière l’appareil, Samuel Martin, de la DTICE, photographe de l’Université.
Le CRL accessible 24h/24, c’est par ici
Une visite en ligne, ça se construit à force de prises de vue : 360 ° de droite à gauche, 360° de haut en bas, et derrière l’appareil, Samuel Martin, de la DTICE, photographe de l’Université.
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Le partenariat avec le festival Polar du Sud se poursuit… Après Luis Sepúlveda en 2013 et Carlos Salem l’année dernière, c’était au tour de Paola Barbato et Víctor del Árbol de passer nous voir…
De l’italien, de l’espagnol, du catalan et même du français pour une rencontre animée par Antonella Capra, Giovanna Montermini et Fabrice Corrons, tous trois enseignants à l’UT2J. Une rencontre qui aurait été à coup sûr animée de toutes façons…
Le public a pu suivre cet échange multilingue avec l’aide toujours appréciée des étudiants du CETIM, encouragés par Carole Fillière, responsable du Master traduction.
Paola Barbato venait présenter A mains nues un roman qui a empêché de dormir Antonella Capra et Giovanna Montermini (elles ne sont pas les seules). Sans doute ce qu’on appelle un thriller…
Que se passe-t-il quand on se retrouve à 17 ans coupé du monde et plongé dans un univers où il n’est plus question que de tuer pour survivre ?
De son côté Víctor del Árbol est venu accompagné de Toutes les vagues de l’océan, un roman choral, qui une fois encore donne vie à de multiples personnages ancrés dans l’histoire, ici celle du stalinisme vu comme la trahison de l’utopie la pire de l’histoire. Un roman noir, ancré dans la littérature réaliste, qui décrit l’injustice de la vie, plutôt qu’un roman policier, qui serait plutôt un jeu intellectuel, un défi, entre le lecteur et l’auteur.
Un auteur venu à la littérature très jeune, en fréquentant assidument les bibliothèques…
Isabel Alba est écrivaine, scénariste et photographe. Elle est également engagée dans la vie politique espagnole. Mercredi 30 septembre, elle était invitée au CRL par la Département d’études hispaniques et hispano-américaines de l’Université pour sa conférence de rentrée sur le thème : « Escritura y compromiso político ».
L’occasion de présenter son roman tout juste traduit en français, La véritable histoire de Matías Bran, une saga familiale qui commence en Hongrie à la fin du XIXe siècle et se termine à Madrid au début du XXIe siècle.
Entourée de sa traductrice Michelle Ortuño et de Michèle Soriano,enseignante à l’Université, Isabel Alba a donné sa vison de la littérature, engagée de toutes façons : parce qu’écrire c’est prendre parti, parce que raconter, c’est lutter contre l’oubli. L’engagement politique et littéraire répondent à une même motivation : transformer la réalité. Il ne peut y avoir de changement politique sans changement culturel.
La fonction de l’écriture est de faire revenir au visible une histoire qui n’est pas l’histoire, c’est d’ouvrir les valises du passé…
Une rencontre des plus animées, en version originale avec traduction en simultanée par les étudiants du CETIM…
En avril le CRL passe au jaune. Une couleur souvent décriée, revendiquée par Katarína Š. Fedorišinová, jeune créatrice slovaque.
Ce sont cinq de ses collections, confectionnées dans son atelier à Prague qui sont exposées au CRL. Des vêtements, toujours de couleur vive, des dessins, et même du texte…
Samedi 14 mars et comme chaque année, c’était Journée Portes Ouvertes à l’UT2J. Le CRL a accueilli nombre de bacheliers et leurs parents…
Les enseignants d’espagnol, d’italien, de chinois, d’allemand, d’arabe, de russe… étaient disponibles pour expliquer leur pédagogie.
Et comme chaque année, étape obligatoire, on a pu voir un président d’université utiliser le service de questions – réponses en ligne des bibliothécaires du réseau universitaire toulousain, « Une Question ? »…
La Langue des Signes Française (LSF) est bien présente à l’UT2J. Au quotidien, aussi bien dans les cursus pédagogiques , dans diverses manifestations ou dans les bibliothèques.
Des bibliothécaires, justement, ont suivi une initiation à la LSF, une langue à part entière. Peut-être pas de quoi argumenter dans un débat mais on l’espère, suffisamment pour renseigner un usager.
Un apprentissage difficile, parfois ludique : un doigt positionné un peu haut, un visage trop fermé, et bien sûr, on dit tout autre chose que ce qui était prévu.
C’est une classe de débutants motivés qui ont été formés au doigt et à l’œil par Cédric Polleux et Marie Bresson.
« Comment ça va ? »
Au CRL, au détour d’un pouf, on peut même se joindre à un atelier improvisé… Pour trouver une méthode, c’est par ici…
Mercredi 28 janvier rencontre avec certains des auteurs d’un ouvrage collectif, La Nouvelle en Europe, Destins croisés d’un genre au XXème siècle.
On a ainsi retrouvé Kinga Joucaviel, Olga Cadars, Christiane Calvet, Marc Gruas, Yves Iehl et Jean Nimis. Et parmi le public Muriel Gallot, François-Charles Gaudard ou Michel Lehmann.
Cet ouvrage est l’aboutissement d’un séminaire de l’institut IRPALL initié en 1998 par François-Charles Gaudard et Alain Cozic, et dirigé ensuite (à partir de 2005) par Andrée-Marie Harmat.
Le livre reflète le travail mené par une équipe d’enseignants, de chercheurs et de doctorants sur un modèle littéraire (parfois qualifié de « genre ») particulièrement apprécié par de très nombreux écrivains de toutes nationalités (parmi lesquels on pourrait citer Cortázar, Borges et Calvino, pour leurs définitions particulièrement bien vues).
Le livre s’intéresse aux spécificités textuelles du récit bref (cadres narratifs, énonciation, musicalité, structures, personnages) mises en jeu dans le territoire européen (au sens de « continent humboldtien », puisqu’on s’y promène de l’Angleterre à la Grèce et du Portugal à la Russie et aux Pays Scandinaves) à travers une bonne partie du XXe siècle et jusqu’au début du XXIe.
Le séminaire sur la nouvelle et le récit bref s’est poursuivi depuis en prenant en compte les diverses formes de collaboration qu’il peut avoir avec l’image (de la peinture au film en passant par la photo, la gravure, la bande dessinée, le roman graphique), avec de nouvelles collaborations, toujours dans un esprit « pluridiciplinaire » et l’aventure se poursuit à l’heure actuelle avec le programme « Fictions de mondes possibles » : un travail de recherche sur l’imaginaire des sciences et de la science-fiction dans le récit bref.