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« Brexit means brexit… »

Coup de tonnerre à l’échelle européenne et mondiale, l’issue du référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union Européenne le 23 juin 2016 a révélé un pays perméable au populisme, un « Royaume Désuni », miné, entre autres, par des clivages sociaux, régionaux, générationnels et politiques. La période de négociations avec l’Union Européenne a quant à elle permis de jauger le manque de préparation de l’exécutif britannique et l’ampleur de la désinformation orchestrée par les partisans du Brexit pendant une campagne référendaire souvent indigne. Une sortie de l’Union Européenne permettrait, avaient-ils promis, de « reprendre le contrôle » des frontières, de l’économie et l’argent économisé pourrait être réinvesti dans les services publics, notamment le système de santé (NHS), particulièrement exsangue.

Le 12 mars 2019, lors d’une table ronde proposée dans le cadre du séminaire ATHIP du Laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), c’est devant une assistance particulièrement fournie que Nathalie DUCLOS et Vincent LATOUR , Professeur·e·s des Universités en civilisation britannique contemporaine au DEMA, ont apporté leur éclairage sur une situation particulièrement complexe.

Let’s speak english!

Ici Isabel, stagiaire Erasmus italo-catalane au CRL, qui vous présente Mélanie, animatrice du café langues d’anglais!

Mélanie a 23 ans, elle parle français, anglais et espagnol et elle a vécu pendant un an aux Etats-Unis. Ici à la fac, elle est au CETIM pour un master de traduction anglais/espagnol et elle est membre du foyer d’espagnol « La Peña« .

Elle aime bien : sortir et s’amuser avec ses potes.

Elle n’aime pas : faire la vaisselle.

Donc, pendant son café langue, le lundi à 12h45, vous pourrez progresser à l’oral en vous amusant dans une ambiance enjouée et chaleureuse, sans le sérieux des cours. Et vous pourrez aussi apporter votre repas!

Printemps des poètes 2017

Cette année à nouveau la poésie était à l’honneur au CRL.

Des étudiant-e-s et leurs enseignant-e-s récitaient, déclamaient, lisaient des poèmes dans toutes les langues (ou presque) quatre jours d’affilée à l’heure du déjeuner…

Aux manettes comme chaque année Jean Nimis, enseignant d’italien, et pour l’animation et la capture du son (malheureusement et techniquement indisponible sur ce blog), Gilles Pouyol, étudiant au DEFLE et animateur de Radio R’d’autan.


Lundi,
c’était le jour de l‘italien : Ndjock Ngana «Africa» d’un poète camerounais vivant à Rome, du grec : «Willy, le chauffeur-mécanicien du Djibouti», de Nikos Kavvadias, de la Chorale du SCASC, du Français Langue Étrangère avec «Rama Kam» (David Diop), «Femme libre» (Léopold Sédar Senghor), «Un autre départ» (Cécile Oumhani), «Tentative de Jalousie» (Marina Tsvétaïéva), «Mère Afrique» (Fatou Diome), du catalan avec la participation du poète catalan Marc Artigau, du chinois avec «L’Olivier» 橄榄树 – gǎnlǎnshù, de Sanmao (poétesse taïwanaise contemporaine, qui a vécu quelques années dans l’ancien Sahara espagnol).

Mardi, place à l’occitan avec Aurélien de Chaire, «La sang de la tèrra» (A l’Ombra d’un manguièr, 2015), à l’anglais avec Helene Johnson, «Sonnet to a Negro in Harlem», Maya Angelou, «Still I Rise», Antjie Krog, «Country of Grief and Grace», Okot p’Bitek, «We women will never have peace», Odia Ofeimun, «I am a writer», Langston Hughes, «Afraid», Roma Ryan, «Storms in Africa», Langston Hughes, «The Kids in School with Me», au hongrois, au grec à nouveau avec  «Patrice Lumumba : le Saint Noir», poème de Yannis Ritsos, au frioulan : Leonardo Zanier, «Cramârs marochins» (Vendeurs ambulants marocains, 2012) et au français encore et en musique avec Charles Baudelaire, «L’invitation au voyage» et Aimé Césaire, extrait de Debout dans les Cordages

 

 Mercredi, pour le portugais : «Naturalidade» de Rui Knopfli (Mozambique, 1959) et «Monangamba» de António Jacinto (Angola, 1961), l’espagnol (Amérique Latine) : poètes de l’Équateur, du Pérou, de la Caraïbe et de la côte Pacifique; le russe : Nikolaï Goumilev (Никола́й Гумилёв), «La girafe» et «La nuit Africaine», le basque et le galicien.

Jeudi 16 mars, lectures de nahuatl, de japonais, de polonais : Julian Tuwim, «Le Petit Bambo» [Murzynek Bambo] ; Stanislaw Przesmycki et Zofia Vieweger, «Berceuse» [Kolysanka murzynska] ; Aimé Césaire, «Blanc à remplir» et «En vérité», d’allemand : Rainer Maria Rilke, «Der Panther», Yvan Goll «Der Regenpalast» (Le palais de pluie), Ingeborg Bachmann «Dein Schatten» (Ton ombre), Paul Celan «In Ägypten», de latin: extraits du chant IX de l’épopée de Lucain, Bellum ciuile;et d’arabe : Mahmoud Darwich (محمود درويش), «Chant d’amour à l’Afrique» – Mohammed El ‘Id Al Khalifa, «L’esclave noir» – Mohammed Miftah Al-Fitouri (محمد الفيتوري), «Je suis nègre» et «L’aube brise le mur de l’obscurité».

Qué tal ton niveau en español ? Et en anglais, fluent ? Au poil en français ?

Maj le 1er juillet 2016

Opération bouclée : Le CRL vous  a proposé 1 000 tests de niveau en anglais, espagnol, français, néerlandais ou allemand.

A partir du 1er juillet, pour passer le test Elao, c’est pour les étudiants 2016 – 2017, et par ici

ELAO pour tous UT2J CRL

Especially for you, le test de niveau de langue ELAO était accessible à tous, juste pour le plaisir…

Vous avez dit portes ouvertes ?

Cette année c’était un samedi 13 février que l’Université ouvrait ses portes à tous.. Au programme au CRL, des bibliothécaires en ligne pour des démonstrations de chat

Une Question - CRL - UT2J

 

De la calligraphie

 

Et puis une présentation de leur discipline par les enseignants de l’UFR, chacun selon son style…

« Pour vous mettre ELAO dans les oreilles »

Fabrice recto« Bonjour, je viens passer le test pour l’anglais »

« Ah oui, le test ELAO »

« Ah bon ça n’est pas ici, je dois monter ? »

« Mais non, ELAO c’est simplement le nom de ce test réservé aux étudiants qui ont anglais en option. Ce n’est pas un examen, il vous permettra simplement d’évaluer votre niveau pour vous inscrire dans un groupe où vous serez à votre place. Vous pouvez le passer ici au CRL bien sûr, ou en ligne n’importe ou ailleurs »