Piet Mondrian (21 mars – 13 mai 1945), MoMA, New York

stevenvilpoux

Photographie de Rogi André, 1937, centre Pompidou

Né en 1872 à Amersfoort aux Pays-Bas, Piet Mondrian, de son véritable nom Pieter Cornelis Mondriaan est le fils d’un pasteur. Il est incité par son oncle à peindre la Hollande en extérieur, pays aujourd’hui reconnu pour ses artistes de paysages. Sa carrière commence avec des œuvres figuratives tels que des vues extérieures ou bien des dessins au fusain. Dès 1914, il construit son propre langage pictural très géométrique, basé sur le jeu de tracés verticaux et horizontaux noirs, combiné à des couleurs pures. Se séparant de la reproduction du réel, il entre peu à peu dans l’abstraction, représentant notamment ses arbres de façon droite où les détails s’estompent pour devenir des lignes et des formes primaires. En 1917, il rejoint d’autres artistes hollandais autour de la revue De Stijl ; créée par le peintre Theo van Doesburg avec un groupe d’artistes et d’architectes – dont Vilmos Huszár ou Bart Van ver Leck – pour promouvoir en Europe l’abstraction dite géométrique telle que Mondrian l’avait posée depuis 1914. Ce n’est véritablement qu’en 1920, alors qu’il a près de 50 ans, que son style « Néo-plasticisme » naît de son travail avec De Stijl. En 1940 quand il part pour New York, une transformation importante apparaît avec la découverte du jazz américain. Sans ne rien renier de son style néo-plastique, elle prend des couleurs à la manière de sa dernière œuvre, Victory of Boogie Woogie, laissée inachevée après sa mort en 1944 à New York. Cette œuvre faisait partie de l’exposition « Piet Mondrian » au MoMA en 1945, un an après son décès. L’exposition, organisée par James Johnson Sweeney, directeur du département de peinture et sculpture à cette époque, présente de ses premières esquisses de 1900 à certains travaux inachevés de 1944. L’évènement s’inscrit dans une tradition du memorial exhibition soit l’exposition posthume réalisée au MoMA quelques semaines ou mois après le décès de l’artiste. On retrouve notamment – la première du MoMA -, celle de Late Lillie P. Bliss en 1931, ou encore celle de Paul Klee en 1941. L’essentiel des memorials exhibitions vont traiter d’artistes novateurs ayant œuvré aux États Unis, inscrivant rapidement le MoMA comme une importante institution New Yorkaise, fer de lance de l’art contemporain. La question est alors, l’exposition/mémorial « Piet Mondrian » de 1945 au Musée d’art moderne est-elle une seule exaltation de la puissance artistique New-Yorkaise ?

1) Héritage européen

a) La formation de Mondrian

Comme expliqué en introduction, Piet Mondrian commence véritablement sa carrière dans son pays natal où il dessine au tout début des années 1900 des nus en pied, des fleurs au fusain ou encore des paysages. A l’âge de 20 ans en 1892, il se rend à Amsterdam pour suivre trois années de formation à l’académie des Beaux-arts. Il sera notamment influencé par l’école de Barbizon dans ses jeunes années. En parallèle, il côtoie Jan Toorop, un autre élève de l’académie qui va l’initier notamment au pointillisme de Seurat et au travail d’avant-garde de Klimt. Il se lie également d’amitié avec le peintre Jan Slutyers qui entrera en contact avec le travail de Gauguin et Toulouse-Lautrec lors d’un voyage à Paris en 1906, apportant ici aussi ces influences aux Pays-Bas et à son jeune ami. Riche de ces influences, dès 1906 la palette de Mondrian va s’éclaircir et surtout adopter des couleurs vives dans des paysages comme Night landscape de 1908. Peu avant de partir pour Paris, il côtoie les travaux de Braque et Picasso à Amsterdam.

Pier and ocean, 1914, Wikipédia

En 1912, il quitte les Pays-Bas pour effectivement rejoindre Paris sur les conseils d’un ami critique d’art, où il apprendra le cubisme. Fort de cette nouvelle inspiration, sa période parisienne sera marquée par des esquisses de paysages ou de bâtiments qu’il simplifie et recompose. Il s’installe dans un atelier au 26 rue du Départ, quartier Montparnasse. Cette citation posera quelques bases de son style futur : « Je n’abandonne pas la couleur, mais je la veux juste aussi intense que possible. Je ne néglige pas les lignes, mais je les veux dans leur plus forte expression » Il exposera quelques œuvres au Salon des indépendants de Paris en 1913, Guillaume Apollinaire évoquera un « cubisme très abstrait de Mondrian« . En 1914, il retourne visiter son père aux Pays-Bas provisoirement mais la Première guerre mondiale le fera rester cinq ans, il reviendra à Paris en 1919 où il retrouve son atelier. Il est déterminé à mettre au point une forme d’abstraction purifiée, un dépassement du cubisme composé de verticales et d’horizontales à l’image de Pier and ocean, une œuvre réalisée en 1914. C’est une véritable nouveauté dans sa carrière, présentant un paysage de jetée et l’océan dans ces courts tracés verticaux et horizontaux. Cependant la couleur y est absente. S’appuyant sur le cubisme dans son abstraction, il s’en éloigne peu à peu, reniant la représentation atmosphérique au profit de la frontalité et de la planéité.

En 1916, il fera une rencontre déterminante qui sera le marqueur de l’affirmation de son style qui l’a rendu célèbre : Van der Leck.

Troisième manifeste De Stijl, 1921, Wikipédia

b) L’affirmation de son style et inscription dans l’art contemporain

Bart Van der Leck et Mondrian vont avoir un important échange artistique. Van der Leck qui travaillait avec les couleurs vives et primaires que sont le bleu, le jaune et le rouge va influencer les œuvres de Mondrian. Lui va adopter le concept de lignes droites de Mondrian. Au tout début des années 1920, les traits deviennent un quadrillage qui va progressivement s’ouvrir, créant des rectangles et carrés plus grands, accueillant de plus grands aplats de couleur. Alors que de cet échange fructueux naîtront des œuvres comme Composition No. III, with Red, Blue, Yellow, and Black en 1923, les deux artistes sont contactés par un troisième, Theo van Doesbourg qui compte lancer une revue artistique à Utrecht. Mondrian et Van der Leck sont alors invités en 1917 à le rejoindre avec d’autres artistes hollandais pour fonder la revue qui deviendra un manifeste du Néo-plasticisme de Mondrian : De Stijl. Ces artistes jusqu’en 1931 (1925 pour Mondrian, qui quitte le groupe après un désaccord sur l’emploi de la diagonale) proposent un art totalement abstrait qui sera explicité dans un article de Mondrian nommé «Le Néo-plasticisme dans l’art pictural» : «Comme pure représentation de l’esprit humain, l’art s’exprimera dans une forme esthétique purifiée, c’est-à-dire abstraite.» Ce nouvel art se traduit par des lignes droites et des couleurs primaires. Ses tableaux vont de plus en plus se nommer « compositions » pour montrer que ce ne sont plus œuvres figuratives mais des assemblages de figures élémentaires basées sur de longues lignes noires auxquelles vont se joindre les couleurs. Ce sont les œuvres de cette période qui sont généralement les plus connues du grand public et qui vont avoir un impact sur la culture populaire jusqu’à la mode.

Composition No. III, with Red, Blue, Yellow, and Black, 1923, useum.org

Considéré comme un pionnier de l’abstraction (même si beaucoup d’artistes européens d’avant-guerre comme lui vont se lancer dans l’aventure abstraite), son œuvre sera relativement peu comprise dans les cercles européens et intéressera peu les collectionneurs autant hollandais que parisiens. Cependant le désintérêt en ce style nouveau ne sera pas une fatalité, sachant que l’avant-garde européenne a toujours œuvré dans la radicalité conceptuelle souvent décriée avec par exemple l’art cinétique de 1955, l’exposition participative « Dylaby » en 1962 ou encore la performance destructrice de Michaël Heizer en 1969. A l’aube de la Seconde guerre mondiale, Mondrian se réfugie un temps à Londres, de 1938 à 1940.

La genèse de l’art de Mondrian s’inscrivant donc dans les pures traditions et inspirations européennes, Mondrian va quitter l’Europe pour s’exiler à New York en 1940, craignant pour sa vie, où son œuvre va prendre un nouveau tournant.

2) Mise en valeur des USA

a) Contexte historique et politique favorable

En 1940, Mondrian s’installe dans un atelier de la 56ème avenue de New York pour fuir le fascisme, l’Allemagne nazie ayant notamment fermé l’école du Bauhaus quelques années plus tôt, considérant l’art contemporain comme « dégénéré ». Dans un pays qui ne craint pas les bombardements, New York devient une terre promise pour des artistes contemporains comme Grosz, Steinberg ou Mondrian qui s’attelle à continuer son œuvre néo-plastique. Il est introduit dans le milieu de l’art par Peggy Guggenheim, mécène et collectionneuse et Max Ernst, peintre et sculpteur dadaïste, coutumier du milieu américain. En Amérique, Piet Mondrian découvre une ville à l’organisation géométrique avec des avenues à angles droits qui forment de longs tracés horizontaux et verticaux : le plan hippodamien. Il a également une certaine appréciation pour le jazz et le boogie-woogie. Ce sont autant d’éléments culturels américains, additionnés à une couleur encore plus présente et remplaçant le noir des lignes qui vont influencer les œuvres de la fin de sa carrière comme la composition New York City de 1942 ou encore Broadway Boogie Woogie réalisé en 1943 et présent sur cette photo de l’exposition à l’extrême droite de l’image. Cette innovation conceptuelle de l’œuvre de Mondrian va accompagner une innovation dans la façon d’exposer ses œuvres au MoMA.

photo n°8, Piet Mondrian exhibition, 1945, MoMA,

Pour placer le contexte, l’exposition démarre le Mercredi 21 mars 1945. Comme l’indique le communiqué de presse officiel au 19 mars, cette exposition est sponsorisée par la Netherland-America Foundation. Celle-ci, fondée en 1921 compte parmi ses principaux membres le président des États-Unis, la reine des Pays-Bas, l’ambassadeur américain des Pays-Bas et l’ambassadeur néerlandais des États-Unis. Cette association culturelle, pont entre l’Europe et l’Amérique va financer artistes et expositions afin de constituer un rayonnement culturel important, que l’on appellera facilement soft power au sortir de la guerre, dont l’armistice est signé quelques semaines à peine après le début de l’exposition. Mondrian était un artiste d’avant-garde européenne ayant du fuir l’oppression pour se réfugier en Amérique et y achever son œuvre, c’est un candidat tout trouvé pour mettre en valeur New York et le pays. Les États-Unis vont développer sur la seconde moitié du XXème siècle un maillage de musées et de fondations privées qui vont rapidement imposer le pays comme l’un des plus puissants culturellement. C’est de cette façon que le MoMA pourra pleinement exercer son rôle d’institution artistique de pointe.

b) La modernité du MoMA

Il est intéressant de noter qu’à la date où se tient l’exposition « Piet Mondrian », le MoMA n’a pas de directeur a proprement parler. En effet il existe un vrai flou entre 1943, année où Alfred H. Barr – directeur historique du musée – quitte son poste et 1949, où René d’Harnoncourt prend place comme successeur. Ayant pris contact avec Christina Eliopoulos, responsable des archives du MoMA, celle-ci indique qu’entre 1943 et 1949, la gestion du musée a été tenue par un groupe de trustees, un comité exécutif qui avait pour charge de superviser les divers départements du musée. La responsabilité du département de peinture et sculpture était donc tenue par James Johnson Sweeney, justement organisateur de l’exposition « Piet Mondrian » de 1945. Ce musée dès sa fondation en 1929 a eu la volonté d’apporter une véritable modernité scénographique. Tout d’abord on peut noter notamment dans les photos de notre exposition l’adoption du modèle white cube. Le white cube est un modèle d’exposition aux murs blancs et unis, sans fenêtres et à la lumière artificielle. On retrouve une très grande surface d’exposition généralement vide de mobilier qui permet d’évoluer dans la pièce et de prendre de la distance avec les œuvres accrochées parallèlement et méthodiquement espacées entre elles, sans cartel. Au MoMA, on peut observer ponctuellement des murs noirs pour donner du rythme.

Victory Boogie-Woogie, 1945, Wikipédia

Brian O’Doherty, critique d’art irlandais et relatif détracteur du modèle white cube définit Mondrian comme l’un de ses théoriciens dans « L’atelier et le cube. Du rapport entre le lieu où l’art est fabriqué et le lieu où l’art est exposé » écrit en 2007 :

« Il est clair que cet atelier [de Mondrian] était une version primitive de la galerie. Le mur était déjà une puissance, la séparation et la distance, une langue nouvelle qu’on n’avait pas encore mise en pratique. L’atelier de Mondrian fut, me semble-t-il, l’une des origines de l’arrogante stérilité et de l’isolement de l’art à l’intérieur du cube blanc. La galerie blanche ne connaît que des angles droits, comme l’atelier de Mondrian »

Cette façon d’exposer va s’internationaliser à mesure que l’art contemporain progresse mondialement. Ce modèle ira jusqu’à supplanter celui des concurrents Guggenheim et Whitney qui avaient opté pour une scénographie moins clinique et plus originale. Mondrian sera également l’un des premiers à se dispenser du cadre. L’œuvre non-encadrée va renforcer son caractère auto-référenciel. Brian O’Doherty mais aussi Donald Judd – artiste minimaliste et théoricien de l’art – vont être critiques envers ce modèle d’exposition, Judd parlera notamment en 1984 d’une mercantilisation de l’art avec un modèle du white cube présentant les œuvres en « choses précieuses, en joyaux vendables ». Par le biais du blanc des murs et des éclairages sur les œuvres, le musée prend des allures de boutique. On peut y voir ici une conquête du consumérisme américain jusque dans la manière d’exposer. L’artiste américano-roumain Saul Steinberg avait d’ailleurs vu dans l’arrivée à New York de Mondrian une ambivalence entre tentative de commercialisation intense de l’art contemporain, et espoir de démocratisation du genre. Mondrian sera cependant une référence pour l’artiste. Quoi qu’il en soit, le MoMA va servir l’art de Mondrian, même de façon posthume. Sur la scène européenne, ses toiles se vendent mal de son vivant. En 1898 et 1901, il est refusé deux fois au prix de Rome, au titre d’un manque de talent décelé par le jury. Même lors de sa fastueuse période De Stijl, les musées d’art français lui sont restés indifférents.

photo n°5, Piet Mondrian exhibition, 1945, MoMA,

C’est à sa mort que New York, fer de lance de l’art contemporain, offrira une véritable reconnaissance à Mondrian. L’exposition de 1945 rassemblera un dense répertoire de ses œuvres, souvent acquises par donation ou par prêt. C’est également là que sont conservés les tableaux de sa période américaine dont son dernier laissé inachevé Victory Boogie Woogie de 1944, ce qui rend une complète rétrospective extra-américaine difficile. Hors des murs New Yorkais, son œuvre ne commence à convaincre en Europe qu’autour des années 1960. En France, seules trois expositions lui sont consacrées en 53 ans. Denise René organisera la toute première en 1957 dans sa galerie parisienne « Mondrian, l’organisation de l’espace », une autre sera également réalisée dans la capitale au musée de l’Orangerie des Tuileries en 1969 et une dernière en 2010 au centre Pompidou. Le Gemeentemuseum de La Haye au Pays-Bas, pays natal de Mondrian ne le fera qu’en 1977, 32 ans après New York.

Conclusion

En définitive, l’exposition Piet Mondrian a été pour New York et le MoMA la constituante d’une importante reconnaissance dans le monde contemporain. Ayant commencé les expositions avec des œuvres plus classiques comme « Cézanne, Gauguin, Seurat, van Gogh » en 1929, le MoMA va rapidement acquérir une solide influence dans le monde artistique à travers l’art contemporain, notamment européen. Le contexte politique étant tristement favorable dans la première moitié du XXème siècle, il a permis à des artistes d’avant-garde de poursuivre leur carrière outre-atlantique à l’image de Mondrian ou de Grosz, en échappant alors aux bombardements. La Netherland-America Foundation sera un grand allié de l’exposition de 1945, faisant le pont entre la terre natale de l’artiste et son pays d’accueil à la fin de sa vie, permettant de lier son œuvre à une Europe qui l’a peu considéré de son vivant. New York, ville internationale par excellence va permettre un rayonnement international à l’artiste, devenant une inspiration pour la décoration ou la mode avec notamment la Robe Mondrian dessinée par Yves Saint-Laurent en 1965, reprenant directement les codes de ses œuvres et lui conférant une certaine popularité. Sur le marché de l’art, popularité rime souvent avec production de faux par opportunisme. En 1978, le centre Pompidou faillit acquérir trois œuvres à une certaine Madame Verdet pour enrichir leur collection. Les œuvres sont considérées suspectes par les conservateurs. Les doutes fondés, le faussaire sera traduit en justice. Les vraies œuvres quant à elle vont s’arracher à prix d’or, qu’il s’agisse de peintures, aquarelles ou dessins. Le record mondial d’une enchère pour l’artiste a été établi en 2015 chez Christie’s à New York pour Composition n° III, adjugée plus de 50 millions de dollars.

Cependant, même si le MoMA et New York ont eu un rôle certain dans la connaissance et reconnaissance de l’artiste, l’Europe du XXème siècle reste historiquement le lieu d’éclosion du style si caractéristique de Mondrian mais plus globalement une terre d’avant-garde ayant accouché de bon nombre d’artistes ayant durablement impacté l’Histoire de l’art.

Bibliographie :

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Wébographie :

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