Belle étoile analyse

Ce morceau est le premier de l’EP « Nébuleuse », sans compter que cet EP est le premier réalisé par Chloëmoi. 

L’introduction (0.00-0.20) du morceau arrive avec une voix modifiée qui répète une phrase en boucle, un clavier qui joue les accords, la boîte à rythme, un vibraphone jouant une sorte de mélodie avec l’appui du clavier. On peut entendre aussi la voix lead en arrière, la voix commence déjà à chanter la mélodie ce qui introduit.

Le couplet (0.20-0.40) arrive ensuite, la basse, les backs, et la batterie sont rajoutés, on entend plus la seconde voix.

Le refrain (0.40-0.52) arrive, on entend une flûte, la deuxième voix revient. La voix lead est totalement mise en avant, on entend plus les backs. Le pont est plus léger, la basse ne joue plus, la batterie non plus, la flûte ne joue plus aussi, cependant la deuxième voix est mise en avant. Le deuxième couplet (1.10-1.50) a la même composition instrumentale que le premier, seulement la deuxième voix est laissée. Cette voix est enlevée au second refrain (1.50-2.03), la flûte revient, les backs s’arrêtent pour mettre la voix lead en avant. 

Le deuxième pont (2.02-2.22) est le même que le premier, ensuite le morceau termine avec un dernier couplet, ce qui est assez original, souvent un morceau se termine par un refrain suivi d’une coda.

Le troisième couplet (2.22-2.52) a donc la même composition que le second. Enfin la coda (2.52-3.15) se caractérise par la même composition du dernier couplet, seulement la voix lead est en arrière et elle répète les paroles du refrain ce qui fait tout de même un rappel. Le son de la voix est étouffé tout comme au début, la seconde voix est en premier plan. Le morceau s’arrête avec la fin de la phrase de la seconde voix. 

Voici un tableau détaillé du morceau :

« M2C » 

M: la première lettre indique si l’instrument joue dans les médium (M), aigus (A) ou graves (G)

2 : le chiffre est une échelle de l’instrument mis le plus en avant (1), au plus en arrière (3)

C : cette lettre indique ou se place l’instrument dans les oreilles de l’auditeur (avec un casque ou des écouteurs), comment est réparti le son, plus à gauche (G), au centre (C) ou à droite (D)

Ma trace Analyse

Le deuxième titre de l’EP Nébuleuse est “Ma trace”, ce morceau aux influences latines est d’une durée de 2m41, et est structuré d’une intro, refrain, un couplet chanté, interlude musicale, refrain, un couplet rap d’un artiste en featuring du nom de Daryl Bengo et un refrain final.

Le morceau commence sur un arpège de guitare classique, jouant la progression harmonique suivante : F#m E D C#7, d’une manière qui donne tout de suite la couleur d’une musique d’amérique du sud. Toujours durant l’introduction, un clavier électrique ainsi que la section rythmique (batterie/basse) s’ajoutent, le rythme est latin mais les sonorités sont électroniques. Avec ça des voix enregistrées chantant des mélodies en arrière plan. 

La voix lead (Chloë) entre dès 0:22 pour un premier refrain épuré (sans arrière voix) qui dure la moitié du temps du refrain conventionnel de ce morceau. Tout de suite après le couplet, Chloë chante en voix pleine dans un volume moyen, des phrases courtes, jusqu’à 1:07, où l’instrumentale se réduit aux accords de guitare, ce qui crée un rappel de l’introduction, et, toujours fidèle au début du morceau, un refrain vient après cette interlude musicale, cette fois-ci, le double de la durée, avec des harmonies vocales soutenants la voix lead. 

Une fois le refrain achevé, le couplet rap commence sur fond de basse/batterie + clavier électrique, proche du synthétiseur, avant de finir sur un dernier refrain, sur l’instrumentale complète.

Le temps est compté analyse

Le temps est compté est le troisième morceau de l’album Nébuleuse.

Le morceau commence par une introduction (0.00 à 0.22) avec une mélodie jouée par un Rhodes, ensuite des accords de piano viennent soutenir la mélodie. Il y a une sorte d’effet ancien sur la mélodie, comme si l’on écoutait une vieille cassette ou un vinyle. Le son est un peu étouffé jusqu’à l’arrivée de la chanteuse. On sent l’arrivée du chant avec les chœurs qui commencent à apparaitre et l’éclaircissement du son à la fin de l’intro.

Lorsque le couplet (0.22-0.58) commence le son est beaucoup plus clair, plusieurs instruments s’ajoutent dont la basse, la batterie, la boîte à rythme. Le piano s’arrête mais le Rhodes continue à jouer. Les chœurs accompagnent aussi fortement la mélodie, on sent une grande exploitation de la voix.

Après le couplet, le pré refrain (0.58-1.10) prend le relais sans qu’on s’y attende. Le changement se fait par un changement d’instrumentation : le piano revient, la boite à rythme et la batterie s’arrêtent de jouer. Un nouvel instrument prend place : l’orgue.

On sent arriver le refrain car d’un coup l’ensemble joue un silence, plus aucun instrument n’est joué. Puis le refrain (1.10- 1.58) arrive en ramenant tous les instruments : piano, Rhodes, boîte à rythme, basse, batterie, voix lead, chœur, orgue.

Le pont (1.58-2.19) arrive de manière assez naturelle, la voix lead s’arrête avec le piano et la batterie, un instrument s’ajoute en plus : la guitare. La batterie et la boite a rythme réapparaît au milieu du pont (2.10).

Le deuxième couplet (2.19-2.56) a la même composition que le premier.

Le deuxième pré- refrain a aussi la même composition que le premier en rajoutant la guitare qui n’était pour l’instant présente que sur le pont. Le pré-refrain est différent du premier, il y a une sorte de fade-out à un moment dans lequel la voix lead est mise en arrière pour ensuite revenir pour le deuxième refrain.

Le deuxième refrain (3.08-3.54) fait jouer tous les instruments en même temps avec les chœurs et la voix lead.

La coda possède aussi tous les instruments mais il n’y a plus les instruments à fonction rythmique. Il y a une dernière phrase chantée de la voix lead pour introduire la coda puis on n’entend cet effet de vinyle qui revient, il n’y a plus que le Rhodes et le piano qui joue, ce qui fais comprendre à l’auditeur que le morceau se termine. 

Dans ce morceau, la voix lead est totalement mise en avant, les instruments sont en arrière, on entend que la rythmique est aussi assez importante. 

Les instruments les plus en arrière sont la basse, le piano et la guitare la plupart du temps, les autres sont en deuxième position. 

Voici un tableau détaillé de l’analyse du morceau : 

« M2D » 

M: la première lettre indique si l’instrument joue dans les médium (M), aigus (A) ou graves (G)

2 : le chiffre est une échelle de l’instrument mis le plus en avant (1), au plus en arrière (3)

D : cette lettre indique ou se place l’instrument dans les oreilles de l’auditeur (avec un casque ou des écouteurs), comment est réparti le son, plus à gauche (G), au centre (C) ou à droite (D)

Nova Analyse

Nova est le quatrième morceau de l’EP Nébuleuse, caractérisé par un rythme Hip-Hop sur lequel se place une voix lead entre le rap et le chant d’influence R&B, le morceau fait 3:09 de long et structuré d’une intro, de deux couplets, deux refrains ainsi que d’un pont et d’une coda.

Le morceau débute sur une intro calme, avec seulement deux éléments, un clavier qui laisse déjà entendre la progression harmonique composée de quatre accords, Fm9 | G7b13 | Cm9 | Cm7 , et une voix « pitched », une mélodie chantée par une voix dont on a baissé la tonalité numériquement, cette mélodie de voix sera omniprésente dans le morceau. Un charleston ou « Hi-Hat » de nature électronique se fait entendre sur la fin de l’introduction, annonçant l’entrée de la batterie lors du premier couplet.

Le couplet 1 se distingue par l’arrivée de trois éléments, la batterie (grosse caisse et caisse claire), la basse et la voix lead. Le duo batterie-basse effectue un rythme classique Hip-Hop assez minimaliste, tandis que la voix tient un discours « rapide » proche du rap mais en restant chanté. La voix est supportée par des backs pour la seconde moitié du couplet.

Dès l’entrée en refrain, la section rythmique s’absente, et ne laisse que le piano électrique jouer de longs arpèges, et la voix lead, qui chante un motifs répétitif de plus en plus fort, pour arriver à la seconde moitié du refrain, ou une harmonie vocale (à distance de tierce) s’ajoute, une trompette qui monte la gamme en crescendo, et le retour d’une partie de la batterie qui prépare le second couplet.

À l’exception des paroles, le second couplet et second refrain sont identiques aux premiers, il vient après un pont, sur une instrumentation identique à celle du couplet, sur laquelle vient raper l’artiste en featuring nommé Samson, appuyé par des backs de Chloë, nous amenant à une outro ou « coda », où Chloë chante de nouveau sur l’instrumentation entière qui finit en « fade-out ».

Sous les astres analyse

Sous les astres est le cinquième titre du premier EP de Chloëmoi intitulé « Nébuleuse ».
Ce morceau s’inscrit complètement dans la direction artistique du projet, caractérisé par une rythmique qui se rapproche du rap avec une voix plus soul/pop.
Ce morceau présente une structure plutôt classique alternant couplet et refrain, où les refrains sont introduits par un pré-refrain, à l’exception du premier qui fais office d’introduction. Cette structure se conclut sur un refrain deux fois plus long permettant au morceau de monter en intensité et de finir sur son apothéose.
L’instrumentation du morceau est sobre car seulement composée de quelques instruments que l’on retrouve à travers tout le titre. Les instruments sont une batterie électronique, une basse style 808, un piano, un synthétiseur, ainsi que les divers pistes de voix (lead et backs).
La batterie couvre à elle seule la partie rythmique et joue durant tout le morceau. Elle n’est jouée que partiellement sur les pré-refrains et refrains mais est jouée entièrement au cours des couplets.
La batterie est ici beaucoup utilisée pour faire varier l’intensité entre les parties : elle est jouée entièrement sur les couplets et devient encore plus présente à la moitié du couplet pour faire monter la pression. À l’inverse elle fait redescendre la pression quand disparaît en partie sur les pré-refrains et refrains.
La basse, le piano et le synthétiseur sont la base harmonique du titre sur laquelle la voix peut se poser pour constituer la partie mélodique:le « Lead ». Ces trois instruments harmoniques sont aussi utilisés pour créer une texture sonore et donner une ambiance au morceau.

Nébuleuse Analyse

          Finalement, cet EP se conclut par un morceau du même nom, aux influences Hip-Hop moderne, plus chargé rythmiquement et aux sonorités plus électroniques. D’une durée de 3m05, ce morceau est structuré de la manière suivante: introduction, couplet, pré-refrain, refrain, une seconde fois couplet, pré-refrain et refrain, et coda pour finir.

L’introduction est relativement calme, on y entend que le piano électrique type rhodes, jouant la progression harmonique composée de trois accords ( C#m9 F# G ) accompagné d’un synthétiseur jouant des nappes qu’on pourrait qualifier d’ »atmosphérique », la voix de Chloë entre suite à ça à volume bas, chantant des onomatopées, puis des paroles juste après à l’entrée du premier couplet, accompagné rythmiquement d’un snap (claquement de doigts) durant la première moitié. La seconde, elle, se distingue par l’entrée d’un rythme de charleston rapide et saccadé et d’une caisse claire électronique (boite à rythme), ainsi que d’une basse discrète jouant un rôle rythmique. 

Cette basse se voit évoluer en une Tr-808, ou du moins une émulation électronique de cet instrument, jouant des lignes longues et fortes, lors du pré-refrain, on entend aussi une grosse caisse ou « kick » sèche et puissante jouant des motifs rapides en début de mesure. Le refrain quant à lui se distingue fortement des autres parties, la voix lead est fortement modifiée, on entend un effet donnant un côté assez robotique, et en réponse à cette voix nous avons un synthétiseur jouant une ligne mélodique.

Ce refrain baisse en intensité sur la seconde moitié, moins d’effets sur la voix, et la section rythmique est réduite à un snap. Ces trois parties se répètent une fois de plus dans la structure, avant d’arriver à la coda où ce n’est plus que la voix de Chloë chantant dans les aigus en voix de tête, sur la nappe du piano électronique et synthétiseur harmonique.

Vivre libre analyse

Le sample utilisé est un sample créé par Grant Lapointe qui s’appelle « Fallen Angel » très connu depuis 2020, utilisé par de nombreux rappeurs actuels comme Baby Neelou ou Dara.
Il est composé d’une basse électrique, d’un clavier rhodes, d’une guitare électrique qui joue des wawa et d’une flûte. Le clavier de la guitare électrique ont une fonction mélodique tandis que la flûte et la basse ont une fonction de harmonique. Le sample est joué tout au long du morceau.
La structure (Time code) Chloëmoi commence le morceau en faisant des harmonie avec sa voix, s’enchaîne très vite le près-couplet très court, avec une voix « effet téléphone » qui vas pitch jusqu’au début ducouplet : La batterie qui complète le sample sur le couplet est une boîte à rythme virtuel composé d’un kick, d’un rim avec de la réverbération, des hit-hat et un open-hat.
Elle va chanter avec cette batterie jusqu’au pré refrain dans lequel la batterie va s’arrêter pour laisser place à un clavier à caractère harmonique puis un ensemble d’instruments à cordes virtuelles accompagne le sample de façon saccadée jusqu’au refrain dans lequelChloëmoi chante avec le retour des Harmonies vocales.
Puis le deuxième couplet avec les mêmes éléments que le premier ( sauf pour les paroles.
Puis le prè refrain , différent par les paroles mais identique par l’arrangement
Puis un dernier refrain jusqu’à l’outro composé de du sample sans la batterie avec desvocalises de Chloëmoi contenant un peu de réverbération.

Second souffle analyse

Second souffle analyse

    Second souffle est le deuxième morceau de l’EP qui porte le même nom, on y retrouve une influence Neo-Soul bien plus prononcé que chez les autres morceaux, notamment par la progression harmonique contenant des accords enrichis et rythme “groove”. Le titre est d’une durée de 2m56, et composé d’un premier couplet suivis d’un refrain, puis une second couplet après lequel nous avons un pont, puis pour finir deux refrains à la suite, le dernier refrain sert en partie de coda.

Le morceau commence sur les accords de piano électrique majoritairement plaqués sur les contretemps, jouant la progression harmonique suivante [ Cm9 Cmaj9 | Fm9 | F/G Em | Ebmaj7 ] par dessus laquelle on entend un extrait d’un discours de [ ] en effet « radio » ou « bandpass » qui consiste à retirer les fréquences les plus graves et plus aigus de l’objet sonore. Sur la fin de l’introduction on entend un charleston ou « Hi-Hat » et un « snap » (bruit de claquement de doigt) qui annonce l’entrée de la batterie lors du premier couplet.

L’entrée en couplet se distingue par le jeu de batterie au complet (ajout de grosse caisse et caisse claire), et l’entrée de la voix lead dans un registre plutôt rap. La basse, qui est un équivalent électronique d’une Tr-808 ne rentre qu’à la deuxième moitié du couplet qui peut aussi faire office de pré-refrain, on y entend aussi des chœurs qui viennent appuyer la voix lead.

Le refrain quant à lui accueille de nouveaux sons innovants, tel que deux synthétiseurs, le premier jouant un rôle de nappe harmonique, et le second est doté d’un effet “wah” qui joue une mélodie en réponse à la voix, on retrouvera cette mélodie au second couplet et deuxième refrain.

Le pont succédant au deuxième refrain est caractérisé par vide rythmique, on y entend que deux éléments, le synthétiseur harmonique mentionné précédemment, et la voix lead (accompagné de ses chœurs), nous menant au deuxième et troisième refrain tout de suite après, la deuxième partie du troisième couplet fait également office de coda, il n’y a plus de section rythmique, seulement le piano électrique et la voix, à l’image de l’introduction. 

Tempête analyse

Ce morceau est le troisième morceau du dernier EP de Chloëmoi, c’est aussi le titre le plus connu de l’artiste.

Ce titre est structuré de manière suivante :

L’introduction (0.00-0.08) se caractérise par l’entrée de plusieurs instruments qui vont installer l’ambiance du morceau, on entend une boite à rythme ( avec un shaker), un clavier, des backs de voix et une orgue qui donne un rythme dansant.

Le refrain (0.08-0.18) enchaîne directement avec l’intro, c’est assez inhabituel, normalement, on peut imaginer que le premier couplet arrive après l’intro. Le refrain amène de nouveaux instruments dont la voix lead et la batterie, on peut entre l’absence de l’orgue sur cette partie. 

Le premier couplet (0.18-0.38) se démarque fortement du refrain car le shaker qui prend assez de place s’arrête de jouer puis reprend avec toute la boîte à rythme (0.30) , la basse se rajoute aussi ce qui donne de la profondeur, l’orgue reprend aussi au même moment que le shaker, on sent une montée vers le refrain. 

Arrive le pré-refrain (0.38-0.57), l’orgue s’arrête, la batterie aussi et la boîte à rythme s’arrête, il n’y a que la shaker qui reste en fond. La voix lead, le clavier et les backs sont présent tout le long.

Le deuxième refrain (0.57-1.17) fait jouer tous les instruments du morceau, l’orgue se rajoute à la répétition du refrain pour amplifier cette partie (1.08). C’est uniquement en écoutant tout le morceau que l’auditeur comprend que le refrain à déjà été joué au début mais de manière moins complète.

Le deuxième couplet (1.17-1.48) possède le même accompagnement que le premier, il commence sans boîte à rythme ni batterie puis la section rythmique se rajoute (1.28).

Le pont (1.48-1.57) se caractérise par un silence de tous les instruments, un bruit de vague s’installe, faisant une pause dans le morceau. On entend petit à petit l’orgue qui revient, plus l’orgue se fait entendre plus on sent que la mélodie va reprendre.

Le pré-refrain (1.57-2.18) arrive après le pont, il a la même construction que le premier. Le dernier refrain (2.18-2.36) est le même que le précédent, l’orgue se fait aussi entendre à la répétition du refrain (2.26).

La coda se caractérise par l’arrêt de presque tous les instruments sauf le clavier et la voix lead qui chante une mélodie, le son de la voix a été modifié. On repense au début du morceau, les premières secondes commencent de la même manière. 

Voici un tableau détaillé du morceau :

Née pour ça analyse

Ce morceau est la 3ème piste de l’EP Second Souffle. Il commence avec une boîte à rythme et des accords joués au synthétiseur puis la voix principale entre pour commencer le premier couplet. Une basse de style 808 rentre au deuxième couplet accompagnée par des backs. La boîte à rythme disparaît ensuite sur le pré-refrain pour laisser place à une nouvelle mélodie de chant. La boîte a rythme revient ensuite au premier sur le refrain accompagnée de nouveaux accords au synthétiseur et d’une nouvelle mélodie au chant. La structure détaillée précédemment se répète ensuite à l’identique puis se conclue par un refrain final. La structure entière du morceau est est donc la suivante: Intro, couplet 1, couplet 2, pré-refrain, refrain 1, couplet 3, couplet 4, pre-refrain, refrain 2 puis refrain final. La structure se répète donc à l’identique après le premier refrain à l’exception notable des paroles pour les couplets 3 et 4 et du refrain final ajouté pour conclure les morceau. Cette piste s’inscrit fortement dans le mouvement de la pop urbaine. Les influences rap/hip-hop de chloë sont marquées sur ce titre autant par l’instrumentation (boîte à rythme, basse style 808) que par le chant presque rappé.

Néo vision analyse