D’une bibliothèque à l’autre, on en conviendra, les pratiques ne sont pas toujours identiques, qu’il s’agisse d’horaires d’ouverture, de règles de prêt, de l’intensité du chauffage voire de l’ambiance générale. Prenons ici un seul exemple : la cote, cette « adresse » du livre, que l’on va relever dans le catalogue Archipel, et qui va par exemple nous permettre de retrouver dans les rayonnages le Dreams from my father convoité.
Dans les bibliothèques d’UFR ou à la bibliothèque centrale les ouvrages en accès libre sont classés en Dewey, par thématiques. C’est ce même classement qui sera suivi au Centre des langues : les documents seront rangés par grandes classes, de 000 à 900 (par exemple dans les 900 on trouvera l’histoire) et dans chaque classe, les ouvrages seront rangés par aires linguistiques. Nous reviendrons sur ces spécificités de classement mais pour l’heure, il est question d’étiquette.
Actuellement, chacune de nos bibliothèques a adopté sa propre façon de présenter les cotes. Nous en avons la preuve :
Au Centre de ressources des langues, tous les ouvrages auront des cotes homogènes.
Pour ce faire, et pendant quelques mois, la société GRAHAL, recrutée par appel d’offre, va se charger d’harmoniser livres et revues, exemplaire par exemplaire, rayonnage par rayonnage, et de bibliothèque en bibliothèque. Conséquence inévitable de ces opérations, certains ouvrages vont être très ponctuellement immobilisés et donc indisponibles, par tranches de cotes.
Si ces opérations génèrent quelques désagréments, les bibliothèques continuent à fonctionner jusqu’à la fin de l’année étudiante, et les ouvrages à circuler.