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11-14 La construction de l’identité professionnelle des cadres soignants de pôle dans le contexte des profondes mutations du champ de la santé.

Fabienne Sintes, Cadre Supérieur de Santé / Pôle Femme-Parents-Enfants / Centre Hospitalier de Montauban

Christine Merienne, Doctorante, Cadre Supérieur de Santé / Direction des soins / Centre Hospitalier de Montauban

La nouvelle gouvernance et la loi HPST confrontent les cadres soignants de pôle à des questionnements identitaires en lien avec la redéfinition de leur rôle et de leurs missions au sein de l’organisation polaire. Cette étude a pour objectif d’étudier les liens entre les représentations, les identités et les pratiques professionnelles des cadres soignants de pôle et ainsi définir leur système d’activités professionnelles (Blin, 1997). Pour illustrer nos propos, nous nous appuierons sur les pratiques managériales de collaboration développées au sein du pôle et avec les directions.

Nous avons mené 12 entretiens semi-directifs réalisés auprès de cadres soignants de pôle, de chefs de pôle, de cadres administratifs de pôle et de directeurs délégués de pôle. Pour le traitement des données, nous avons procédé à une analyse de contenu manuelle.

Les résultats de notre enquête de terrain laissent apparaître que l’identité (Dubar, 2000) des cadres soignants de pôle est  fluctuante, en évolution permanente en lien avec le contexte des réformes et des évolutions dans le champ de la santé. Les pratiques managériales de collaboration sont en construction. Le statut du cadre soignant de pôle qui peut être un cadre supérieur de santé y est central ainsi que le positionnement de la direction des soins infirmiers. Cette instance peut permettre d’instaurer une régulation transversale et catalyser une dynamique d’établissement.

Références bibliographiques :

  • Blin J-F. (1997). Représentation, pratiques et identités professionnelles. Paris, Editions  L’Harmattan.
  • Dubar, C. (2000). La socialisation : construction des identités sociales et professionnelles. Paris, Armand Colin.
  • Dubar, C. & Tripier, P. (2003). Sociologie des professions. Paris, Armand Colin.
  • Rocheblave-Spenlé, AM. (1962). La notion de rôle en psychologie sociale. Paris, Presses Universitaires de France.
  • Tap, P. (1980). Identité individuelle et personnalisation, Toulouse, Privat, coll. « Sciences de l’homme »,‎ (réimpr. 1986).

11-13 La prévention entre changements et continuité : réflexions psychosociales

Lionel Dany, MCF-HDR à l’ l’Université d’Aix, France.

La prévention occupe une place des plus importante du fait de son histoire et de son inscription de plus en plus marquée dans nos sociétés contemporaines. En France, elle va être en mesure d’occuper, dans les années à venir, une place encore plus importante du fait de la « feuille de route » associée à la Stratégie Nationale de Santé. Dans ce contexte, il nous semble important de pouvoir nous interroger, d’une part, sur l’inscription de la prévention dans le « projet » de la santé publique (cf. Lupton, 1995), d’autre part, sur les présupposés et conséquences possibles de la mise en œuvre du « principe de prévention » (Peretti-Watel & Moatti, 2009).

Il peut être intéressant de questionner les leviers potentiels du changement du paradigme préventif en pointant certains défis, non-exclusifs les uns des autres, que la prévention pourrait être amenée à relever : un défi réflexif (Comment penser les rôles, fonctions et champs de la prévention ?) ; un défi créatif (Comment mettre en œuvre la prévention ?) ; un défi évaluatif (Comment évaluer la prévention ?) et un défi éthique (Comment mettre en œuvre la prévention dans le respect de chacun-e ?).

Ces défis et leurs enjeux peuvent être décrits dans une perspective psychosociale (Apostolidis & Dany, 2012 ; Falomir & Mugny, 2004) visant à contextualiser les processus sous-jacents aux conduites de santé, à leur régulation, à leur explicitation et à leur légitimation.

références bibliographiques :

  • Apostolidis, T., & Dany, L. (2012). Pensée sociale et risques dans le domaine de la santé : le regard des représentations sociales. Psychologie Française57, 67-81.
  • Falomir, J.M., Mugny, G. (2004). Société contre fumeur. Grenoble : Presses Universitaires de Genoble.
  • Lupton, D. (1995). The imperative of health. London : Sage.
  • Peretti-Watel, P., & Moatti, J-P. (2009). Le principe de prévention. Paris : Seuil.

11-12 Animer les résultats de recherche en milieu clinique, une innovation infirmière le Réseau infirmier : un Partenaire de Soins

Hélène Lefebvre, Ph.D. en sciences infirmières, professeur titulaire, Vice-doyenne recherche et développement international, Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation (CRIR), Université de Montréal, Canada

Cet article présentera une innovation clinique infirmière en oncologie, pour un meilleur continuum de soins et de services pour les  patients. L’échange de connaissances est un processus dynamique interactif entre les partenaires, chercheurs et utilisateurs. La pratique fondée sur les résultats probants consiste en l’application systématique des meilleures données scientifiques concernant la prise de décision et l’action en contexte clinique, administratif ou stratégique. Fixsen et al. identifient un ensemble de composantes essentielles à l’implantation d’un changement qu’ils organisent autour d’un modèle d’implantation (Implementation Science). Ils proposent un processus d’implantation multi-niveaux au sein d’une organisation qui se déroule en différents stades d’implantation. L’objectif de cette contribution est de présenter le Réseau Infirmier-Partenaires de soins dans le cadre du développement d’une innovation clinique interactive, la mise en place d’un Portail d’échanges de savoirs (PES), le but est d’explorer les effets de ce portail d’échanges de savoirs (PES) sur l’implantation et l’appropriation des pratiques chez les infirmières et professionnels de la santé, et sur l’expérience de santé des patients dans le contexte de la planification de congé en oncologie.

 

références bibliographiques :

  • Baumbusch, J.L., Kirkham, S.R., Khan, K.B. et al. (2008). Pursuing Common Agendas : A Collaborative Model for Knowledge Translation between Research and Practices in Clinical Settings. Research in Nursing & Health, 31, 130-140.
  • Duda, M.A. et Brown, J. (2011). Overview of Implementation Science. Site Visit Orientation. National Implementation Research Network. University of North Carolina Global Implementation Conference.
  • Gurzick, M. et Kesten, K.S. (2010). The Impact of Clinical Nurse Specialists on Clinical Pathways in the Application of Evidence-based Practice. Journal of Professional Nursing, 26(1), 42-48.

11-11 Introduction des pratiques avancées en soins: vers un modèle français ?

Christophe Debout, PhD, Directeur du département des sciences infirmières et paramédicales, EHESP, LaRI (Laboratoire de Recherche Infirmière), Université : Rennes-Sorbonne Paris Cité, France

Anne-Marie Doré, Directeur des soins, Fédération Hospitalière de France, France

 

La prévalence des maladies chroniques au sein de notre population couplée à la volonté de trouver des stratégies optimisées de prise en charge des patients et de leurs proches dans un système décloisonné ont donné une place centrale à la notion de parcours de soins. L’introduction des coopérations entre professionnels de santé en 2009 était une stratégie visant à répondre à ce défi. En réponse aux axes de progrès identifiés dans la mise en œuvre des protocoles de coopération et en accord avec les recommandations du rapport Hénart, la Fédération Hospitalière de France (FHF) a engagé une réflexion en 2012 afin de proposer un cadre national favorisant l’introduction des pratiques avancées en France. Un groupe d’experts a recommandé l’introduction nationale de pratiques avancées plutôt que de multiplier les protocoles de coopération. Cinq piliers ont été mis en évidence dans le modèle développé : législation, formation, régulation, rémunération et accompagnement du changement..

 

références bibliographiques :

  • Debout C. (2012). Infirmières de pratiques avancées et défis de santé publique. Soins cadres. Vol 21, 81, 14-17
  • Debout C. (2011). Pratiques avancées en soins infirmiers, l’exemple américain. Soins Psychiatrie. 277, 18-22.
  • Debout C. (2011). Un éclairage international sur les pratiques avancées en soins infirmiers au service des réflexions nationales. Les cahiers de la puéricultrice Vol 48, 244, 10-12.

11-10 L’utilisation de cartes conceptuelles dans l’apprentissage au raisonnement clinique

Anne Demeester, doctorante, EA 4671 ADEF et IRSS (institut de recherche santé et société), Université d’Aix-Marseille, France

Dominique Vanpee, MD PhD – HDR, IRSS (institut de recherche santé et société), Université Catholique de Louvain, Belgique

Chantal Eymard, MCF HDR, EA ADEF, Université Aix-Marseille, France

 

Le raisonnement clinique (RC), compétence transversale en sciences de la santé, se définit comme un ensemble de processus de pensée et de décision permettant la résolution de problèmes de santé posé par un patient. Activité cognitive incitant à la mise en liens, la construction de cartes conceptuelles (CC), pourrait potentiellement aider les étudiants à raisonner et améliorer leur performance dans la résolution de cas cliniques. L’objectif est de comparer la performance des étudiants dans la résolution de cas cliniques, lorsqu’ils réalisent ou non une carte conceptuelle, et recueillir leur perception. Le cadre conceptuel de l’étude se réfère d’une part à la psychologie cognitive pour expliquer les processus de raisonnement et d’autre part au courant constructiviste des théories de l’apprentissage appliqué au champ de l’éducation en sciences de la santé. L’étude, expérimentale et prospective, a été conduite auprès de 97 étudiants sages-femmes. Le dispositif incluait une formation aux CC puis quatre étapes de résolution de cas cliniques.

 

références bibliographiques :

  • Demeester A, Vanpee D, Marchand C, Eymard C. (2010). Clinical reasoning learning : concept mapping as a relevant   strategy. Pédagogie Médicale, 11, 81-95.
  • Demeester A, Eymard C, Vanpee D. (2012). Apprentissage du raisonnement clinique : difficultés identifiées en formation initiale sage-femme. Revue Française de Pédagogie, 181, 43-54.
  • Eva, K. (2004). What every teacher needs to know about clinical reasoning. Medical Education, 39, 98-106.

11-9 Pratiques avancées : des Représentations professionnelles aux repères pour accompagner le changement

Bruno Bastiani, doctorant, UMR EFTS, Université Toulouse 2 Le Mirail, France

Nadia Péoc’h, Docteur-Chercheur associé, Cadre Supérieur de Santé des Hôpitaux de Toulouse, UMR EFTS, Université Toulouse 2 Le Mirail, France

Ghyslaine Lopez, Cadre Supérieur en Anesthésie Réanimation, Hôpitaux de Toulouse, France

Vincent Minville, PU-PH en Anesthésie Réanimation, EA 4564 MATN IFR 150 1, Université Toulouse 3, France

 

Cette contribution va rendre compte d’une recherche dont les données empiriques sont issues d’entretiens avec des professionnels, médecins et paramédicaux, exerçant dans un bloc opératoire. Cette recherche s’intéresse aux représentations professionnelles (Piaser, 1999) des pratiques avancées (Péoc’h er Saint-Jean, 2012 ; Berland, 2003), dans une visée compréhensive et praxéologique, afin de proposer des recommandations pour accompagner le changement (Watzlawick, 1975 ; Cros, 2004 ; Lafortune, 2008) qui constitue un tournant majeur dans le champ de la santé. Nous avons complété le point de vue des professionnels par des entretiens au niveau décisionnel, auprès d’acteurs susceptibles d’impulser la mise en place des pratiques avancées. Les données ont été traitées manuellement à partir de l’Analyse Phénoménologique Interprétative (Smith, 1995 ; Apostolidis, 2003) et de l’analyse de contenu catégorielle (Bardin, 2007). Des repères pour l’accompagnement du changement sont proposés.

 

références bibliographiques :

  • Lafortune, L. (2008). Un modèle d’accompagnement professionnel d’un changement. Québec : Presses Universitaires du Québec.
  • Péoc’h, N. & Saint-Jean, M. (2012). La pratique avancée : une évolution attendue à l’intersection de l’art, la praxis et l’action. Gestion hospitalière, 516, 313-317.
  • Piaser, A. (1999). Représentations professionnelles à l’école. Particularités selon le statut : enseignant, inspecteur. Thèse de doctorat, Université Toulouse 2 – Le Mirail, Toulouse.

11-8 La fonction de tuteur : Continuité, transformation ou mutation du processus de professionnalisation

Marine Do, doctorante, UMR EFTS, université Toulouse 2 Le Mirail, France

 

Notre contribution propose  une réflexion sur le processus de transformation du groupe professionnel infirmier suite à une réforme profonde de son dispositif de formation. Pour mieux comprendre les formes d’autonomie professionnelle émergeantes, nous nous sommes intéressé plus précisément au changement de processus de professionnalisation induit, en étudiant les nouvelles déclinaisons des modalités d’alternance où le rôle de tuteur de stage, à la fonction pédagogique renforcée, est inédit. Les résultats issus de notre enquête de terrain, basée sur des entretiens semi-directifs (en groupe et en individuel) des différents acteurs, impliqués dans le processus de professionnalisation, nous ont  permis de repérer les stratégies de formation mises en œuvre par les professionnels pour encadrer les étudiants en stage. Nous présentons ici les résultats de notre recherche, au regard notamment de la notion d’appropriation (en référence au concept d’innovation d’Alter (2000) qui nous a amené à interroger le niveau de changement et à déterminer de quelles manières les nouvelles pratiques deviennent effectives et propices à un changement durable.

 

références bibliographiques :

  • Clénet, J. (2002), l’ingénierie des formations en alternance, Paris : L’Harmattan
  • Kunégel, P., (2011), Les maîtres d’apprentissage : Analyse des pratiques tutorales en situation de travail, Paris : l’Harmattan
  • Wittorski , R., « Professionnaliser la formation : enjeux, modalités, difficultés », Formation emploi 1/2008,101, 105-117.

11-7 Du virtuel au réel : quel impact des Serious game (3dVor) sur le processus d’enseignement/ apprentissage ?

Ingrid Verscheure, MCF, UMR EFTS, Université de Toulouse 2 Le Mirail, France

David Panzoli, MCF, IRIT, CUFR Champollion France

Catherine Pons Lebardeux, CUFR Champollion France

Vincent Lubrano, Inserm U 825, pôle neurosciences & neurochirurgie, CHU de Toulouse

Vincent Minville, MATN, UPS, CHU Toulouse

 

Actuellement, des difficultés d’enseignement sont inhérentes à la formation initiale médicale. L’enjeu de l’apprentissage par l’intermédiaire d’un serious game (3DVOR, 3D Virtual Operating Room) est de faire acquérir des habiletés qui permettront de faire face ou du moins de s’adapter à des situations nouvelles (Pastré, 2002). L’introduction des serious game permettant des apprentissages par simulation semble constituer une piste de solutions aux problèmes de la formation initiale médicale (Sauvé et Kauffman, 2010). Pour analyser l’introduction de cet outil dans la formation, nous utilisons différents concepts de la didactique des savoirs professionnels (Vadcard, 2013). Les situations d’apprentissage se font sur la base de scénarios pédagogiques, encadrées par un formateur. Le recueil de données croise des données d’entretiens avec les formateurs et les formés et des données d’observation. Le traitement des données sera de type qualitatif et cherche à montrer que le serious game modifie les manières d’enseigner des formateurs et les façons d’apprendre des formés.

 

références bibliographiques :

  • Sauvé, L. & D. Kaufman (Eds.) (2010). Jeux et simulations éducatifs: Études de cas et leçons apprises. Québec, Canada : Presses de l’Université du Québec.
  • Vadcard, L. (2013). Etude didactique de la dialectique du travail et de la formation au bloc opératoire. Education et Didactique, 7(1), 117-146.
  • Verscheure I., Lelardeux, C., Rodsphon, T., Minville, V., Lubrano, V. (2013). 3d Virtual Operating Room : un outil pour accompagner le changement des pratiques dans la gestion des risques en bloc opératoire. Colloque AREF, Montpellier, France, 27-30 août 2013.

11-6 Expérience de la simulation : du changement en formation pour l’anesthésie réanimation

Vincent Minville, PU-PH en Anesthésie Réanimation, EA 4564 MATN IFR 150 1, Université Toulouse 3, France

Bruno Bastiani, doctorant, UMR EFTS, Université Toulouse 2 Le Mirail, France

Bernard Calmettes, MCF HDR, UMR EFTS, Université Toulouse 2 Le Mirail, France

 

Dans le cadre de la formation médicale et paramédicale, un simulateur d’anesthésie haute-fidélité est utilisé. Les simulations, mises en œuvre dans un bloc opératoire virtuel, sont élaborées à base de scénarios de situations critiques relatives au patient (ici représenté par un mannequin commandé par un ordinateur, Leardal™). Cette formation comporte un briefing, une simulation et un débriefing des situations vécues sur le principe d’échanges réflexifs et constructifs. L’analyse de la séance, conduite sous supervision, est considérée comme ayant autant d’importance que l’élaboration des scénarios et le pilotage des mannequins. Nous proposons de présenter les résultats de la première phase de la recherche : l’analyse des observations filmées des trois phases de la formation, des entretiens d’auto confrontation réalisés avec les personnes en formation et des entretiens réalisés avec les superviseurs. Ces travaux nous mènent à nous intéresser aux concepts de didactique professionnelle (Pastré, Mayen, Vergnaud, 2006), d’émotion (Dumont, 2010 ; Lafortune, 2005), de réflexivité (Lafortune, 2012), de clinique de l’activité (Clot, 2006), de simulation (Fauquet-Alekhine, 2011) pour soutenir nos analyses.

 

références bibliographiques :

  • Fauquet-Alekhine, PH. & Pehuet, N. (2011). Améliorer la pratique professionnelle par la simulation. Editions Octares, Toulouse, France.
  • Pastré, P., Mayen, P., Vergnaud, G. (2006). La didactique professionnelle. Revue française de pédagogie, 154, janvier-mars 2006, 145-198.
  • Pastré, P. (2006). Apprendre par l’action, apprendre par la simulation. Education Permanente,  168, 205-216.

11-5 Des principes d’accompagnement-formation pour la mise en œuvre de changements orientés dans le domaine de la santé

Louise Lafortune, Professeur associé, LECLIC (Laboratoire sur l’écriture, la communication et la lecture dans une perspective interdisciplinaire et culturelle), Université Québec à Trois-Rivières,  Canada

 

La situation de la formation dans les domaines de l’éducation et de la santé exige le développement de compétences professionnelles pour les personnes formatrices et celles qui sont en formation. Dans le cadre d’un projet d’accompagnement-formation, des milieux de formation (Hautes Écoles de Belgique) ont mis en œuvre des structures organisationnelles pour favoriser des actions concertées en sciences de la santé, particulièrement, dans le paramédical. Des actions de quatre institutions de formation ressort un modèle d’accompagnement-formation se déclinant de quatre façons, selon les milieux. La structure de ce modèle comporte 17 principes. L’analyse des données vise à faire ressortir des conditions facilitant la mise en œuvre de cette démarche. Quelques-unes de ces conditions seront présentées lors de la communication.

 

références bibliographiques :

  • Lafortune, L. avec la collaboration de C. Dury, C. Coopman-Mahieu, C. Bonte, C. Droulez, M. Morisse et A. Napoli (2012). Des stratégies réflexives-interactives pour  le développement de compétences. La formation en éducation et en santé. Québec : Presses de l’Université du Québec.
  • Lafortune, L. avec la collaboration de C. Lepage, F. Persechino et K. Bélanger (2008). Un modèle d’accompagnement professionnel d’un changement. Pour un leadership novateur. Québec, Presses de l’Université du Québec.
  • Périer, P. (2009). De l’effacement institutionnel à l’engagement des acteurs. Les professeurs du secondaire entre autonomie et épreuves subjectives. Éducation et sociétés, 23, 27-40.