En collaboration avec le Musée des Abattoirs de Toulouse qui proposait une exposition intitulée Le temps de Giacometti (1946-1966), le Centre de ressources Olympe de Gouges organisait une conférence.
#CULTURE
Rencontre avec Douglas Kennedy
À l’occasion du 15e festival Toulouse Polars du Sud, Douglas Kennedy est venu à la rencontre du public au Centre de Ressources des Langues (CRL).
Rencontre avec Alberto Ruy Sánchez
À l’occasion de la sortie de son roman Dossier Akhmatova, Alberto Ruy Sánchez a été reçu au Centre de Ressources des Langues (CRL).
Rencontre avec Gioacchino Criaco
À l’occasion du 15e festival Toulouse Polars du Sud, Gioacchino Criaco est venu à la rencontre du public au Centre de Ressources des Langues (CRL).
Dans les petits papiers d’Anouck Boisrobert
En janvier 2023, l’illustratrice Anouck Boisrobert était l’invitée de la bibliothèque de l’Inspé Toulouse Saint-Agne dans le cadre du Festival du Livre de Jeunesse Occitanie.
DRAMAPHONIES #3 : Flamingo’s dance
Découvrez le podcast « Dramaphonie » créé par les étudiant.e.s et dirigé par le comédien et metteur en scène Jean Jacques Mateu.
L’objectif de l’atelier « Dramaphonie » est de mettre en jeu, en voix et en son des extraits d’un texte joué au festival de théâtre Universitaire « Universcènes ».
DRAMAPHONIES #2 : Busard dans le béton de la raison
Mise en jeu, en voix et en son des extraits de la pièce PINKSON de Caren Jess.
➽ Le busard est saisi d’une dépression sans fond, et ses voisins de quelques vertiges métaphysiques.
Il y est question de genre, d’égalité, de métamorphose, d’emprise, d’ésotérisme. Le tout compose un ensemble baroque, entre théâtre narratif et allégorie.
DRAMAPHONIES #1 : Dinde
Découvrez le podcast créé par les étudiant.es et dirigé par le comédien et metteur en scène Jean Jacques Mateu.
PINKSON de Caren Jess, pièce cruelle et hilarante jouant sur les registres et les mots. Les personnages en sont de drôles d’oiseaux.
➽ La dinde-gourou conduit sans état d’âme ses adeptes à leur perte.
ITW / R1+2 / D’ENTRE DEUX EAUX
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Résumé
La Résidence 1+2 est une résidence Photographie et Sciences qui s’intéresse au territoire toulousain et midi-pyrénéen.
Tous les ans, elle associe un.e photographe confirmé.e et deux photographes émergent.e.s qui entrent en relation avec des chercheur.e.s et leurs laboratoires du site toulousain. Ensemble, ils discutent alors des projets des photographes qui vont s’alimenter des discussions avec les scientifiques pour nourrir leur projet artistique.
La résidence donne lieu à une exposition et une édition des productions photographiques ainsi qu’à un colloque au cours duquel les binômes ou trinômes de photographes et de chercheur.e.s explicitent leur démarche de travail.
En 2022, Jean Larive (photographe) et Anaïs Marshall (géographe) ont croisé leurs regards et leurs pratiques pour donner lieu au projet « D’entre deux eaux ». Ils se sont penchés sur les traces de l’inondation de 2018 dans l’Aude. Cette interview tente de décrypter la façon dont ils ont cheminé ensemble pour produire un ensemble d’images cohérent et significatif.
Fiche technique
Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès.
Réalisateur(s) : Nathalie Michaud
Editeur : Pôle Production LE VIDEOGRAPHE / Université Toulouse – Jean Jaurès
Date de réalisation : Octobre 2022
Durée du programme : 50 min
Langue : Français
Conditions d’utilisation / Copyright : Tous droits réservés à Université Toulouse – Jean Jaurès et aux auteurs.
THÉÂTRE / « La donna più grassa del mondo »
Résumé
Une grosse fissure menace la sécurité de l’immeuble où vivent les protagonistes de cette histoire. Un seul semble s’en rendre compte : c’est « L’Homme de l’étage au-dessous », qui depuis des mois tente en vain de convaincre ses voisins d’entamer des travaux de rénovation. Mais la fissure se situe exactement sous le sofa où vit « La Femme la plus grosse du monde », qui pèse 460 kg et ne peut plus bouger. La seule solution serait de la faire maigrir, mais le bonheur que la nourriture lui procure est trop grand pour que la femme et son mari puissent y renoncer. Un final surprenant ouvre cette situation comique à des horizons plus universels, en plaçant la dystopie face à la réalité.
Dans une époque où notre société semble avoir atteint son plus haut degré de richesse et de satisfaction, cette pièce – grotesque et paradoxale – nous pousse à imaginer une alternative à notre mode de vie, où le bonheur ne soit pas synonyme d’autodestruction.
Fiche technique
Auteur-e-s : Emanuele ALDROVANDI
Metteur en scène : Jean-Claude BASTOS
Acteurs / intervenants : Edoardo Ortolani, Claudio Pirisino, Estelle Crétier
Équipe technique : Georges Malka
Date : Mai 2021
Mots clés : Italien, théâtre politique, société de consommation, dystopie
Public / niveau : B1-C2
Discipline : Italien
Conditions d’utilisation / Copyright : Tous droits réservés aux auteurs.