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Vignette représentant un busard et un micro pour l'atelier Dramaphonies 2023 Autour de la pièce de théâtre Pinkson de Caren Jeß

DRAMAPHONIES #2 : Busard dans le béton de la raison

Mise en jeu, en voix et en son des extraits de la pièce PINKSON de Caren Jess.

➽ Le busard est saisi d’une dépression sans fond, et ses voisins de quelques vertiges métaphysiques.

Il y est question de genre, d’égalité, de métamorphose, d’emprise, d’ésotérisme. Le tout compose un ensemble baroque, entre théâtre narratif et allégorie.

Image d'illustration de la Résidence 1+2

ITW / R1+2 / D’ENTRE DEUX EAUX

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Résumé

La Résidence 1+2 est une résidence Photographie et Sciences qui s’intéresse au territoire toulousain et midi-pyrénéen. 

Tous les ans, elle associe un.e photographe confirmé.e et deux photographes émergent.e.s qui entrent en relation avec des chercheur.e.s et leurs laboratoires du site toulousain. Ensemble, ils discutent alors des projets des photographes qui vont s’alimenter des discussions avec les scientifiques pour nourrir leur projet artistique. 

La résidence donne lieu à une exposition et une édition des productions photographiques ainsi qu’à un colloque au cours duquel les binômes ou trinômes de photographes et de chercheur.e.s explicitent leur démarche de travail. 

En 2022, Jean Larive (photographe) et Anaïs Marshall (géographe) ont croisé leurs regards et leurs pratiques pour donner lieu au projet « D’entre deux eaux ». Ils se sont penchés sur les traces de l’inondation de 2018 dans l’Aude. Cette interview tente de décrypter la façon dont ils ont cheminé ensemble pour produire un ensemble d’images cohérent et significatif. 


Fiche technique

Auteur(s) : Marion Gautreau, Jean Larive, Anaïs Marshall

Producteur : Université Toulouse – Jean Jaurès.

Réalisateur(s) : Nathalie Michaud

Editeur : Pôle Production LE VIDEOGRAPHE /  Université Toulouse – Jean Jaurès

Date de réalisation : Octobre 2022

Durée du programme : 50 min

Langue : Français

Conditions d’utilisation / Copyright : Tous droits réservés à Université Toulouse – Jean Jaurès et aux auteurs.

THÉÂTRE / « La donna più grassa del mondo »

Résumé

Une grosse fissure menace la sécurité de l’immeuble où vivent les protagonistes de cette histoire. Un seul semble s’en rendre compte : c’est « L’Homme de l’étage au-dessous », qui depuis des mois tente en vain de convaincre ses voisins d’entamer des travaux de rénovation. Mais la fissure se situe exactement sous le sofa où vit « La Femme la plus grosse du monde », qui pèse 460 kg et ne peut plus bouger. La seule solution serait de la faire maigrir, mais le bonheur que la nourriture lui procure est trop grand pour que la femme et son mari puissent y renoncer. Un final surprenant ouvre cette situation comique à des horizons plus universels, en plaçant la dystopie face à la réalité.

Dans une époque où notre société semble avoir atteint son plus haut degré de richesse et de satisfaction, cette pièce – grotesque et paradoxale – nous pousse à imaginer une alternative à notre mode de vie, où le bonheur ne soit pas synonyme d’autodestruction.

Fiche technique

Auteur-e-s : Emanuele ALDROVANDI

Metteur en scène : Jean-Claude BASTOS

Acteurs / intervenants : Edoardo Ortolani, Claudio Pirisino, Estelle Crétier

Équipe technique : Georges Malka

Date : Mai 2021

Mots clés : Italien, théâtre politique, société de consommation, dystopie

Public / niveau : B1-C2

Discipline : Italien

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