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Histoire de cerises

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Résumé

Les cerisiers font partie du paysage de la Haute Vallée du Tarn depuis plusieurs siècles. La culture de la cerise a connu un développement économique important à partir des années 1940-1950. Elle était juste un complément de revenu et peu à peu, elle est devenue la principale production agricole de la Vallée. Cette mutation a créé le métier d’arboriculteur.

Les témoins de cette période charnière sont de moins en moins nombreux. Fort de ce constat la Maison de la Cerise a voulu par ce documentaire, non seulement recueillir leurs témoignages mais aussi garder en mémoire leurs gestes et leurs attitudes. Il ne s’agit pas ici de folklore ou de passéisme mais plutôt d’un regard sur notre histoire et notre culture commune. Un passage de relais…

L’objectif de ce documentaire est aussi de vous permettre de découvrir ou redécouvrir les principales techniques de la culture des cerises dans la Haute Vallée du Tarn, des plus anciennes (greffe, travail du cheval. vannerie…) au plus moderne (taille, calibrage, tri….).

Les témoignages, des plus anciens aux plus jeunes apportent un éclairage culturel et humain sur cette belle aventure de la cerise dans la Haute Vallée du Tarn.

Fiche technique

Durée : 1 h 05 mn

Production : Maison de la Cerise / DTICE-Université de Toulouse Il – Le Mirail
Réalisation : Nathalie MICHAUD assistée de Frédéric PLOMBAT
Conseil scientifique: Gérard BRIANE (Université de Toulouse II — Le Mirail)

Avec le soutien de :
La Communauté de Communes Millau Grands Causses, Le Conseil Général de l’Aveyron La Région Midi-Pyrénées. La Communauté Européenne (leader 2). Le Parc Naturel Régional des Grands Causses.

@ UTM / Mairie de Paulhe – juillet 2013

Dynamiques et enjeux des biodiversités et des agro-ressources

Cette ressource s’inscrit dans un dispositif de formation de niveau Licence et Master de géographie d’environnement et d’écologie, visant l’apprentissage des concepts des bases de l’environnement et du paysage et tout particulièrement les concepts de la biodiversité et de sa gestion.

Interroger la politique, interroger le commun / Jean-Luc Nancy

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Résumé

Conférence présentée par Elisabeth Rigal (enseignante-chercheure en philosophie, Université Aix-Marseille et Université Toulouse-Mirail) dans le cadre des « Mercredis de la connaissance » de l’Université Toulouse II-Le Mirail.

Le philosophe Jean-Luc Nancy convoque tour à tour Platon, la Révolution française, Carl Schmitt, les soviets, Marx, Spinoza, Georges Bataille, Michel Foucault… pour interroger le/la politique, l’État, la démocratie et interroger surtout le concept, la possibilité et le sens du « commun », de « l’être-en-commun », de « l’être-ensemble » communiste. « Le communisme représente la protestation contre l’État, la demande, l’exigence que l’existence commune ne soit pas assumée par, ni déléguée à, ni représentée par, ni pris en charge par cette instance, l’État ».

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Fiche technique

Date de réalisation : 23 Mai 2012

Durée du programme : 115 min
Classification Dewey : philosophie politique
Niveau : Tous publics / hors niveau

Auteur(s) : Jean-Luc NANCY
producteur : Université Toulouse II – Le Mirail
Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD 
Editeur : SCPAM Université Toulouse II – Le Mirail
Langue : Français
Conditions d’utilisation / Copyright : Tous droits réservés à l’Université Toulouse II-Le Mirail et à l’auteur.

La France de 2012 a t-elle encore une identité géographique ? / Armand Frémont

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Résumé

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Conférence-débat organisée dans le cadre des Mercredis de la connaissance et les Cafés géographiques à l’Université Toulouse- II-Le Mirail, présentée par Bernard Charlery de la Masselière et animée par Robert Marconis.

L’identité de la France est un objet obscur. Le territoire national avait trouvé son aboutissement à la frontière physique. Aujourd’hui la solidarité, la socialité et l’être ensemble ne se définissent plus uniquement par référence à une étendue spatiale continue sur laquelle s’exerce la souveraineté de l’État-national. Les frontières qui se dessinent à travers les réseaux sociaux ou la conscience partagée d’enjeux devenus planétaires sont à géométrie variable.

De façon assez paradoxale, Paul Vidal de la Blache, le fondateur de l’École française de Géographie, voyait dans la carte de la répartition, sur le territoire français, des masses minérales qui constituaient la diversité des identités régionales, « une grande figure d’harmonie, une individualité maîtresse, mais dans laquelle s’inscrivent des individualités secondaires, des régions étendues de physionomies diverses […] une heureuse combinaison qui a facilité chez nous la fusion des races, qui a présidé à l’unité de notre histoire ». Le ou les territoires de cette « heureuse combinaison » sont aujourd’hui à réinventer.

Certes, l’identité géographique de la France est solidement fixée au moins depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, en fait depuis la Troisième République : le territoire de l’hexagone national est reconstitué (cas de l’Alsace et de la Lorraine réglé), la centralisation en tous domaines intégrée, la parcellisation communale intangible, les paysages constitutifs d’une image géographique unifiée assimilés, par l’école notamment.

Ces figures expriment une certaine permanence des champs de référence du débat sur la république nationale. De façon très incertaine, la République s’est imaginée et imposée, dans un esprit à la fois moderniste et nationaliste, à partir en particulier de trois lobbies : agricole, colonial et laïc. L’identité nationale a été travaillée en profondeur par ce qui, dans la violence souvent, a pris le statut de mythes, au sens anthropologique du terme. Il n’est donc pas étonnant de les retrouver – tels quels ou leurs avatars – réactivés dans le débat actuel sur l’identité de la France, au moment où la nation doutant à nouveau d’elle-même a du mal à se projeter dans une vision cohérente de son devenir.

On peut s’interroger sur la pérennité des formes de cette identité : l’Europe, la mondialisation, la mobilité de la population, internet… mais aussi les mouvements régionaux, la régionalisation, l’outre-mer, l’émigration et le passé colonial, l’école elle-même, modifient la donne initiale. Vers une autre France, plus ouverte sur le monde, ou bien vers un repli identitaire ? Le grand débat en cours comprend incontestablement une forte composante géographique.

Fiche technique

Auteur(s) : Armand FRÉMONT, Bernard CHARLERY DE LA MASSELIÈRE

Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès – Campus Mirail

Date de réalisation : 25 janvier 2012

Durée du programme : 125 min

Niveau : niveau Licence (LMD)

Disciplines : Sociologie des cultures, Géographie physique, humaine, économique et régionale

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

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Renouer avec la chaîne vertueuse de l’alimentation / Carlo Petrini

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Résumé

Conférence organisée par le Centre d’Études du Tourisme, de l’Hôtellerie et des Industries de l’Alimentation (CETIA) de l’Université Toulouse II-Le Mirail et le Centre d’Étude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir (CERTOP / UTM-CNRS).

Présentation par Jean-Pierre Poulain, professeur de sociologie au CETIA. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 25 novembre 2011.

Dans cette conférence, Carlo Petrini présente tout d’abord les objectifs du mouvement Slow Food qu’il a créé en 1989 et le réseau mondial de communautés paysannes, Terra Madre.

Citant Brillat-Savarin dans La physiologie du goût (1825), « la gastronomie est la connaissance raisonnée de tout ce qui a rapport à l’homme, en tant qu’il se nourrit », il décrit les sciences gastronomiques dans leur dimension multidisciplinaire, touchant à l’agriculture, la zootechnie, la génétique, la chimie, l’anthropologie et la sociologie, l’économie et l’économie politique, etc.

Dans un troisième point, Carlo Petrini explique l’aberration du système alimentaire actuel fondé sur une production agricole intensive, abusant de produits chimiques responsables de l’appauvrissement des sols et la pollution de l’eau dont le manque pourrait être à l’origine de futurs conflits géopolitiques. Illustrant ses propos d’exemples, la disparition de la vache agérolese en Italie et l’introduction de la perche du Nil dans le lac Victoria, il pourfend une politique mondiale mercantiliste qui détruit la biodiversité naturelle et menace la planète d’un désastre autant écologique, qu’économique et social pour les paysanneries locales.

Face au risque d’une « crise anthropique », il prône un changement de système alimentaire grâce à de nouveaux paradigmes : redonner de la valeur à l’agriculture et à l’économie locale – dont il dit que « c’est une formule propre à garantir la démocratie participative » – et au retour à la terre accompagné d’un nécessaire changement de la Politique Agricole Commune pour aider préférentiellement les jeunes paysans dans leur choix d’une agriculture durable, et non plus majoritairement les grands propriétaires terriens.

Quand il parle de production, de distribution et d’exportation agricole, d’aspects environnementaux et de paysage, de sauvegarde de la biodiversité, du comportement des consommateurs… Carlo Petrini parle toujours de gastronomie.

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Fiche technique


Auteur(s) : PETRINI Carlo
producteur : Université Toulouse II-Le Mirail
Réalisateur(s) : JIMENEZ Jean
Editeur : SCPAM Université Toulouse II-Le Mirail
Catégorie : Conférences
Niveau : Tous publics / hors niveau
Langue : Français
Conditions d’utilisation / Copyright : Tous droits réservés à l’Université Toulouse II-Le Mirail et à l’auteur.
Date de réalisation : 25 Novembre 2011
Durée du programme : 87 min

La géographie des conflits

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Résumé

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La géographie des conflits, par Yves Lacoste. Cette conférence était organisée par les Cafés géographiques et le Conseil Scientifique de l’Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre des Mercredis de la connaissance. Ce thème était au programme des concours externes du CAPES et de l’Agrégation en 2011-2012.

Yves Lacoste : « Il faut distinguer différents types de conflits à la surface du globe, en fonction de leur ampleur, de leur contexte politique, des caractéristiques des adversaires : ainsi après le gigantesque conflit que fut la Seconde Guerre mondiale, les luttes pour l’indépendance de la 2° moitié du XX° siècle, et les confrontations entre « monde libre » et « monde communiste » elles aussi de la 2° moitié du XX°, n’existent plus aujourd’hui. Les conflits qui viennent d’éclater au sein de différents pays arabes ne sont pas au premier chef géopolitiques (leurs enjeux sont surtout sociaux, et non pas territoriaux), mais leurs contre – coups seront sans doute géopolitiques.
Il est utile de prendre un cas précis pour montrer le grand intérêt du raisonnement géographique dans l’analyse des conflits. Le problème israélo-palestinien (appelé d’abord israélo-arabe) est assurément le conflit le plus ancien (il date de 1948, mais remonte en fait aux années trente) qui apparaît aujourd’hui, comme pouvant devenir encore plus dangereux au plan international, bien qu’il porte seulement sur 35.000 Km2 (au sens large, Israël 26.000 Km2) soit l’équivalent de la surface de la Bretagne. Une donnée éco-géographique première est presque toujours ignorée de toutes les analyses des origines de ce conflit : le fait que l’étroite plaine littorale (200 km x 25-40) qui correspond à la partie aujourd’hui la plus peuplée du territoire israélien, était extrêmement peu peuplée (sauf le cordon littoral) au milieu du XIX° siècle, à cause de la présence de nombreux marais et de ce fait du paludisme. Sans cela, les immigrants sionistes n’auraient pas pu y acheter des terres à des notables arabes et commencer à s’implanter en Palestine, avec l’accord de l’empire ottoman ». [source : Cafés géographiques].

Fiche technique

Auteur(s) : LACOSTE Yves

Réalisateur(s) : Nathalie MICHAUD

Producteur : Université Toulouse-Jean Jaurès

Date de réalisation : 30 mars 2011

Durée du programme : 121 min

Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche

Disciplines : Géographie physique, humaine, économique et régionale

Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

Langue : Français

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Médiatrice culturelle / Trajectoires #1

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Résumé

« Faire le pont entre le savoir, la connaissance et le public qui souhaite apprendre, qui souhaite connaître… », c’est ainsi que Sophie Barthès définit son métier de médiatrice culturelle.
Cette jeune diplômée de l’Université Toulouse II-Le Mirail en Histoire, Histoire de l’art et Patrimoine, témoigne dans ce documentaire de son itinéraire universitaire et de ses activités au quotidien, notamment la conception et l’animation de visites du musée départemental de la Résistance et de la Déportation de Toulouse. La jeune femme est filmée sur son lieu de travail, dans ses relations professionnelles avec ses collègues comme avec le jeune public qu’elle accueille au musée dont elle est aujourd’hui la responsable de la médiation culturelle.

> La collection Trajectoires présente de façon vivante le parcours et le métier de diplômés de l’Université Toulouse II-Le Mirail.

Médiatrice culturelle. Film de Samir Bouharaoua. Université Toulouse II-Le Mirail, Direction de l’Orientation, des Stages et de l’Insertion (DOSI), Direction des Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement (DTICE), 2011, coll. Trajectoires, Université et métiers, 1.

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Fiche technique

Date de réalisation : 28 Février 2011
Durée du programme : 16 min
Classification Dewey : Métiers de la culture, Étudiants, discipline, orientation, programmes d’enseignement dans l’enseignement supérieur, Choix de carrière (choix d’un métier, orientation professionnelle, perspectives de carrière et d’emploi)
Niveau : niveau Licence (LMD)
Disciplines : Histoire, Enseignement supérieur
Auteur(s) : BARTHÈS Sophie
producteur : Université Toulouse II-Le Mirail
Réalisateur(s) : BOUHARAOUA Samir
Editeur : SCPAM Université Toulouse II-Le Mirail
Langue : Français

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