Voici quelques émissions qui pourraient vous intéresser.
Dimanche 24 juillet à 17:30 sur Arte (ou sur leur site), un documentaire sur la mort de l’anarchiste Giuseppe Pinelli (en 1969, l’enquête sur l’attentat meurtrier de Piazza Fontana est entachée par la mort de l’anarchiste Giuseppe Pinelli lors d’un interrogatoire illégal.)
Il podcast della versione radiofonica francese di Le conseguenze del surriscaldamento globale di Giulia Lombezzi, presentato al festival universitario UniverScènes 2022 dalla compagnia «I Chiassosi» è ora disponibile sul webmedia della nostra università, “Miroir” :
Il 18 aprile 2022 scompariva Valerio Evangelisti… Adesso direte pure : «queste notizie del vostro blog finiscono col diventare un elenco di defunti !»)… Ma no : si tratta solo, con intenzione « culturale » (parola grossa, ma sui media e in società se ne sentono così tante e tante…) di ricordare l’importanza di alcune figure del mondo letterario (o altre arti) italiano.
Valerio Evangelisti era nato il 16 ottobre 1952 a Bologna. Si era laureato in scienze politiche all’Università di Bologna, dove si specializzò in storia moderna e contemporanea. E ha pubblicato vari saggi storici prima di dedicarsi alla letteratura fantasy. Con la sua scrittura efficace, i suoi dialoghi mordaci e il suo ritmo frenetico, l’autore ha rivitalizzato la fantasy in un curioso mix di storia, horror e fantascienza. Il suo primo romanzo, Eymerich l’inquisitore, aveva vinto il premio Urania in Italia. Seguirono altri nove romanzi del ciclo di Eymerich che gli valsero in Francia il «Grand Prix de l’Imaginaire» nel 1998 e il «Prix Tour Eiffel de Science-Fiction» nel 1999. La serie Nicolas Eymerich, che ebbe un successo colossale in Italia e fece di Evangelisti un gigante della fantascienza, comprende dieci volumi, tutti pubblicati in Francia dalla casa editrice «La Volte» dal 2011 al 2014 (l’editrice «Rivages» pubblicò i primi sei negli anni ’90, «Pocket» li riprese e poi li abbandonò, «Delcourt» ne adattò due).
Deux matinées consacrées à l’Italie le 8 et le 15 avril 2022, respectivement au grand amphi de la Maison de la recherche et au Centre de Ressource des Langues, à l’Université.
La première matinée est l’occasion de projeter pour la première fois à Toulouse le film réalisé par Guy Caria, journaliste, et Margherita Orsino sur la Sartiglia d’Oristano, une fête qui existe depuis au moins cinq siècles et qui constitue un travail de création et de recherche. Les communications de cette matinée sont co-organisées par Margherita Orsino (CEIIBA) et Nicolas Adell (LISST).
La deuxième matinée porte sur les violences policières lors du G8 à Gênes il y a 21 ans.
La science-fiction italienne peut-elle sortir du ghetto ? Pour les maisons d’édition courageuses et innovantes, les événements qui rassemblent les fans et les nouvelles séries à venir, l’année 2019 a été un moment important pour le fantastique et la science-fiction en Italie. Une métaphore a toujours accompagné la science-fiction écrite par des auteurs italiens : « le ghetto ». Dans le passé surtout, les écrivains italiens ont fait partie d’une communauté autoréférentielle, dans laquelle ils agaçaient le collègue qu’ils considéraient comme un ami et se disputaient avec d’autres auteurs appartenant à d’autres groupes.
Cette attitude n’a certainement pas permis d’inciter les critiques officiels à se pencher sur les œuvres, ni d’augmenter le nombre de lecteurs. Quelqu’un pourrait citer le nom de Valerio Evangelisti comme exemple d’un auteur qui a réussi à sortir du ghetto, à publier chez un grand éditeur (Mondadori) et même à vendre à l’étranger. Mais est-ce vraiment le cas ? Oui et non. Il est vrai qu’Evangelisti a remporté le prix Urania en 1994, mais il est également vrai que la fiction de l’auteur bolonais – en particulier Eymerich, son personnage le plus célèbre – ne peut être rattachée à la science-fiction tout court. Il s’agit donc d’un cas rare d’un écrivain qui a su modeler tous les genres littéraires pour les mettre au service de sa poétique.
Ecco qui un esempio di pranzo natalizio, tipico della regione Friuli-Venezia Giulia.
Il Friuli-Venezia Giulia è una regione con una tradizione culinaria antica, influenzata dalle altre regioni del nord Italia (Veneto, Lombardia), ma anche dall’Austria e dall’Ungheria. Le diverse tradizioni gastronomiche convivono nella cucina della regione, creando sapori originali.
Le Printemps des Poètes à l’Université Toulouse Jean Jaurès c’est la semaine du 28 mars au 1 avril2022 au Centre de Ressources des Langues. Le principe de cette manifestation : – chaque jour entre 13h et 14h, des lectures poétiques en langue étrangère (une vingtaine de langues au total) et en français, au Centre de Ressources des Langues – en plus, le mardi 29 : départ à 16h30 pour une déambulation poétique vers la Médiathèque Grand M, avec des lectures de poèmes sur place.
Les langues : allemand, ancien français, anglais, arabe, basque, catalan, galicien, chinois, espagnol, français, hébreu, italien, japonais, latin, nahuatl, occitan, polonais, portugais, coréen, biélorusse, hongrois… et d’autres encore !
D’effimero oblio è questa sera. Mi narra la storia che ho perduto. La pioggia è stanca come questa mano, riversa e immobile sul foglio bianco. Vertigine che preme, e strido, come digrignar di denti, strido, corda sublimemente vaga, stasera in disaccordo, con l’armonia del Tutto ; ma la montagna che una sera vidi mi disse amore, straripante amore : dalle sue luci appena distinguibili, dal suo stagliarsi, Ala Riparatrice, contro quel mare che è tempesta, al di là del riflesso quieto d’una argentea luna.
D’oubli éphémère est ce soir. Il me relate l’histoire que j’ai perdue. La pluie est lasse comme cette main, retournée immobile sur la page blanche. Vertige qui oppresse, et stridence, comme un grincement de dents, stridence, corde qui sublimement vague, ce soir désaccordée, avec l’harmonie du Tout ; mais la montagne aperçue un soir m’a dit amour, débordant amour : de ses lumières à peine visibles, de sa découpure, Aile Réparatrice, contre cette mer qui tempête, par-delà le reflet paisible d’une lune d’argent.
Il sito La Clé des langues è stato creato nell’ambito di un accordo firmato tra la Direction Générale de l’Enseignement Scolaire e l’ENS di Lione. Quest’accordo ha stabilito un servizio comune per la formazione in servizio degli insegnanti, in relazione ai programmi di insegnamento dei collèges e dei lycées. Il sito è progettato per fornire agli insegnanti di lingue risorse scientifiche che li aiutino ad aggiornare le loro conoscenze e a riflettere su questioni pedagogiche e didattiche in relazione ai programmi di insegnamento. Questo sito, aperto a tutti, si rivolge principalmente agli insegnanti della scuola secondaria per dare loro un accesso privilegiato al mondo della ricerca universitaria. La Clé des langues è considerata una rivista universitaria, con un numero ISSN (2107-7029).
Il sito ha tre obiettivi principali: Informarsi: permettere agli insegnanti di tenersi aggiornati su ciò che accade oggi nel mondo dell’istruzione secondaria e superiore, così come sulle novità culturali del mondo inglese, spagnolo, italiano, tedesco e arabo. Formazione: soddisfare la curiosità intellettuale degli insegnanti offrendo loro una formazione durante tutta la loro carriera. Insegnamento: accompagnare i programmi ufficiali delle scuole secondarie per aiutare gli insegnanti ad attuarli.
«Traduire, c’est essayer de perdre le moins possible, puisque le passage d’une langue à l’autre, surtout quand on parle de poésie, fait que l’on va fatalement devoir renoncer à certaines choses qui ne passeraient pas dans la langue d’arrivée. On ne peut pas le faire de façon insouciante ou légère, on est obligé de mesurer l’étendue de la perte, ce qu’on peut accepter de perdre, au profit de quelque chose qui permettra de ne pas perdre le fil de la pensée de l’auteur. C’est cet équilibre entre ce que l’on peut conserver et ce qu’on perd, qui est la tâche et l’art du traducteur.» Danièle Robert, traductrice
Dante and the Divine Comedy in Duomo. Florence, Tuscany, Italy.
Un cycle de manifestations à Toulouse, autour de Dante Alighieri et son œuvre : Hôtel d’Assézat
Jeudi 21 octobre à 17h15 Danièle Robert, écrivaine et traductrice dela Divine Comédie aux éditions Actes Sud, en dialogue avec Claudine Vassas, ethnologue, et Christian Tarting, professeur des universités et éditeur : «Du smarrimento à la Somma Luce» Stand librairie avec Ombres Blanches
Hôtel d’Assézat Jeudi 21 octobre à 18h45 «Le genti del bel paese, là dove il sì suona» : lecture poétique et musicale sur les traces de Dante Alighieri avec Danièle Robert et Daniela Jannace accompagnées au piano par Lorenzo Naccarato ; mise en scène de Rocco Femia
Hôtel d’Assézat Vendredi 22 octobre à 10h – Traduire la Commedia : deux traductions manuscrites inédites conservées à Toulouse présentées par Sarah Lévèque, agrégée d’italien et Cécile Tudor, doctorante – Table ronde avec Danièle Robert, Sylvain Trousselard, maître de conférence à l’Université Lumière de Lyon et Jean-Luc Nardone, professeur à l’Université Toulouse Jean-Jaurès
Autres manifestations à Toulouse :
CAVE PO’ (71 rue du Taur) Samedi 4 décembre à 18h Rencontre-lecture avec Antoine Brea à propos de sa traduction, L’Enfer de Dante en vulgaire parlure, aux éditions du Quartanier Lundi 6 décembre à 21h Carte blanche à Serge Pey et Chiara Mulas, avec une relecture contemporaine de l’œuvre de Dante