C’est Cinélundi, et c’est presque tous les lundis.
Fauteuil, grand écran, stéréo. Ne manquent que les popcorns, mais ils sont les bienvenus… bibliothécaire nue
En ce moment, cycle fantastique. Saurez vous reconnaître ces films ?
A vous de voir, en empruntant au petit bonheur la sélection du CRL….
Il semble que vous avez aimé les prêts surprise d’été… Que direz vous des prêts d’hiver ? On prend les mêmes et on recommence.
La règle du jeu est toujours aussi simple : comme Marion et Gérard, étudiants en L1 de LEA, choisissez un paquet (à chaque langue son papier cadeau) et empruntez un presque-cadeau à ouvrir sous le sapin…
Na/Da, Annlor Codina, Aurélie Fatin, Florence Davoust et Arum du collectif Mix’Art Myrys exposent au CRL jusqu’au 15 janvier, dans le cadre de la journée d’études Art Folie et Modernité, initialement prévue le 20 novembre et reportée au 15 janvier 2015. Une journée proposée par Anne-Sophie Ducombs et Thomas Le Bihan, doctorants à l’UT2J.
La classification Dewey comme vous ne l’avez jamais écoutée, par Florence Davoust et dans toutes les langues, « avec une prédilection pour le danois« ..
Des poufs en cartouches de chasse cousus mains par Annlor Codina . particulièrement appréciés par Christelle et Marion « ça fait un peu bizarre, mais c’est confortable« .
Une arche de couturière à laquelle Aurélie Fatin nous invite à épingler pensée profonde ou légère : « plainte du manque… manque d’humilité, d’humanité, d’espace pour respirer, aimer » juste à côté de « marre du célibat... »
Une autre installation d’Annlor Codina toute en ombres : « vraiment trop cool, je décolle« .
Arum et la lumière…
Et Na/Da, sur les bureaux des bibliothécaires et sur les murs…
Comme dirait Thomas Le Bihan, « rien de tel qu’une bibliothèque pour exposer, au milieu d’étudiants qui ne manqueront pas, en levant le nez de leurs bouquins, de s’interroger, de regarder, de rêvasser... »
Et c’est jusqu’au 15 janvier 2015.
A L’initiative de Luis González (Framespa) Le CRL présente une exposition itinérante qui prendra la direction du CADIST le 1er décembre.
Quelques textes hispaniques du Moyen-Âge et du Siècle d’or subtilement sélectionnés et mis en scène…
« Parmi les grands thèmes de la littérature celui qui a certainement fait couler le plus d’encre est celui qui concerne les relations humaines dans toutes ses déclinaisons (et inclinaisons), appelons les ‘amour, sexe, érotisme…’. La littérature hispanique, comme beaucoup d’autres, est riche en histoires où l’érotisme trouve une place de choix. Cette petite exposition est née d’une conversation portant sur la présence de la musique dans des textes anciens qui parlaient de sexe dans ses diverses manifestations. On y trouve quelques textes incontournables: là théorie de l’amour courtois telle qu’elle est (mal)employée dans La Celestine, les deux approches des amants Melibée et Calixte, adeptes tous les deux de la chanson d’amour; la férocité charnelle de la ‘Serrana de la Vera‘, amateur de musique de chambre ; l’ambigüité que l’on trouve dans le romance ‘Don Bueso y su hermana’, où l’érotisme lyrique laisse place à un soupçon d’inceste, Lope de Vega et son Acero de Madrid, pièce de théâtre, comedia de mauvaises habitudes, où dans la légèreté de la versification Inés rend compte de sa lourde grossesse, fruit de ses amours avec Lisardo. Enfin, thème tabou aujourd’hui, la zoophilie se laisse sous-entendre dans une prose à peine elliptique qui décrit les malheurs d’un singe un peu trop curieux ».
Dans le cadre de l’exposition, des étudiants de la licence d’Espagnol ont lu en compagnie de leurs enseignants, Amaïa Arizaleta et Luis Gonzalez, accompagnés de la voix et du geste, à la guitare par Sarah Galabert …
Dans le cadre du festival Cinespaña, le CRL a reçu la réalisatrice catalane Mar Coll.
Après Tres dias amb la familia (2009), qui a reçu un « Goya » en 2010, elle présentait son second long métrage, Tots volem el millor per a ella (2013). L’occasion de revenir sur son encore jeune parcours de réalisatrice. Plutôt que de choisir de faire des études de littérature, à priori son domaine de prédilection, elle s’est lancé un défi, entreprendre une école de cinéma, l’ESCAC, à Barcelone. Elle ne se voyait pas réalisatrice, mais c’est bien ce qu’elle est devenue, représentante parmi d’autres (comme Juan Antonio Bayona ou Marçal Forès) d’une jeune génération de réalisateurs catalans…
Au CRL, on a un peu tendance à s’afficher, on l’a vu. En général ça plaît bien.
Mais il en est au moins un que ça perturbe : Chaque matin, en ce moment, Axel vient préparer l’agrégation de géographie au CRL. Chaque matin, il commence par retourner les affichettes annonçant les horaires du tutorat : « ils me regardent tous, ils sourient, je trouve ça un peu flippant« . Chaque matin, Axel peut alors se concentrer, seul avec lui-même…
Jeudi 9 octobre, dans le cadre du festival Toulouse Polars du Sud, le CRL recevait l’écrivain Carlos Salem. Une rencontre animée par Héctor Ruiz, enseignant au Département Études Hispaniques et Hispano-Américaines, de l’UT2J.
Carlos Salem est un écrivain plus tout à fait argentin, même s’il est né en Argentine en 1959 et pas complètement espagnol, même s’il vit et écrit à Madrid depuis 20 ans.
Un écrivain assez provocateur, mais proche de son public, qui aime raconter des histoires. Il a beaucoup insisté sur le plaisir de lire et d’écrire.
C’est vrai ça, pourquoi ne pas se mettre au catalan ?
En ces temps d’inscription pour les différents cours proposés par l’UFR de langues, le catalan s’expose au CRL…
alors, « benvinguts, estimats estudiants, al curs de català! »
et pour en savoir plus, c’est par ici.
Il est temps pour vous comme pour nous de partir en vacances, bien accompagnés : nos guides touristiques ont eu un grand succès. Ils seront toujours disponibles à notre retour, le lundi 1er septembre…