Parution – Le corps humain et l’électricité. The human body and electricity


Le corps humain et l’électricité. The human body and electricity, Annales historiques de l’électricité, 2011, n°8

Les textes regroupés dans cette nouvelle publication des Annales historiques de l’électricité sont issus d’un colloque tenu en décembre 2006 à Paris.
Sous le titre « Le corps humain et l’électricité. Perspectives historiques, XVIIIe-XXe siècles », les articles présentés par Christine Blondel et Anne Rasmussen explorent une dimension encore peu connue de l’histoire de l’électricité, à la frontière de l’histoire de la médecine. Si les premières applications industrielles de l’énergie électrique ont été étudiées par le passé en privilégiant les expérimentations d’éclairage public ou de transmission des signaux par le télégraphe, un autre pan de la diffusion précoce de la nouvelle forme d’énergie est aujourd’hui à l’honneur.
Loin de l’image d’Epinal qui a parfois fait des grenouilles de Galvani le dernier épisode de l’expérimentation animale avant la marche en avant de la science, incarnée par Volta, les auteurs soulignent au contraire les interdépendances entre l’électricité médicale et les autres champs de l’industrie électrique. Savants et fabricants d’appareils forment une communauté qui irrigue l’ensemble des recherches scientifiques et techniques de l’époque.
Le corps humain, au même titre que les alliages métalliques, est un terrain d’investigation et de pratiques permettant de mieux comprendre les phénomènes électriques. Oscillant entre l’innovation thérapeutique et l’expérimentation, les pratiques médicales du XIXe siècle sont tombées dans l’oubli. Les textes de ce dossier contribuent à leur redonner une place tout sauf marginale dans l’histoire de l’électricité.
Les Annales historiques de l’électricité, publiées avec le soutien de la Fondation EDF Diversiterre, se proposent de faire connaître à un large public l’actualité de la recherche, nationale et internationale, dans le domaine de l’histoire de l’énergie électrique.

Christine Blondel,  Anne Rasmussen : Introduction

François Zanetti (Université Paris 10) : L’électricité du corps humain chez l’abbé Bertholon et quelques contemporains

Stéphanie Dupouy (École normale supérieure, Paris) : Les visages électriques de Duchenne de Boulogne

Christine Blondel (CNRS, Paris) : La reconnaissance de l’électricité médicale et ses « machines à guérir »par les scientifiques français (1880-1930)

Paolo Brenni (CNR Florence) : Les courants à haute-fréquence apprivoisés à travers la darsonvalisation et les spectacles publics (1890-1930)

Anne Rasmussen (Université Strasbourg 1) : L’électrothérapie en guerre : pratiques et débats en France (1914-1920)

Isabelle von Bueltzingsloewen (Université Lyon 2) : Un fol espoir thérapeutique? L’introduction de l’électrochoc dans les hôpitaux psychiatriques français (1941-1945)

Iwan Morus (University of Wales, UK) : Cables and Coils and Gassiot Cascades, that’s what Electrical Bodies are made of

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La norme et le sujet. Vers de nouvelles pratiques ?

XXIIIème forum professionnel des psychologues

Jeudi 24 mars 2011  |  Avignon (84000)

Résumé

Avignon, du 24 au 26 mars 2011. Le sujet et la norme. Vers de nouvelles pratiques ? XXIIIe forum professionnel des psychologues organisé par Le journal des psychologues. Après avoir posé le cadre de la réflexion, nous explorerons tous les domaines dans lesquels la norme s’insinue dans nos théorisations, pratiques et positionnements professionnels, au point, si ce n’est de les déterminer, du moins de tenter de les influencer. Nous interrogerons l’évolution des pratiques, celles du psychologue et celles auxquelles il se confronte dans son exercice.

Annonce

Le sujet et la norme. Vers de nouvelles pratiques ? XXIIIe Forum professionnel des psychologues organisé par Le Journal des psychologues.

La question du sujet est au cœur de l’exercice du psychologue. En parallèle, la société, sous la pression économique et sociopolitique, n’a jamais demandé autant à l’individu : être performant, compétitif, l’« homo economicus » se doit d’être en quelque sorte à la hauteur. Devant cette exigence primordiale, et au regard des effets de la modernité, y a-t-il encore une place pour le sujet dans la société d’aujourd’hui ? Face à la normalisation, y a-t-il une place pour le singulier dans un collectif où émerge ce nouveau « malaise dans la civilisation » ? Comment les pratiques psychologiques peuvent y aider ou tout au moins accompagner l’autre en tant qu’être humain pris dans les contradictions, les paradoxes, qui font sa singularité ?

Aussi, la question de la norme traverse-t-elle toutes nos pratiques, confrontant le psychologue à une attente de résultat pour lui-même ou pour l’usager qu’il accompagne, qui est pris dans une demande d’évaluation, d’examen psychologique ou de procédure de recrutement, voire d’adaptation.

Après avoir posé le cadre de la réflexion, nous explorerons tous les domaines dans lesquels la norme s’insinue dans nos théorisations, pratiques et positionnements professionnels, au point, si ce n’est de les déterminer, du moins de tenter de les influencer. Nous interrogerons l’évolution des pratiques, celles du psychologue et celles auxquelles il se confronte dans son exercice.

Parmi les intervenants : E. Enriquez, R. Gori, P. Le Coz, J.-P. Pinel, S. Korff-Sausse, E. Diet, N. Duruz, P. Cohen, J. Grégoire, N. Bon, M. Maximin, J.-L. Viaux, D. Castro, M. Siksou, C. Lemoine, V. Calais, P. Conrath, S. Raymond.

Lieu : Palais des Papes

Renseignements : Le Journal des psychologues, 50 ter, rue de Malte, 75011 Paris. Tél. : 01 53 38 46 44 ; Fax : 01 53 38 46 40 ; Courriel : secretariat.jdp@martinmedia.fr ; site : www.jdpsychologues.fr

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Conférence – Voir/Savoir. Nouvelles perspectives sur le visuel dans les sciences

Deuxième conférence du cycle de conférences du Centre Alexandre Koyré : « Voir/Savoir. Nouvelles perspectives sur le visuel dans les sciences » :

Mechthild Fend (University College, London) : Clinical Pictures. Portraying skin disease in the early nineteenth century

La conférence aura lieu le jeudi 17 février 2011 de 18h à 20h dans l’Amphithéâtre de Paléontologie du Muséum d’Histoire Naturelle (entrée par le 2 rue Buffon, Métro Gare d’Austerlitz).

Mechthild Fend interviendra également le lendemain dans le cadre du seminaire Voir/Savoir. Images et visualisations scientifiques, le vendredi 18 février de 10h à 12h (salle de séminaire du Centre Alexandre Koyré, 3e étage du Pavillon Chevreul, 57 rue Cuvier, Muséum d’Histoire Naturelle, Métro Jussieu).  Les conférences et le séminaire sont ouverts à tous, sans inscription préalable.

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Parution – L’imaginaire médical dans le fantastique et la science-fiction

Jérôme Goffette et Lauric Guillaud (dir.), L’imaginaire médical dans le fantastique et la science-fiction, Editions Bragelonne, 2011, 336 p.

Cet ouvrage collectif rassemble les contributions de spécialistes de littérature, de cinéma, ainsi que de philosophes, d’anthropologues, d’un psychologue clinicien et d’un écrivain.

La médecine fait rêver, dans tous les sens : de la mort soudainement éloignée jusqu’aux cauchemars du corps ouvert, de la figure bienveillante jusqu’à la profanation, de l’antalgique salvateur jusqu’à d’horribles supplices. Alors que le corps intérieur nous est obscur,  la science-fiction, le fantastique, la fantasy et l’horreur nous font découvrir des paysages du corps splendides, étonnants ou répugnants, mais toujours prenants.
Pourquoi cette profusion de l’imaginaire médical ? Avec une médecine aujourd’hui rationnelle, on aurait cru la fin des passions imaginatives, mais au contraire cette science nouvelle a démultiplié les perspectives. La prolifération de l’imaginaire médical est naturelle, car  la littérature et le cinéma aiment ses images fortes. Les effets de sciences sont aussi des effets de fiction et de merveilleux.
Le lecteur comprendra l’intérêt de ce travail collectif (grâce au réseau CERLI), mais aussi notre humilité, car nous n’épuisons en rien la thématique.

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Colloque – La fin d’une pratique : la torture judiciaire dans l’Europe des Lumières


Vendredi 20 mai 2011  |  Dijon (21000)

Moyen à la disposition des juges pour extorquer aux accusés l’aveu probatoire sur des crimes passibles de la peine capitale et pour obtenir le nom des complices, la torture s’inscrit dans le cadre juridique du Moyen Âge et de l’Ancien Régime. Les pénalistes n’assimilent pas la « question » à un genre de sanction anticipée, mais à un instrument légal apte à établir la vérité judiciaire. De fait, la torture judiciaire répond à l’une des difficultés principales qu’un juge de l’époque avait à surmonter : réunir des preuves. Faisant avouer l’accusé par la force, le juge cherche à faire passer un crime incertain au rang de crime certain, rendu tel grâce à la « reine des preuves » que représente la confession dans l’ancien droit. Reconstruisant les débats entre partisans et détracteurs de la torture qui ont secoué l’espace public à la veille de la Révolution et de la Déclaration des droits de l’homme, ce colloque se propose de répondre à la question de savoir pourquoi la torture est devenue anachronique dans l’Europe des Lumière.

Salle  de  l’Académie  –   5  rue  de  l’École  de  Droit

9h 30 – Présentation de Luigi DELIA (Université de Bourgogne)
9 h 45 – Benoît GARNOT (Université de Bourgogne), Ouverture des travaux
10 h 15 – Eric WENZEL (Université d’Avignon) – Le déclin de la torture dans la France du XVIIe et du XVIIIe siècle
10 h 45 – Elisabeth SALVI (Université de Genève) – « Pour l’honneur de la Justice et pour celui de l’Humanité » : Gabriel Seigneux de Correvon et l’abolition de la torture
11 h 15 – Michel PORRET (Université de Genève) – Le statut de la torture dans la pratique pénale et la culture juridique du républicanisme genevois au XVIIIe siècle
14 h 15 – Guillaume COQUI (Université de Bourgogne),  L’utilitarisme classique face à la torture judiciaire
14 h 45 – Luigi DELIA (Université de Bourgogne), « Quelques minutes de tourments dans un scélérat peuvent sauver la vie à cents innocents ». Sur une objection de Diderot à Beccaria
15 h 15 – Dario IPPOLITO (Université de Rome III), Torture judiciaire et procès pénal dans la culture juridique des Lumières napolitaine
15 h 45 – Francine MARKOVITS (Université de Paris Ouest-La Défense) – La torture et la logique de l’aveu

La manifestation se déroulera à la salle de l’Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon, 5, rue de l’Ecole de Droit – 21000 Dijon

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Séminaire – Les petites mains de l’informatique : Le cas de l’informatisation du dossier de soins

18 février 2011

11h-12h30,

dans la salle Bollinelli de la faculté de médecine de Purpan, 37 allées Jules Guesde 31073, Toulouse

Dans le cadre de son animation scientifique l’IFERISS vous invite à assister au séminaire :

Les petites mains de l’informatique : Le cas de l’informatisation du dossier de soins

Ce séminaire sera  présenté par Anne Mayère avec l’intervention de I. Bazet et A. Roux du CERTOP-ECORSE

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Parution – Introduction à l’herméneutique médicale : L’interprétation médicale une dialectique de l’expliquer et du comprendre


Jean-Philippe Pierron (dir.), Introduction à l »herméneutique médicale, Le Cercle Herméneutique, « Revue Le Cercle Herméneutique ». 2011, 100 p.


En quel sens la médecine est-elle une discipline interprétative? Est-il légitime de parler d’une herméneutique médicale? La médecine est-elle une science ou un art? La consultation médicale, dans son colloque singulier, tend à parler d’art médical. La constellation des signes cliniques qui investissent le corps malade impose au médecin de retrouver une histoire sous la généralité d’un cas répertorié dans la nosographie. Mais la formation médicale, l’assise biologique de la médecine, le souci d’une classification universelle des maladies et le développement de la médecine fondée sur les preuves ou médecine factuelle (l’evidence-based medicine, EBM) tirent la médecine en direction d’une science. Le projet de cet ouvrage est d’interroger comment articuler, dans le jugement médical, une intelligence qui décode et une intelligence qui déchiffre. Ces deux lectures sont reprises, souvent scolairement, dans l’opposition des sciences de la nature explicatives et des sciences humaines compréhensives. Or revenir sur le statut de la médecine comme activité interprétative interroge le dépassement de ce dilemme. La médecine travaille à interpréter les signes d’un corps malade. Elle canalise l’équivoque, hantée par la mésinterprétation aux conséquences vitales. Elle tente de juguler la volonté de parvenir à des définitions univoques de la maladie par le biais de sa naturalisation. Qu’est-ce donc qu’un signe en médecine? De quelle nature est le jugement médical, si ce n’est pas déduire, mais interpréter?

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Appel à contribution – Savoir-faire, matières et corps en transformation

Cet appel s’inscrit dans le cadre de la thématique générale du Congrès de l’Association Française d’Ethnologie et d’Anthropologie centrée sur la connaissance et la production de connaissances en anthropologie. L’atelier ici proposé vise à constituer un lieu d’échange entre chercheurs travaillant sur les liens entre corps et connaissance en anthropologie.

Après une entrée hésitante dans le champ des sciences sociales, autour des années 1960 (Memmi, Guillo, Martin, 2009), les années 1990 marquent un tournant pour cet objet installé aux frontières des savoirs : laboratoires, thèses, séminaires, revues, ouvrages scientifiques, dictionnaires, blogs, qui lui sont consacrés témoignent de la vitalité de la recherche sur le corps, tant en France qu’à l’étranger, en histoire, en sociologie, en anthropologie, mais aussi dans les sciences de l’éducation, en économie, en géographie.

L’anthropologie sociale française a pu s’illustrer par une approche symbolique et sociale du corps (Héritier et Xanthakou, 2004), tandis que les anglo-saxons privilégiaient un regard phénoménologique (Turner, 1992 ; Csordas, 1994). Vingt ans de réflexion, dont il ne s’agit pas de faire le bilan mais de tirer quelques enseignements, ont conduit, semble-t-il unanimement, à considérer le corps comme lieu de synthèse du biologique, du psychologique et du social (Mauss, 1936), du collectif et de l’individuel, « de l’actenciel et du structurel » (Berthelot, 1988), de l’émancipation et de l’assujettissement à travers le gouvernement des corps (Fassin et Memmi, 2004), permettant ainsi de dépasser des oppositions pourtant classiques. Tout en préservant ces acquis analytiques, et à l’instar des sciences cognitives, l’anthropologie sociale et culturelle peut aussi étudier le corps comme un moyen d’accéder à la connaissance d’une double façon : accès à la connaissance par le corps, accès à la connaissance du corps.

Nous vous proposons de travailler cette thématique à partir d’objets familiers à l’ethnologie que sont les savoir-faire : le terme « savoir-faire » suppose un cheminement vers la connaissance (savoir) pris dans l’action (faire). Aussi, le corps, autour duquel nous vous invitons à échanger, est un corps sensible (sens et émotions), situé, en action et interaction, avec des matières et matériaux, des objets, et d’autres êtres humains. Alors que certaines philosophie, sociologie et économie annoncent une dématérialisation généralisée de notre environnement, le corps est (paradoxalement ?), régulièrement appréhendé sous l’angle de ses augmentations, réductions, prolongements et autres transformations par les objets matériels. Si ce débat est peu commun à l’anthropologie, il a toutefois l’avantage d’inviter à questionner les savoir-faire, leur partage, leur éventuelle transmission à la lumière des transformations corporelles (occasionnées par les pratiques, le vieillissement, le handicap, etc.) pour travailler les questions de la construction des connaissances et des identités (sexe, âge, de métier, sociale, etc.).

Au sein de cet atelier, nous ne nous intéresserons pas tant à une aire culturelle en particulier qu’à mettre en comparaison des terrains diversifiés (des milieu du travail, des savoir-faire quotidiens, des loisirs, du sport, des pratiques esthétiques…).

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Parution- Journal of Medicine and Philosophy


Journal of Medicine and Philosophy, Volume 36, Issue 1, February 2011

Laurence B. Mccullough
Arboriculture in Clinical Ethics: Using Philosophical Critical Appraisal to Clear Away Underbrush in Ethical Analysis and Argument

Russell Powell and Allen Buchanan
Breaking Evolution’s Chains: The Prospect of Deliberate Genetic Modification in Humans

Joseph Clint Parker
Conscience and Collective Duties: Do Medical Professionals Have a Collective Duty to Ensure That Their Profession Provides Non-discriminatory Access to All Medical Services?

Robert F. Card
Conscientious Objection, Emergency Contraception, and Public Policy

Franklin G. Miller and Howard Brody
Understanding and Harnessing Placebo Effects: Clearing Away the Underbrush

Trisha Phillips
From the Ideal Market to the Ideal Clinic: Constructing a Normative Standard of Fairness for Human Subjects Research

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Journée internationale autour des recherches d’Hélène Rouch : Biologie, sciences du vivant et critique féministe des sciences


Le 1er avril 2011 de 9 h30 à 18h.

Université Paris-Diderot, 59 rue Nationale, Dalle des Olympiades, 75013 Paris

bâtiment Montréal , Salle des thèses.

Le CEDREF avec le soutien de la Fédération de recherche sur le genre–RING et l’Association nationale des études féministes, vous invite à une journée en hommage à Hélène Rouch.

Enseignante et biologiste, Hélène Rouch a joué un rôle précurseur dans la critique féministe des sciences. Elle a travaillé sur les évolutions de l’immunologie, les nouvelles techniques de reproduction, la catégorisation de sexe, et elle a œuvré, sur un double plan politique et institutionnel, à l’entrée des études féministes dans les institutions académiques au milieu des années 1980.

L’organisation de la journée privilégie deux thématiques, en fonction d’une programmation qui laisse une place importante aux échanges avec la salle.

1) La pluridisciplinarité de la critique féministe des sciences.

Rosi Braidotti, philosophe : « Matérialismes corporels de l’épistémologie féministe ».

Françoise Collin, philosophe : « Entre science et politique »

Priscille Touraille, anthropologue : « L’enjeu du biologique dans la catégorisation de genre ».

2) Sciences biologiques. Conceptualisation de l’altérité et catégorisations de sexe.

Brigitte Lhomond, sociologue : (titre à préciser)

Simone Bateman, sociologue : « Femmes, frontières et autrui : questions aux sciences du vivant »

Elsa Dorlin, philosophe : (titre à préciser)

Marika Moisseeff, psychiatre et anthropologue : « Représentations biologiques du féminin et leurs conséquences symboliques ».

3) Synthèse et conclusion.
Cette journée sera aussi l’occasion de présenter l’ouvrage réunissant des articles d’Hélène Rouch : Limites et frontières. Contribution à la critique féministe des sciences, publié aux Editions iXe avec le soutien du CEDREF (parution en mars 2011).

Elle devrait donner lieu à des échanges fructueux et nous comptons sur votre participation.

Merci de répondre par courriel au CEDREF : fg@univ-paris-diderot.fr

Dominique Fougeyrollas IRISSO-CNRS-Université Paris Dauphine

Azadeh Kian Directrice du CEDREF

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