- Social studies of science, February 2011, Vol. 41, No. 1
- Still emerging after all these years
- Michael Lynch
- Different differences: The use of ‘genetic ancestry’ versus race in biomedical human genetic research
- Joan H. Fujimura and Ramya Rajagopalan
- Generating sociability to drive science: Patient advocacy organizations and genetics research
- Aaron Panofsky
- Matters of care in technoscience: Assembling neglected things
- Maria Puig de la Bellacasa
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Tags: Anthropologie, Etudes des sciences, Histoire, Philosophie, Sociologie
Colloque – Care, migrations internationales et genre
Le mage,
le Global COE Université de Tohoku,
le Groupe de recherche Migrations internationales et genre (image)
et la Société franco-japonaise d’études sur les femmes
organisent un colloque à Tokyo
samedi 5 mars 2011
Care, migrations internationales et genre
à la Maison franco-japonaise de Tokyo
Programme
10h-10H30 Introductions
• Margaret Maruani, sociologue, gdre mage-cnrs
• Miyoko Tsujimura, juriste, Université Tohoku, Global coe
• Marc Humbert, économiste, Maison Franco-Japonaise
10h30-12h30 Conférences
Femmes, migrations et care. Comparaisons franco-japonaises
Modérateur : Thierry Ribault, économiste, umifre 19 cnrs-maee Tokyo
- Sachi Takahata, sociologue, Université Hiroshima Kokusai Gakuin
Les immigrées philippines au Japon et le secteur des soins de longue durée.
Quel choix d’emploi? - Christelle Avril, sociologue, Université de Paris Nord 13 – iris
Le poids des inégalités ethniques sur les manières de faire et de concevoir
son travail dans l’aide à domicile - Ruri Ito, sociologue, Université Hitotsubashi
La configuration du travail des soins pour les personnes âgées et les migrations internationales : une comparaison nippo-française - Florence Jany-Catrice, économiste, Université de Lille 1 – Clersé et iuf
La « chalandisation du care » en France. Conséquences pour le travail des femmes
14h-16h00 Table-ronde
Globalisation, externalisation et travail des femmes
Modératrice : Helena Hirata, sociologue, cresppa-gtm-cnrs
- Mariko Adachi, économiste, Université Ochanomizu
L’assurance des soins de longue durée et les « transactions reproductives » - Pascale Molinier, psychologue, Université Paris Nord 13 – utrpp
Familles, soignant-e-s : un partenariat à inventer pour sortir du modèle de la domesticité - Isabelle Puech, sociologue, Centre d’études de l’emploi et fepem
Aider les personnes dépendantes à leur domicile : un métier aux multiples facettes - Machiko Kamio, juriste, Université Nihon
Le travail du « care » et sa dimension juridique - Chiho Ogaya, sociologue, Université nationale de Yokohama
La migration internationale des femmes et les multiples attentes autour du travail de « care » en Asie : le cas des Philippines
16h-17h30 Débat
Clôture
Satoko Nakajima, Société franco-japonaise des études sur les femmes
Pour une présentation du colloque
http://www.mage.cnrs.fr/pdf/Colloque%20Tokyo_5-03-2011_presentation.pdf
Tags: Psychologie, Sociologie
Colloque – VIH: Femmes, corps et identités. Du Vécu aux revendications
Le prochain colloque national organisé par le collectif interassociatif Femmes et VIH se déroulera les 4 et 5 mars 2011 et abordera les questions relatives à la perception du corps et des identités des femmes vivant avec le VIH. Les tables rondes de la première journée permettront l’information et l’échange entre les femmes vivant avec le VIH, les chercheurs-ses, historiens-nes, anthropologues et spécialistes des Maladies infectieuses. Les ateliers de la seconde journée seront l’occasion de poursuivre la réflexion entamée depuis 2004 visant à élaborer des revendications à partir de l’expérience et du vécu des femmes concernées par le VIH.
Le colloque se tiendra au siège de Médecins du Monde
62, rue Marcadet – PARIS 18ème
Métro: Marcadet-Poissonnières, ligne 4
Vous trouverez ici le programme et le bulletin d’inscription, à nous retourner avant le 15 février 2011.
Catherine KAPUSTA-PALMER
Coordinatrice du collectif interassociatif Femmes et VIH
Tél : 06 80 37 88 03
Le collectif interassociatif Femmes et VIH est composé des associations Act Up-Paris, le Planning Familial, Médecins du Monde, Sida Info Service
et Aides, l’AVH 78, Frisse, Ikambéré, LFMR et Marie Madeleine.
Tags: Anthropologie, Ethnologie, Etudes des sciences, Etudes Genre, Histoire, Philosophie, Psychologie, Sociologie
Séminaire – Reproduire le genre : sciences, corps, médecine
Séminaire organisé par Ilana Löwy directrice de recherche à l’INSERM
Lundi de 13h à 16 h, Centre Alexandre Koyré, MNHN, 57 rue Cuvier
75005 Paris), du 21 février au 30 mai, 2011.
Ce cours étudiera les diverses manières par lesquelles les sciences ont participé à la production du masculin et du féminin comme catégories naturelles. Les premières séances – introductives – exploreront les relations récentes entre histoire, sociologie et anthropologie des sciences d’une part, les études de genre d’autre part. Nous nous intéresserons ensuite plus spécifiquement au rôle et à la place occupés par la « reproduction » – entende dans un sens large – dans la production des hiérarchies de genre. La question du genre sera ainsi abordée à travers l’histoire de la perception scientifique de la dichotomie sexuelle au dix-neuvième et au vingtième siècle laquelle a été marquée par le développement de la gynécologie et de l’obstétrique, celui des recherches sur la physiologie de la reproduction et les hormones sexuelles, ainsi que par les études sur le comportement sexuel « normal » et « déviant ». Parmi les sujets abordés dans cette perspective : l’histoire des perceptions et représentations des différences entre hommes et femmes; l’avènement de la gynécologie ; la contraception et la maîtrise de la fécondité en relation avec les politiques de gestion des populations ; l’histoire de la santé maternelle et infantile ; l’eugénisme et la lutte pour produire des bébés de « bonne qualité » ; le « péril vénérien » ; le contrôle et le traitement des stérilités féminines et masculines ; le développement des techniques d’assistance médicale à la procréation.
Suivre la question de la reproduction permettra de s’interroger sur le rôle du genre dans l’établissement de domaines spécifiques d’intervention médicale de la santé publique à la médecine coloniale en passant par les politiques de population en prêtant particulièrement attention aux intersections entre genre, classe et race/ethnicité. Le cours abordera le rôle des techniques médicales dans la redéfinition de la parenté et la transformation de l’expérience de la grossesse. Il s’intéressera pour finir aux débats récents sur l’utilisation des notions de genre et de race par la science et la médecine, par exemple dans les débats sur inégalités de santé, ou ceux sur la diversification des populations inclues dans les essais cliniques des thérapies nouvelles.
DATES DE SEANCES : 21.2. 2011; 7.3. 2011; 14.3. 2011; 28.3. 2011, 4.4. 2011.; 2.5. 2011; 16.5. 2011; 30.5. 2011.
SUIVI ET VALIDATION POUR LE MASTER : Semestriel
MENTIONS & SPECIALITES :
Parcours de spécialisation M1S2 M2S4
RENSEIGNEMENTS : sur rendez-vous.
ADRESSE(S) ELECTRONIQUE(S) DE CONTACT : lowy@vjf.cnrs.fr
Tags: Anthropologie, Etudes des sciences, Etudes Genre, Histoire, Sociologie
Journées Annuelles d’Ethique – L’avenir de l’embryon humain
Colloque à la Cité des sciences
Quel avenir pour l’embryon humain ?
Vendredi 28 et samedi 29 janvier 2011
Le Comité Consultatif National d’Ethique pour les sciences de la vie et de la santé en partenariat avec Universcience organise les 28 et 29 janvier 2011, ,ses Journées Annuelles d’Ethique autour d’un thème d’actualité majeur : l’avenir de l’embryon humain.
Objectif : faire que les questionnements éthiques relatifs à la parentalité, la filiation et la place de l’embryon dans nos sociétés ne soient pas du seul domaine des spécialistes mais qu’ils puissent être appropriés et débattus par tous.
Dans cette dynamique, sont proposés au public des conférences et débats sur la parentalité, un forum des lycéens, une exposition sur « Les nouvelles façons d’avoir des enfants », des tables rondes thématiques telles que « La famille est-elle une question de gènes », « Qu’est-ce qu’une mère aujourd’hui ? », « L’assistance médicale à la procréation. Pour qui ? Pour quoi ? »…
Depuis une trentaine d’années, la biomédecine a déployé des trésors d’ingéniosité technique pour aider ceux dont l’infertilité empêche d’accomplir leur projet parental. L’Assistance médicale à la procréation (AMP) a conduit à la fécondation in vitro. Après la naissance d’Amandine, premier « bébé éprouvette » français conçu en 1982, sont apparus plusieurs problèmes éthiques qui n’ont rien perdu de leur acuité. De la conservation d’embryons surnuméraires, au diagnostic préimplantatoire en passant par les recherches sur les cellules souches embryonnaires ou sur l’embryon, il existe toute une série d’interrogations bioéthiques qui ont concouru entre autres à la création, en 1983, du CCNE pour les sciences de la vie et de la santé.
Le débat sur les avancées de l’AMP et la recherche sur l’embryon humain soulèvent des dilemmes moraux où se confrontent des valeurs auxquelles les sensibilités philosophiques et religieuses n’attachent pas toujours la même importance. La nécessité de hiérarchiser nos valeurs crée des divergences d’opinions et suscite parfois la tentation de clore le débat. Le CCNE souhaite au contraire permettre à tous de s’approprier les questions liées à la place de l’embryon dans le contexte de l’évolution des techniques d’AMP.
Vous trouverez le programme détaillé de ces Journées qui se tiendront à la Cité des Sciences à l’adresse suivante : http://www.universcience.fr/fr/conferences-du-college/programme/c/1248115355073/-/p/1248108924842/
Veuillez également trouver ci-après la page web dédiée aux Journées Annuelles d’Ethique (http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/evenements/journees-annuelles-ethique-2011/) et la vidéo de présentation des Journées par Jean-Claude Ameisen ( http://www.dailymotion.com/video/xgjawg_jean-claude-ameizen_tech).
Tags: Anthropologie, Ethnologie, Etudes des sciences, Etudes Genre, Histoire, Philosophie, Sociologie
Séminaire – Européanisation des risques sanitaires et environnementaux
Thème de la séance : les études européennes
Mardi 8 février 2011
À partir de la seconde partie du XXème siècle, un espace politique européen s’est progressivement institutionnalisé en matière de contrôle sanitaire des médicaments. Cette dynamique, comprise comme une transformation conjointe des acteurs/politiques nationaux et européens, peut être analysée à travers l’étude de différents mécanismes sociaux : le pilotage, la coopération, la comparaison/concurrence, la mobilisation des firmes et des organisations non gouvernementales notamment. Elle s’articule avec un mouvement plus large d’internationalisation des politiques du médicament et invite à repenser les principaux enjeux de celles-ci (l’influence des firmes pharmaceutiques, la définition des expertises, le contrôle démocratique des décisions).
Au lendemain de la fin de la guerre froide, la disparition de toute menace majeure a fait place à de nouveaux risques qui ne sont pas purement militaires mais aussi économiques, politiques, sociétaux, d’échelle plus réduite et de nature régionale. Cette « société du risque », comme elle s’appelait elle-même, se plaçait sous le double signe de la précaution et de la prévention, prévention des conflits et des crises, précaution contre les risques sanitaires et environnementaux. Déjà fort activiste dans ce domaine, Bruxelles se regardait comme ayant charge éminente de proposer un cadre coopératif à ce qui, selon les traités, relevait d’abord de la compétence des Etats. Le 11-Septembre rompt violemment avec ce monde bien organisé. En Europe, toutefois, la rupture est longue à se concrétiser. Le passage des politiques sectorielles (par pathologies ou domaines d’action) qui formaient la marque de la politique sanitaire de la Communauté à une riposte aux menaces microbiennes à la fois intégrée et multisectorielle n’interviendra pas avant 2004-5. Si, timidement d’abord, puis, à partir de 2004, bien plus résolument, Bruxelles s’attache à réorganiser ses structures en vue de mener la lutte contre le terrorisme et le bioterrorisme, elle n’en reste pas moins en butte à la mauvaise volonté déguisée des Etats membres sur un terrain où leur souveraineté se trouve très directement mise en cause. « Objet politique non identifié », comme l’appelait Jacques Delors, la Communauté n’est que la juxtaposition de ses composantes : l’Union européenne est les Etats membres. L’Union joue par le fait d’un compromis paradoxal : car enfin, qu’est-ce qu’une gouvernance internationale mise en œuvre par des gouvernements nationaux ? Et dès lors, une politique de sécurité sanitaire globale est-elle euro-compatible ?
Tags: Anthropologie, Etudes des sciences, Histoire, Sociologie
Parution – La peur est au-dessus de nos moyens. Pour en finir avec le principe de précaution
Jean de Kervasdoué, La peur est au-dessus de nos moyens. Pour en finir avec le principe de précaution, Paris, Plon, 235 p.
Déjà, Les prêcheurs de l’Apocalypse soulignaient l’inanité opérationnelle du principe de précaution. Depuis, la prétention de cette prétendue « précaution » a reçu d’amples, nombreuses et, parfois, réjouissantes illustrations.
La meilleure d’entre elles est sans doute l’épisode de l’épidémie de grippe H1N1. Si elle n’a pas été catastrophique, c’est moins grâce aux mesures prises par le gouvernement, achat de 10% des vaccins mondiaux et d’un tiers des capacités mondiales de production de Tamiflu, que par le caractère certes contagieux mais peu virulent du virus. Les Français se protègent, les Français ont peur. Ils croient que le cancer s’étend, que la vie moderne fait des ravages, que les nanotechnologies sont la menace de demain.
La « nature » devient leur ultime recours, alors qu’ils s’en protègent et que, par ailleurs, ils n’ont jamais aussi bien et aussi longtemps vécu. De surcroît, cette déraison précautionneuse détourne le regard des véritables problèmes de l’environnement, comme la biodiversité ou la nécessité de se détacher progressivement des énergies fossiles. Non, définitivement, la peur est au-dessus de nos moyens et, comme le disait Pierre Dac : à force de prendre des vessies pour des lanternes… on se brûle.
Cet ouvrage a pour seul objectif d’éviter quelques unes de ces brûlures collectives : investissements inutiles, règlements inopérants et précautions qui ne protègent de rien. Le principe de précaution ne peut pas être « raisonnable». Il demeure une insulte à la raison.
Jean de Kervasdoué est professeur, titulaire de chaire au Conservatoire National des Arts et Métiers, directeur de l’Ecole Pasteur/Cnam de santé publique, membre de l’Académie des Technologies, économiste de la santé, mais aussi agronome.
Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont « Les Prêcheurs de l’apocalypse » (Pion, 2007) et de centaines d’articles dans les domaines de la santé et de l’environnement.
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Séminaire – Histoire du corps, objets, méthodes
Rafael Mandressi, chargé de recherche au CNRS
Thierry Pillon, maître de conférences à l’Université d’Évry
Georges Vigarello, directeur d’études à l’EHESS (*)
Jeudi de 19 h à 21 h (salle 8, 105 bd Raspail 75006 Paris), du 4 novembre 2010 au 26 mai 2011
L’originalité du corps est d’être à la croisée de l’enveloppe individuelle et de l’expérience sociale. Comment entendre pourtant, dans son trajet historique cette notion de corps qui relève de sciences et de regards différents ? Le séminaire s’attachera d’abord à affronter ces épistémologies hétérogènes. Quelques grandes représentations unifiantes sont repérables à chaque époque. Elles concernent le fonctionnement du corps, la vision de ses qualités , celle de ses efficacités. Elles ont une histoire. Ce sont elles qui peuvent « rassembler » des pratiques diverses. Ce sont elles qui justifient une « histoire du corps ». C’est vers cet effort de synthèse que s’orienteront les préoccupations de recherche et d’enseignement, à partir de séries de livres, à partir d’images aussi, et d’exemples les plus concrets.
Jeudi 20 janvier 2011 : Vincent Barras (Institut universitaire d’histoire de la médecine et de la santé publique, Université de Lausanne), Neurologie fin-de-siècle : langage, mouvement et pathologie
Danse et parole entretiennent des rapports singuliers, réactivés dans l’imaginaire collectif de notre temps par les discours scientifiques qui, de manière condensée au tournant du 19e et du 20e siècle, ont tenté d’inventorier la foule des convulsions, mouvements involontaires, improvisations spasmes et tics corporels, gestes déments, explosions verbales, glossolalies, paroles incontrôlées (dont le syndrome dont Charcot attribue la paternité à son élève Gilles de la Tourette est l’un des moments les plus spectaculaires) ! Du côté du langage, lapsus et Witz ont excité, comme on sait, la perspicacité des psychanalystes au tournant du siècle : arbres qui cachent la forêt des intérêts de toutes sortes de spécialistes pour les déviations et incohérences langagières, dont une figure majeure est assurément, en ces mêmes décennies, la glossolalie, cette « classe de comportements linguistiques déviants apparentés, caractérisés par un discours fluent, enarthrique, entièrement constitués de néologismes », qui préoccupe théologiens, linguistes, psychologues, médecins et aliénistes aussi bien que poètes et littérateurs. Cet exposé s’attachera à caractériser quelques regards sur ces pathologies singulières, figures exemplaires des incohérences corporelles et langagières dont le souci, au début du 20e siècle traverse et du coup rapproche un temps des champs du savoir très divers.
Jeudi 27 janvier 2011 : Richard Delerins (EHESS, UCLA), L’invention des boissons : physiologie et économie du corps intérieur
Jeudi 3 février 2011 : François de Singly (Université Paris-V), Le corps dans la société individualiste
Jeudi 10 février 2011 : Rafael Mandressi, Georges Vigarello, Être possédé
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Journée d’étude – L’expertise psychiatrique, une source pour les sciences sociales ?
Mercredi 19 janvier 2011
Université de Toulouse II-Le Mirail
Maison de la Recherche, Salle D31, 9h-17h
Journée dʼétude organisée par Sylvie Chaperon (Historienne, MC HDR, Université Toulouse II-Le Mirail) et Sébastien Saetta (Sociologue, Doctorant, Université Toulouse II-Le Mirail, Université du Luxembourg)
Matin
L’expertise dans le cadre des violences sexuelles sur enfants du XIXe siècle à nos jours – Anne-Claude Ambroise Rendu (historienne, MC HDR, Université de Saint-Quentin en Yvelines)
L’expertise psychiatrique des incestueux au XIXe siècle : un exercice insignifiant ? – Fabienne Giuliani (historienne, doctorante, Université de Paris 1)
Transsexualisme : « Pratique et regard toulousain » – Pierrette Aufière (avocate au barreau de Toulouse)
Après-midi
Les malades mentaux ayant commis des crimes sexuels: entre pénalisation et pathologisation – Caroline Protais (sociologue, doctorante, EHESS)
« Alors, docteur, elle est bonne mon expertise? » – Walter Albardier (Psychiatre, SMPR de Toulouse, CRIAVS Midi Pyrénées, ARTAAS)
Le discours des experts psychiatres dans des cas de « fémicide » – Sébastien Saetta (sociologue, doctorant, Université Toulouse II le Mirail, Université du Luxembourg
Tags: Etudes des sciences, Histoire, Sociologie
Emploi - Poste de professeur-e, département de sexologie Deux poste de professeur-e sont à pourvoir au département de sexologie de l'Université de Québec à Montréal. Les thèmes sont les suivants : 1. Contrôle et régulation sociale de la sexualité 2. Santé sexuelle, contraception et enjeux reproductifs Les informations nécessaires pour ces deux postes se trouvent dans les pièces jointes qui suivent : Descriptif du poste en contrôle social (pdf) Descriptif du poste en santé sexuelle (pdf)
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