Une mosaïque autorisée dans l’espace public en hommage à l’écrivain, artiste et militant sexo-dissident Pedro Lemebel fut vandalisée, réinventée, restaurée, et complètement détruite. On écrit le nom de l’artiste à la place de la mosaïque ; ce nom disparaît. Que nous rappelle cette petite chronique de l’in/visibilité des luttes mémorielles et sexo-dissidentes sur le bras de fer perpétuel entre répressions et résistances sur les murs de Santiago de Chile de la dictature à nos jours ?

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