C’est un véritable scandale qui éclate en 1950 lorsque pour la première fois est projeté au Mexique le film Los Olvidados. Sexualité omniprésente, critique sociale et illustration d’un Mexique déséquilibré vont faire de Los Olvidados une œuvre taboue et censurée de toute part. La présente re-lecture propose une approche de l’œuvre depuis la perspective psychanalytique et cinématographique de Fernando Cesarman et philosophique de Michel Foucault. Retour sur ce chef d’œuvre cinématographique choc en quelques lignes.

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