Parution – Dementia

Dementia, janvier 2012, vol. 11, n°1

Verbal fluency in Alzheimer’s disease and Aphasia

E.M. Arroyo-Anlló, M. Lorber, F. Rigaleau, and R. Gil

Self and next of kin’s assessment of personality and sense of coherence in elderly people: Implications for dementia care
Göran Holst, Mikael Rennemark, and Ingalill R. Hallberg

The staff’s view on dementia and the care in three cultures: A qualitative study in France, Portugal and Sweden
Ulla Melin Emilsson

Design and dementia: A case of garments designed to prevent undressing
Sonja Iltanen-Tähkävuori, Minttu Wikberg, and Päivi Topo

Stand up for dementia: Performance, improvisation and stand up comedy as therapy for people with dementia; a qualitative study
John Stevens

The lived experience of spirituality and dementia in older people living with mild to moderate dementia
Padmaprabha Dalby, David J. Sperlinger, and Stephen Boddington

A Bio-Psycho-Social model enhances young adults’ understanding of and beliefs about people with Alzheimer’s disease: A case study
Steven R. Sabat

Coping with caring: Profiles of caregiving by informal carers living with a loved one who has dementia
Henk Kraijo, Werner Brouwer, Rob de Leeuw, Guus Schrijvers, and Job van Exel

 

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Séminaire – Philosophie et Immunologie
La prochaine séance du séminaire Philosophie et Immunologie aura lieu le 26 janvier 2012, de 12h à 13h30, à l’IHPST.

Marc Daëron, Institut Pasteur, Directeur de l’Unité d’Allergologie Moléculaire & Cellulaire, Unité Inserm 760, Département d’Immunologie (daeron@pasteur.fr) :

« Des anticorps, à quoi bon? »

Les anticorps sont, au moins quantitativement, les principaux effecteurs moléculaires de la réponse immunitaire adaptative. Ils jouent un rôle important dans l’immunité antiinfectieuse, ils rendent compte de l’efficacité des vaccins qui « marchent », ils sont de plus en plus utilisés comme outils thérapeutiques, dans l’immunothérapie passive des cancers, notamment. Les anticorps sont aussi responsables de maladies inflammatoires, allergiques et autoimmunitaires, dont la fréquence et la gravité ne cessent d’augmenter de façon exponentielle depuis une cinquantaine d’années. Que sont donc ces molécules, à la fois protectrices et pathogènes ? Quelles sont leurs propriétés biologiques ? A quoi les anticorps sont-ils bons ?

Les anticorps ne sont bons à rien. Ils n’ont pas de propriétés biologiques par eux-mêmes. Ils ne font que conférer des structures de reconnaissance pour l’antigène à des systèmes effecteurs qui en sont dépourvus, et lorsque survient l’antigène, celui-ci les active et les régule. Les anticorps enrôlent ainsi les très nombreuses cellules de l’immunité innée dans l’immunité adaptative. Mais les cellules de chaque type expriment une panoplie de récepteurs pour les anticorps et elles disposent d’un répertoire fonctionnel qui leur sont propres. En engageant ceux-là et en modulant celui-ci, les anticorps permettent une combinatoire à l’origine d’une extraordinaire diversité fonctionnelle des réponses aux stimulations antigéniques. Pour le meilleur et pour le pire.

Lieu :

Institut d’histoire et de philosophie des sciences et des techniques (IHPST)
13 rue du Four
2e étage
75006 Paris
(M°Mabillon ou Saint-Germain)

Détails sur le séminaire :
http://www-ihpst.univ-paris1.fr/s/24,philosophie_et_immunologie.html

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Séminaire de recherche de l’IRIST-LESVS – Approches et méthodes, sciences, technologies, santé et sociétés (ST2S)

Les séminaires auront lieu soit à l’hôpital civil de Strasbourg dans l’annexe du DHVS à l’ancien institut d’anatomie pathologique, soit à la Misha dans la salle Asie de 14h00 à 16h00.

2 février (Misha)
Daniel Carpenter (Harvard),
« Qu’est-ce que le pouvoir conceptuel de l’État régulateur? »

16 février (Hôpital civil)
Hélène Michel (Prisme-GSPE, UdS) et Eric Cheynis (CSU-UHA),
« Les groupes d’intérêt et la politique du médicament au niveau européen. »

15 mars (Hôpital civil)
Nicolas Tschudy (IRIST-LESVS, UdS),
« Risque et médicament : les dispositifs de gestion du risque à travers l’exemple des anticoagulants. »

5 avril (Misha)
Alberto Cambrosio (McGill),
« Investigating the collective turn in oncology and cancer research: A few methodological and conceptual issues »

24 mai (Hôpital civil)
Elisabeth Lambert (Prisme-GSPE, UdS),
« La réparation des victimes du droit à la santé en droit européen des droits de l’homme. »

14 juin (Hôpital civil)
Anne Rasmussen (IRIST-LESVS, UdS),
« Militaires et hygiénistes : relectures de l’hygiène publique, 1850-1920. »


 

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XIXème Congrès international des sociologues de langue française

Rabat, Maroc 2-6 juillet 2012

Appel à communication du GT1

« Le corps à l’épreuve des technosciences : entre maîtrise et incertitude »

GT1 Corps, technosciences et société


Le groupe de travail 1 s’intéresse aux rapports entre les corps et les technosciences au cœur des sociétés contemporaines. Débordant le champ des questions éthiques soulevées par le développement des biotechnologies, ce groupe de travail entrecroise des interrogations sur le corps et ses frontières avec des questions relatives à la socio-anthropologie des sciences et des techniques et privilégie une démarche où la réflexion théorique se nourrit de l’analyse des pratiques sur le terrain. En élargissant de manière transversale le questionnement aux sciences humaines et sociales, le GT01 voudrait ouvrir à l’échelle internationale les problématiques encore peu explorées qui ont été à l’origine de la création du GT 41 « Corps, techniques et société » de l’Associations Française de Sociologie en 2007 et qui actuellement constitue un réseau actif avec d’autres groupes de l’AFS.

Si la question ancienne d’un corps comme lieu « physique » – dans son épaisseur et dans sa chair – dans lequel une société inscrit et transmet ses valeurs a été abordée par Marcel Mauss, c’est à la suite de George Balandier que notre approche vise à dépasser l’archéologie inscrite dans les corps pour prendre en compte les sociétés en devenir. Les dynamiques et les changements en cours dans les nouveaux mondes socio-techniques informent les corps contemporains. Les corps se constituent alors en lieux autant physiques que symboliques dans lesquels la société inscrit ses conceptions de l’humain.

 

Au cœur des thèmes de recherche du GT1, les nouveaux dispositifs technoscientifiques nous plongent dans l’incertitude, dans la mesure où désormais les objets ne sont plus nécessairement détachés du corps mais peuvent lui être annexés ou être placés dans une proximité qui remet en question les  frontières corporelles. Cette incertitude est indissociable d’une volonté de maîtrise et de domestication des corps – autant que d’une redéfinition – qui nous oblige à questionner les fondements socio-anthropologiques de notre corporalité.  Afin d’aborder cette tension entre maîtrise et incertitude, nous proposons deux axes transversaux  permettant d’explorer les rapports entre corps, sciences et techniques.

AXE 1  Identités et pratiques

Lieu ou objet d’inscription des identités (de genre, de race, d’âge, de classe) et des appartenances (coercitives, consenties ou revendiquées), le corps est désormais l’enjeu de modifications, de manipulations, de remodelages technoscientifiques. Ceux-ci appellent, dans les champ des sciences humaines une réflexion sur ce qui « fait » l’humain. Si les récents débats autour des concepts de cyborg et de posthumain demeurent d’actualité, ils se cantonnent trop souvent dans des postures idéologiques (technophile/technophobe) qui nuisent à la compréhension des nouvelles formes de représentations identitaires et des pratiques qui les accompagnent. Dans le cadre de ce premier axe, des communications portant sur les aspects théoriques liés aux problématiques de l’identité, du « soi », de leur construction, de leur restructuration ou analysant des données empiriques, pourront s’inspirer des propositions suivantes :

– technologies de procréation et de gestation : FIV, « gestion pour autrui » et « mères porteuses », « bébés médicaments », utérus artificiel, procréation assistée et identité de genre (maternité, paternité).

-perfectionnement, « augmentation » ou modification des corps, par médication, prothèses, implants, modelages, chirurgie, inclusions, greffes, génétique, clonage :   construction des surnatures sportives, chirurgies (réparatrices, esthétiques, « ethniques », « genrée », génitale), techniques contraceptives (implants, stérilets progestatifs, contraception masculine), techniques médico-esthétiques, transplantation

– médicament comme « objet technique » : logiques identitaires et pratiques liées à la prise de médicaments (prescris ou non prescrit).

– nouvelles formes de médecine  (médecin, régénératrice, nanomédecine, médecine prédictive, médecine personnalisée ).

-Nouvelles formes de pratiques (imagerie, diagnostic et thérapie). Quels nouveaux vécus du corps et du soin peut-on envisager? Comment la notion de maladie pourrait-elle changer ? En quoi changent-elles la relation médecin-patient ? Comment faire face à une augmentation rapide des capacités de diagnostic en termes de gestion des données et de politique de santé ?

-usages ou projets autour de la robotique et de l’ intelligence artificielle : robots-compagnons de vie, domotique appliquée à la surveillance des malades, des personnes âgées, des suspects ou des criminels, biométrie et technologies pour l’identification, la reconnaissance et la traçabilité des personnes (surveillance des flux humains, médecine légale).

-nouvelles technologies de l’informations et corps : constructions des identités individuelles et collectives à travers les réseaux sociaux et les dispositifs qui les supportent, nouvelles formes de constructions de savoir et d’action collectives (réseaux sociaux de santé, jeux,…), nouvelles configurations de l’espace et des modalités de soin et de care avec l’apport des technologies de l’information, redéfinition des relations entre patient, aidant, médecin

– statut et place des mourants et des restes humains : place des techniques dans l’accompagnement des mourants, technologies d’identification des cadavres ou des restes humains, construction médicale de la mort cérébrale, techniques de préservation et de gestion des cadavres (thanatopraxie, crémation, traitement des déchets hospitaliers, gestion des risques épidémiques et de catastrophes, statut des restes humains)

corps « autres » : les technosciences comme problématisation de la frontière humain/animal (xenogreffes, « augmentation » animale, robotique, biomimétisme, couplage animal-machine, expérimentation animale, clonage)

AXE 2   Savoir et pouvoir

Héritée des travaux de Foucault, le couple conceptuel savoir/pouvoir constitue un angle d’analyse transversale pour aborder la question des rapports entre corps, sciences et techniques.  Sans nécessairement s’inscrire dans le prolongement de l’analyse foucaldienne du biopouvoir,  les communications reliées à cet axe permettront de saisir les tension, les enjeux et les incertitudes liés à la volonté de maîtriser le corps et de le remodeler par le bais des technosciences.

Comment les corps peuvent-ils « faire lieu » pour des savoirs ? Autour et à partir des corps, des milieux savants constituent paradigmes et communautés. Le savoir des institutions nous intéresse en ce qu’il relève d’une logique artisanale, d’une fabrique qui opère par tâtonnements, ajustements, inventivité, expérimentation, dans le cadre des techno-sciences, c’est-à-dire avec des méthodes, des outils, des perspectives qui informent peut-être autrement sur les corps. Ceux-ci deviennent de nouveaux « lieux », voire de nouveaux territoires à explorer, voire à conquérir. Les manières de faire et les manières de dire et de penser, les outils, les échanges, sont essentiels ici. On pourra suivre ces pistes avec la liste suivante des thèmes pouvant être abordés :

– Santé et politiques d’innovation scientifique : représentation du corps et nouvelles pratiques portées par les politiques de santé publique et par l’orientation des politiques scientifiques.

-Bioéconomie : utilisation technique et commercialisation des parties ou des produits du corps humain (sang, cellule souches, ovule, sperme, organes..)

– Savoirs sur le corps et technologies : imagerie médicale, technologies et diagnostics, télédiagnostics, chirurgie robotique

-Esthétique, chirurgie plastique, lutte contre le vieillissement.

– Exercice des thanatopouvoirs : construction des législations sur le statut des restes humains, organisation de la mémoire des morts (cimetières virtuels) , usages des technologies appliquées aux terrains de guerres (« frappes chirurgicales », utilisation des drones, robotisation des champs de bataille).

– Biopouvoir et « molécularisation » de la culture.

Les deux axes de réflexion que nous proposons ne sont pas exclusifs l’un de l’autre ; les thèmes proposés ne sont pas exhaustifs. Nous souhaiterions cependant que les communications soient annoncées comme relevant de l’axe 1 ou de l’axe 2 par leurs auteurs.

Modalités de soumission des propositions :

Vos propositions de communications doivent être soumises au plus tard pour le 15 février 2012 sur le site du congrès :http://congres2012.aislf.org/

Les propositions détaillées de communication devront se conformer aux exigences suivantes :

1- Une proposition de communication, en 7500 caractères maximum, espaces compris, soit environ une à deux pages de texte. :

2-Un résumé de cette communication, répondant aux exigences de l’AISLF, soit en 1400 signes (espaces compris).

Pour des informations vous pouvez nous rejoindre à cette adresse : celine.lafontaine@umontreal.ca

 

 

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Appel d’offres – Recherche médicale sida

La Fondation de France lance en 2012, pour la sixième année consécutive, un appel à projets « Sida, Santé et Développement – Recherche Médicale ».

La Fondation de France souhaite soutenir des projets de recherche abordant la problématique « Genre et VIH ». Elle souhaite contribuer au progrès des connaissances et à l’évolution des pratiques professionnelles et des politiques sanitaires. Elle entend intéresser des chercheurs de disciplines telles que la recherche clinique, la sociologie, la santé publique, l’anthropologie et l’épidémiologie.

Les terrains de recherche concerneront les zones suivantes :
• L’Afrique,
• L’Asie : Cambodge, Inde, Laos, Thaïlande et Vietnam,
• L’Amérique du Sud : Brésil et Argentine,
• Les départements français d’Amérique : Antilles et Guyane.

Afin de sensibiliser le plus grand nombre de porteurs de projets, nous sollicitons votre collaboration et vous prions de bien vouloir diffuser cette plaquette auprès de vos réseaux et/ou lecteurs.

Par ailleurs, nous vous proposons de consulter ou de signaler notre site www.fondationdefrance.org (rubrique « Trouver un financement ») d’où il est possible de télécharger cet appel à projets ainsi que le dossier de demande de subvention.

 

 

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Exposition et publication « Loin des yeux près du corps » à la Galerie de l’UQAM

Communiqué de presse

Dates : du 13 janvier au 18 février 2012
Vernissage : le jeudi 12 janvier, à 17 h 30
Lieu : Galerie de l’UQAM, 1400, rue Berri, local J-R120, Montréal

Le 19 décembre 2011 — La Galerie de l’UQAM présente, à compter du 13 janvier 2012, Loin des yeux près du corps, une exposition collective dont le commissariat est assuré par Thérèse St-Gelais. L’exposition présente des œuvres qui rendent perceptibles des expériences sensitives que le regard seul ne peut saisir. Elle rassemble des œuvres de Ghada Amer, Caroline Boileau, Louise Bourgeois, Marie-Claude Bouthillier, Geneviève Cadieux, Caroline Gagné, Betty Goodwin, Anne-Marie Ouellet, Kiki Smith et Angèle Verret. Le vernissage aura lieu le jeudi 12 janvier, à 17 h 30, à la Galerie. Une publication substantielle accompagnant l’exposition sera également lancée.

L’exposition
Le regard peine parfois à voir l’œuvre qu’il a devant lui, alors que le corps s’active, malgré lui, à la recevoir. Or, c’est à rendre visible cette sensibilité que se consacre Loin des yeux près du corps. Au-delà du regard, c’est au corps, à ses expériences sensitives, à sa mémoire viscérale que les artistes présentées ici s’adressent. Comme si les images qu’elles produisent s’imprégnaient d’une corporalité indissociable de leur manière de voir le monde. Les artistes choisies, toutes des femmes, partagent cette volonté de rejoindre l’autre par des voies où l’expérience de l’œuvre, celle des affects et du désir, ne tient pas compte de la distance imposée par le regard.

Loin des yeux près du corps ne cible pas des artistes dont la démarche serait explicitement liée à la représentation de marqueurs féminins. Elle veut plutôt montrer des modes de travail qui relient les corps aux manières de faire. Elle se fonde sur le principe que nos ancrages dans les espaces de vie, comme dans ceux de la réflexion ou de la création, sont indissociables les uns des autres. Ces expériences qui appartiennent à la mémoire du corps et au travail de l’esprit, surtout si elles se jumellent à des engagements sociaux, ne peuvent se penser sans lien entre elles. À distance de l’intime, loin d’une saisie de visu, le regard se fait ici réceptacle d’une mémoire corporelle à partager.

Thérèse St-Gelais, professeure au Département d’histoire de l’art de l’UQAM, mène depuis plusieurs années une vaste étude sur l’histoire de l’art des femmes et propose ici une réflexion critique en appui sur des considérations aussi bien sociologiques et iconographiques qu’esthétiques.

La publication
L’ouvrage Loin des yeux près du corps. Entre théorie et création rassemble des essais portant sur la production actuelle de créatrices, toutes formes d’art confondues. En première partie, l’ouvrage se concentre sur les œuvres de l’exposition, tandis que la seconde partie regroupe des textes qui se penchent sur les liens étroits entre la théorie et la création dans le travail de femmes artistes, auteures, historiennes et théoriciennes. Ensemble, ces essais et ces œuvres montrent combien le corps et l’esprit fusionnent lorsqu’ils s’engagent dans l’affirmation d’une identité sans cesse à revoir. La publication est produite en coédition avec les Éditions du remue-ménage.

Auteures : Thérèse St-Gelais, Sylvie Fortin, Émilie Houssa, Joanne Lalonde, Anne-Marie St-Jean Aubre, Mercédès Baillargeon, Catherine Cyr, Stéphane Martelly, Lori Saint-Martin, Jocelyne Lupien, Frieda Ekotto, Martine Delvaux, Isabelle Boisclair, Catherine Mavrikakis, Elvan Zabunyan, Audrey Laurin, Liza Petiteau, Sophie Stévance, Jacinthe Dupuis

182 pages / En français 35 $

Photos haute résolution : http://www.salledepresse.uqam.ca/photos.html

Activités gratuites
Midi art contemporain : tous les jeudis, de 13 h à 13 h 45
Un médiateur est sur place pour échanger avec le public.

Visites commentées de l’exposition et Parcours des œuvres d’art public sur le campus :
Offerts en tout temps. Réservations requises. Julie Bélisle, 514 987-3000, poste 1424
ou belisle.julie@uqam.ca

Appuis
Conseil des arts et des lettres du Québec, Conseil des Arts du Canada, Université du Québec à Montréal

Caroline Gagné remercie le Conseil des arts et des lettres du Québec, Est-Nord-Est, Avatar, La Bande Vidéo et Oboro pour leur contribution à la production de son œuvre.

Adresse et heures d’ouverture
La Galerie de l’UQAM
Pavillon Judith Jasmin, salle J-R120
1400, rue Berri, angle Sainte-Catherine Est, Montréal
Métro Berri UQAM

Du mardi au samedi, de midi à 18 heures
Entrée libre

Renseignements
Tél. : 514 987-6150
www.galerie.uqam.ca

 

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Parution – The journal of medicine and philosophy

 

The journal of medicine and philosophy, vol 36, n°6, décembre 2011.

Defining and providing a decent minimum of health care

 

Rights and Basic Health Care – D. Robert MacDougall and Griffin Trotter

Foundation For A Natural Right To Health Care – Jason T. Eberl, Eleanor D. Kinney, and Matthew J. Williams

The Medical Minimum: Zero – Jan Narveson

Why Treat Noncompliant Patients? Beyond the Decent Minimum Account – Nir Eyal

Just Caring: Defining a Basic Benefit Package – Leonard M. Fleck

How ‘Decent’ Is a Decent Minimum of Health Care? – Ruud Ter Meulen

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Journée d’étude – Culpabilité et responsabilité face au corps souffrant (XVIIIe-XXe)

 

Jeudi 9 février 2012, 9h30-16h

Université Toulouse II-Le Mirail

Maison de la Recherche, Salle D30

 

Journée d’étude organisée par la thématique Santé et Société du laboratoire Framespa – UMR 5136, Atelier 3 – Corps, santé, représentations

Responsables scientifiques : Nahema Hanafi, Pierre C. Lile, Didier Foucault

 

9h30

Introduction

Nahema HANAFI

(Université Toulouse II / Université de Lausanne)

 

10h

Négocier son sang: Saignée et sacrifice dans The History of Sir Charles Grandison (1753)

Sophie VASSET

(Université Paris-Diderot)

 

10h45-11h

Pause

 

11h

Justiciable ou expert. La responsabilité du médecin devant la justice de l’Ancien Régime

Didier FOUCAULT

(Université Toulouse II)

 

12h-14h

Pause Déjeuner

 

14h

Le médecin coupable? Quelques enjeux de la relation thérapeutique dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle

Philip RIEDER

(Institut d’éthique biomédicale de Genève)

 

15h

La question de la culpabilité et de la responsabilité face au corps souffrant, XIXe-XXIe siècles

Vincent BARRAS

(Institut universitaire d’histoire de la médecine et de la santé publique de Lausanne)

 

Télécharger le programme (pdf)

 

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Conférence – L’écologie corporelle

Lundi 23 janvier 2012

Conférence de Bernard Andrieu / cycle Le corps

à 18 h 30 – université / amphi 6 – UFR Lettres et sciences humaines

Faute de connaître l’écologie de notre propre corps, nous recherchons dans la nature une harmonie qui se trouve à l’intérieur de nous : notre microcosme ne correspond plus avec le macrocosme. Nous cherchons à la montagne, sur les plages ou à la campagne des paysages sans correspondance entre notre corps et la nature. Toute philosophie réfléchit sur l’eau, la terre, l’air et le feu depuis Empédocle en passant par Kant jusqu’à Bachelard.
Ces quatre éléments constitutifs de notre équilibre sont désormais déchaînés les uns contre les autres. Les désordres des inondations, canicules, tsunamis, et autres tremblements de terre seraient la preuve d’une perte de l’harmonie primitive, causée par le déséquilibre de l’action humaine. Or aucune conférence mondiale ne remplacera la conscience corporelle de notre interaction avec les éléments car l’écologie corporelle est réflexive et sensorielle.

Bernard Andrieu est philosophe, professeur d’épistémologie du corps et des pratiques corporelles à l’université de Nancy, codirecteur de Corps, revue interdisciplinaire (éd. CNRS).
Il a publié de nombreux ouvrages dont  »Le Dictionnaire du corps en sciences humaines et sociales (éd. CNRS Reed, 2008), Toucher. Se soigner par le corps (éd. Belles lettres), Devenir hybride » (PU Nancy) et L’écologie corporelle (4 tomes, éd. Atlantica, 2011).

http://blogs.univ-lehavre.fr/actualites/index.php/post/2012/01/23/L%E2%80%99%C3%A9cologie-corporelle

 

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Appel à contribution – Health & Space 2012

 

19 – 21 September 2012

Aix-Marseille University, Saint-Charles campus, Marseille

31st March 2012 : deadline for abstract proposal

The colloquium is organized by the UMR 6012 ESPACE, a research team from the Department of Geography of the Aix-Marseille University . After the success of the first edition, our ambition is to provide every two years the opportunity for doctorants, postdoctorants, researchers and public health professionals to present their original research dealing with the spatial aspects of health and health care issues. Special attention is given to quantitative approaches in this field, either related to observational or theoretical studies.

The colloquium is focusing on the changes that both health geography and spatial epidemiology are experiencing. The specificity of these fields is to integrate knowledge about how the physical and social environment and spatial interactions can determine health and health care issues. Spatial modelling, enriched by new sources of geographical information, tend to become a major tool to understand the complexity of these issues. Conceptually, three main stages can be outlined.

From fieldwork to data

Data collection protocols have to be renewed in order to integrate the spatial dimension. New datasets should be compatible with spatial models be they aggregated, disaggregated or multi-scale. The anisotropic nature of the life environment of sick individuals (human or animal) should be fully integrated in the fieldwork campaigns’ design. Specific issues related to the transition from fieldwork to data, and from data to models will be specifically addressed in this conference.

Epidemiology and spatial analysis

Spatial epidemiology and spatial analysis of health issues will constitute the second main theme. The added value of the spatial dimension as an explanatory variable of epidemiological systems will be clearly stressed. This dimension is of prime importance in the identification of contamination places, living environment and frequented places. Both transmittable (human/human, animal/human, animal/animal) and non-transmittable diseases (cancer…) will constitute privileged topics. Some workshops will specifically focus on the difficulties linked to the joint integration of physiological (water, food) and socio-economical (social classes, frequented places, social links, specific practices) variables. The choice of an optimal scale in epidemiological processes will also be brought up as a critical question.

Modelling and simulation

Modelling and simulation will be at the core of the third axis of the conference. Several recent publications show the interest of spatial representations of health risks. They usually aim at highlighting sources of infection or diffusion gradients in pathologies. Simulation techniques such as cellular automatas or multi-agent models are bringing new analysis tools. But these tools have to be used for what they are and the questions of what is modelled? How to interpret the results? How to relate explanatory variables to the actual health risk? shouldn’t be dismissed. In a risk management approach, the presence of a pathogen should be confronted to the actual risk of becoming sick. The presence of the former isn’t necessarily implying the occurrence of the latter.

This conference will eventually deal with validation protocols linked to simulation models in spatial epidemiology. Some processes involving animal species (malaria, plague) are relatively prone to modelling, whereas other pathologies with less obvious causes such as cancers are much more difficult to model and to validate.

Organizing committee

Frédéric Audard, Marion Borderon, Vincent Laperrière, Sébastien Oliveau

healthandspace@univ-provence.fr

 


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