Philosophie

You are currently browsing articles tagged Philosophie.

Parution – Journal of the history of sexuality

Journal of the history of sexuality, Volume 20, Number 1, January 2011
Journal of the History of Sexuality
Exclusion as Language and the Language of Exclusion: Tracing Regimes of Gender through Linguistic Representations of the “Eunuch”

Between Monks: Tales of Monastic Companionship in Early Byzantium

Derek Krueger

Unbecoming Women: Sex Reversal in the Scientific Discourse on Female Deviance in Britain, 1880–1920
“Must we dance naked?”: Art, Beauty, and Law in Munich and Paris, 1911–1913
The Stained Glass Closet: Celibacy and Homosexuality in the Church of England to 1955
“The most profoundly revolutionary act a homosexual can engage in”: Drag and the Politics of Gender Presentation in the San Francisco Gay Liberation Movement, 1964–1972

Tags: , , , , , ,

Rencontres – L’embryon humain : science et droit

Les rencontres Jean-Jacques Salomon

« L’EMBRYON HUMAIN : SCIENCE ET DROIT »

Futuribles International – 47, rue de Babylone 75007 Paris

Jeudi 3 février 2011, 14h-18h 30

L’utilisation d’embryons surnuméraires issus de fécondation in vitro qui ne font plus l’objet de projet parental permet de mener des recherches pour caractériser ou étudier les événements physiologiques et biochimiques, pour améliorer la connaissance des différentes étapes du développement de l’embryon et en déduire les thérapies possibles des dysfonctionnements. Aujourd’hui, les lois de bioéthique de 2004 interdisent la recherche pour améliorer l’efficacité des techniques de fécondation in vitro. Le projet loi dans le cadre de la révision des lois de bioéthique de 2004 (adopté en Conseil des ministres le 20 octobre 2010) permet le recours à certains procédés comme la vitrification d’ovocytes (technique de congélation rapide des ovocytes). Faudrait-il une autorisation élargie pour permettre aux chercheurs de faire évoluer les conditions de fécondation ? Doit-on autoriser, sous forme de dérogation ? L’amélioration de ces techniques permettrait une diminution du recours à la congélation. Comment garantir qu’une nouvelle technique de fécondation in vitro est sans danger pour l’embryon destiné à être implanté ?

Lors des débats autour de la révision des lois de bioéthique de 2004 et lors des Etats-Généraux de la bioéthique, la majorité des médecins s’est exprimée en faveur de l’instauration d’un régime d’autorisation encadrée de la recherche sur l’embryon plutôt qu’une interdiction avec dérogations. Or, la mission parlementaire sur la bioéthique (ayant pour but d’examiner le projet de loi avant qu’il ne soit débattu dans l’hémicycle début 2011) recommande « de maintenir le principe de l’interdiction de la recherche sur l’embryon ». Le texte confirme l’interdiction de principe mais assortie de dérogations dont les conditions seraient assouplies. Les recherches ne devraient plus avoir pour finalité des « progrès thérapeutiques majeurs » mais devraient suivre une visée « médicale » plus large. Est-il acceptable de détruire un embryon humain pour servir la santé humaine? Quels sont les termes du débat juridique sur l’embryon humain ?

Si le nombre d’embryons surnuméraires sans projet parental venait à être insuffisant pour conduire ces recherches, faudra-t-il autoriser la création d’embryons ad hoc pour la recherche (et laquelle) ou autoriser la création d’embryons hybrides humains-animaux ? Ces embryons hybrides issus de l’intégration d’un noyau humain dans un ovule énucléé provenant d’animaux, à l’instar de la décision des Britanniques, conçus à des fins de recherche et détruits au bout de 14 jours de développement, ne pourraient pas être réimplantés. Nous n’aborderons que les recherches sur l’embryon humain portant sur le début du développement de l’être humain, l’amélioration des techniques de fécondation in vitro voire des innovations scientifiques futures portant sur l’expérimentation de médicaments ou de nouveaux traitements.

Intervenants :

• Agnès RICROCH, généticienne à AgroParisTech et membre du Comité de pilotage

• Docteur Arnaud DE GUERRA, responsable de l’unité « Recherches-projets européens » à l’Agence de biomédecine

• Docteur Jacqueline MANDELBAUM, membre du Comité consultatif national d’éthique et responsable du service de Biologie de la reproduction à l’Hôpital Tenon

• Florence BELLIVIER, professeur à l’Université de Paris X Nanterre, spécialiste du droit civil, du droit de la bioéthique et du droit médical

• Valérie GATEAU, philosophe de la santé

Comité de pilotage :

Julie BOUCHARD (Maître de conférences, Université Paris XIII, Laboratoire des sciences de l’information et de la communication)

Hugues de JOUVENEL (Directeur Général, groupe Futuribles International)

Pierre HASSNER (Directeur de recherche émérite, Centre d’études et de recherches internationales)

André LEBEAU (ancien président du CNES)

Agnès RICROCH (Maître de conférences, AgroParisTech, Laboratoire « Ecologie, systématique et évolution », Université Paris XI Orsay, CNRS, AgroParisTech)

Claire SALOMON-BAYET (Professeur émérite, Université Paris I Panthéon Sorbonne)

Geneviève SCHMÉDER (Professeur des Universités, Conservatoire national des arts et métiers)

Télécharger le bulletin d’inscription (pdf)

Tags: , ,

Séminaire- La construction de la relation médecin-malade dans la médecine occidentale

Lundi 3 janvier se tiendra la quatrième séance du séminaire organisé par Gilles Barroux et consacré à « La construction de la relation médecin-malade dans la médecine occidentale ».

18h30-20h30 Merveilleux, prodiges et curiosités : illuminisme et lumières en médecine (XVIIe-XVIIIe siècles) :

une « grossesse masculine » à la fin du dix-septième siècle, rapportée dans le Journal des progrès de la médecine : une pure affabulation ? Un roman psychologique passionnel ? Une série de spéculations scientifiques ? Se repose ainsi la question de ce que peut un corps, de quelles sont ses limites et de la méconnaissance des lois de la physiologie…

Gilles Barroux – Salle CPEC 2, Centre Parisien d’Études Critiques, 37 bis rue du Sentier, 75002 Paris

Tags: , , ,

Appel – CHIMERES N°75

hybride, transhumain, cyber.machin
2011
Trans-humain, post-humain, cyber.machin : bien des rengaines, les unes catastrophistes, les autres exaltant la venue d’un surhomme technologique, au lieu de réfléchir sur les transformations réelles et sociales de nos affects, de notre clinique politique. La technologie ambiante fait partie intégrante de nos paysages sociaux, et il n’existe pas « une » subjectivité humaine indépendante des dispositifs techniques dans lesquels nous vivons. Ces processus industriels agissent sur nos modes de perception, d’agir, de communiquer, entretiennent également notre fascination, mêlant la techno-science à de nouvelles formes de biopouvoir.
Les lobbys transhumanistes sont en plein essor, des laboratoires prospèrent et reçoivent des fonds colossaux pour développer des dispositifs inédits (la gérontechnologie, surveillance à distance des personnes âgées) ou des technologies à la pointe de l’armement (exosquelettes, robots militaires, auto-réparation du soldat, etc.).
En parallèle, la cybernétique, la PNL, la psychologie cognitive, prennent de plus en plus d’ascendant et redéfinissent la psyche contemporaine à partir des mêmes paradigmes techno-scientifiques. Les sectes, scientologues, Raël, etc, misent également sur cet avenir et recrutent en jouant de ce fond de commerce post-humain.
Si le post-humain ou le trans-humain servent à réintroduire le progrès par la fenêtre, nous nous inscrivons dans une autre perspective, celle de l’hybridation. Elle pose le problème du mixte nature-technique, et de ses enjeux politiques, moins une perfectibilité technique qu’une immersion dans un corps-réseau. Cette connexion de la subjectivité ne place pas le sujet dans la machine (Ipod, portables, twitter, facebook) ni la machine dans le corps (nanorobot, implants, prothèses, puces, Wii Fit) mais inaugure une insertion du sujet dans un mouvement de subjectivation sous la forme de variations multiples du soi. La multitechnicité du corps contemporain définit une pluripotentialité (cellules souches, recalibration des images du corps, modification du schéma corporel) en faisant découvrir au sujet de nouveaux modes de performativités. Le queer, les technotesto, le dopage, le métissage, la mixité sexuelle, l’interdisciplinarité numérique créent de nouvelles aptitudes dont le sujet s’ignorait capable tant le déterminisme idéologique des habitus limite chacune(e) dans des techniques du corps contenantes plutôt qu’émergentes.

Le prochain numéro de Chimères tentera de dresser une cartographie critique et clinique de ces différentes voies, entre post-humains, trans-humain, et hybridations proposant de mélanger biologie et technologie, cybernétique et corporéité.

Quelques recommandations pour les auteurs :

DATE LIMITE : fin février

Longueur : en moyenne, entre 30 000 et 35 000 signes espaces compris, ou plus courts, mais exceptionnellement seulement plus longs, en fonction du nombre de textes retenus.
Style accessible et pas trop de notes, ce n’est pas une revue d’érudition universitaire.
Eviter les appels de notes et préférer des numéros intégrés dans le corps du texte renvoyant à des notes en fin d’article (cela facilite les choses à la composition).

Adresse d’envoi : chimeres75@yahoo.fr

Tags: , , , , , , , , , , ,

Journée d’étude – Psychiatrie et prison. La question du soin aux personnes détenues

Jeudi 03 et vendredi 04 février 2011  |  Lyon (69007)

L’ouverture à Lyon en 2010 de la première unité d’hospitalisation spécialement aménagée (UHSA) de France s’accompagne d’une couverture médiatique importante. Le dispositif national semble nouveau et pose question : ce lieu de soins psychiatriques pour personnes détenues relève-t-il de l’hôpital ou de la prison ? Comment rester médecin et soignant au service de l’individu au sein d’un dispositif contraignant qui va dans le sens d’une régulation de l’ordre social ? Pour le moins se dessine un conflit des normes, produisant un sujet hybride, mi-patient mi-détenu, et un reste probable : sa souffrance et la parole de sa souffrance.

Pour répondre à ces questions, il faudra certainement interroger le projet UHSA lui-même, dans son actualité mais aussi par des mises en perspective historiques et philosophiques. Les réponses que l’on peut apporter à ces questions relayées par les médias sont si complexes qu’il y a tout intérêt à les donner à travers une rencontre interdisciplinaire et un croisement de regards, dans une approche qui convoque à la fois les acteurs directement impliqués, des équipes de recherche universitaire, des créateurs artistiques et des interprètes, pour un dialogue à multiples facettes.

Il s’agit moins au terme de ce dialogue de juger un fait de société ou de lui proposer une réponse unique que de juxtaposer et de confronter des points de vue pour mieux faire percevoir l’implicite des enjeux et des discours relatifs à la création de l’UHSA.

Journées d’étude organisées par la Bibliothèque interuniversitaire de recherche en lettres et sciences humaines de Lyon (BIU Lsh)
en partenariat avec le laboratoire Triangle, CNRS, UMR 5206, rattaché à l’École normale supérieure de Lyon avec la collaboration du pôle de Santé mentale des détenus et de psychiatrie légale du Centre Hospitalier Le Vinatier (Lyon-Bron)
et du Barreau de Lyon
et avec la participation de l’ANR Sciencepeine


Jeudi 3 février.
Les relations entre l’individu et l’institution.

La communauté scientifique lyonnaise a inscrit au cœur de ses priorités une réflexion sur les thématiques croisées de la santé, de la société et des territoires, avec leurs incidences sur les relations entre les individus et les institutions. En interrogeant ce nouveau dispositif de soin aux personnes détenues que représente l’UHSA et l’histoire de la régulation sociale, la BIU Lsh accompagne la réflexion institutionnelle et académique en lui offrant son interface de documentation, de valorisation et d’échanges.

Matin. Regards sur les institutions.

Présidence : Myriam Picot, Bâtonnier du Barreau de Lyon.
9h00-10h. Ouverture.

Olivier Faron, Directeur général de l’École normale supérieure de Lyon
Hubert Meunier, Directeur du Centre Hospitalier Le Vinatier (Lyon-Bron)
Jean-Charles Toulouze, Directeur interrégional des services pénitentiaires de Lyon – Rhône-Alpes (sous réserve)
Jean-Claude Zancarini, Directeur de l’UMR Triangle, Directeur du pôle Diffusion des savoirs de l’ENS de Lyon
Charles Micol, Directeur de la BIU Lsh de Lyon
10h-10h30. Présentation de la structure UHSA et des questions qu’elle suscite : actualité, nouveauté. Dr Eve Bécache, psychiatre, responsable de l’UHSA Simone Veil (SMDPL-CHV)

10h30-11h. Rappel des questionnements suscités jadis et naguère par des structures dont l’UHSA d’aujourd’hui nous semblait hier si proche. Dr Evry Archer, psychiatre, psychologue clinicien
11h-11h30. PAUSE
11h30-12h. Le projet politique et le cadre administratif. Jean-Olivier Viout, Procureur général de la Cour d’appel de Lyon
12h-12h30. Lectures, questions.
Après-midi. Dialectique soin / contraintes en milieu carcéral.

Présidence : Dr Pierre Lamothe, psychiatre et responsable du pôle de Santé mentale des détenus et psychiatrie légale (SMDPL-CHV).
14h30-15h. Le droit à l’intime. Dr Pierre Lamothe
15h-15h30. Le soin et la prison. Dr Frédéric Meunier, psychiatre, responsable du Service médico-psychologique régional (SMPR, SMDPL-CHV)
15h30-16h. Pratiques du soin en prison : entre histoire et mémoire. Hélène Bellanger, chercheur au Centre d’histoire de Sciences Po Paris, membre du comité de rédaction de Criminocorpus et de l’ANR Sciencepeine et Marc Renneville, maître de conférences en histoire contemporaine, Direction de l’administration pénitentiaire – bureau PMJ5, fondateur du site Criminocorpus, membre de l’ANR Sciencepeine
16h-16h30. Le poids du quotidien. Agnès Rauber, Directrice adjointe du Service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) du Rhône
16h30-17h. Lectures, questions.

17H-17h30 : PAUSE
17h30-19h. Carte blanche au Dr Claude Balier, psychiatre, psychanalyste avec André Grépillat, psychologue clinicien, Centre Ressource pour les intervenants auprès des auteurs de violences sexuelles (CRIAVS) Rhône-Alpes (Centre ressource Claude Balier)

Vendredi 4 février 2011.L’expression de la personne détenue dans l’histoire et dans la littérature.

Cette journée apportera un éclairage historique, littéraire, artistique, philosophique sur quelques présupposés liés à l’intériorité de la personne détenue, présente à travers ses silences, ses paroles et ses écrits. Parole réelle ou fictive, spontanée ou reconstruite, confisquée ou déployée ? Ultime contrainte ou lieu possible de construction du sujet ?
Matin. La parole confisquée.

Présidence : Laurent Dartigues, chercheur CNRS, UMR Triangle.

9h00-9h45. Le soin ambigu : l’hybridation du soin et de la peine. Claude-Olivier Doron, Université Paris Diderot – Paris 7, REHSEIS, Centre Georges Canguilhem
9h45-10h30. Dispositifs d’écriture en détention. Philippe Artières, Institut interdisciplinaire d’anthropologie du contemporain (iiAC) – Anthropologie de l’écriture (CNRS/EHESS), Président du Centre Michel Foucault
10h30-10h45. Lectures, questions.

10h45-11h : PAUSE
11h-11h45. Récidive ou répétition ? Pathologie du passage à l’acte. Pr Jean-Marc Elchardus, professeur de médecine légale psychiatrique à l’Université Claude Bernard Lyon 1
11h45-12h15. Intervention de Julien Morel d’Arleux, Directeur de la Maison d’arrêt de Lyon Corbas
12h15-12h30. Lectures, questions.
Après-midi. La parole déployée.

Présidence : Delphine Gleizes, maître de conférences en littérature française du XIXe siècle à l’Université Lumière Lyon 2, Directrice de l’équipe Lyon 19e de l’UMR LIRE (CNRS/Lyon 2).
14h-14h30. Perte des sens et souffrance psychique. Prise en compte de la déprivation sensorielle dans un dispositif thérapeutique auprès de détenus. Herminie Leca, psychologue clinicienne au SMPR (SMDPL-CHV), doctorante à l’Université Lumière Lyon 2
14h30-15h. Études sur les frontières du littéraire, à partir du fonds Lacassagne et des écrits de Pierre-François Lacenaire, criminel de droit commun au XIXe siècle (Lyon 1803 – Paris 1836). Marion Crétien, Université Lumière Lyon 2
15h-15h30. Lectures, questions.
15h30- 16h : PAUSE
16h-16h30. Paroles et écrits de détention dans l’histoire et la littérature du XIXe siècle. Véronique Fau-Vincenti, responsable des activités scientifiques du Musée de l’histoire vivante de Montreuil, chercheur associée de l’UMR LIRE (CNRS/Lyon 2), membre de l’ANR Sciencepeine

16h30-17h. Écrire dans les journaux publiés en détention, 1980-2010. Jean-Claude Vimont, maître de conférences en histoire contemporaine, Directeur du département d’histoire de l’Université de Rouen, membre du comité de rédaction de Criminocorpus et de l’ANR Sciencepeine

17h-17h30. Une proposition artistique fondée sur les ambigüités : dialogues par les interstices. Chantal Dugave, artiste, créatrice de l’œuvre réalisée sur l’UHSA Simone Veil (SMDPL-CHV), enseignante à l’École d’Architecture de Lyon

17h30-17h45. Lectures, questions.
17h45-18h. Le mot de la bibliothèque. Charles Micol, Directeur de la BIU Lsh de Lyon, Marianne Pernoo, responsable des collections et de la valorisation à la BIU Lsh de Lyon
18h00-18h30. PAUSE
18h30-20h. Clôture du colloque. Troubles mentaux, sécurité et société.

Projection du documentaire « Un monde sans fous ? » et regards croisés avec Claude-Olivier Doron et Philippe Borrel, auteur du documentaire « Un monde sans fous ? » (sous réserve)

Accès
Amphithéâtre de l’ENS de Lyon, site Descartes
15 parvis René Descartes, Lyon 7e
Métro Debourg (ligne B)
entrée libre dans la limite des places disponibles

Contact
Bibliothèque interuniversitaire de recherche en lettres et sciences humaines
5 parvis René Descartes, BP 7000, 69342 Lyon cedex 07
04 37 37 65 00
inscription possible à l’adresse biu-communication@ens-lyon.fr

Tags: , , , ,

Parution – Body & Society
Body and society, December 2010, Vol. 16, No. 4
A History of Virulence: The Body and Computer Culture in the 1980s
Antonio A. Casilli


Toilets, Bodies, Selves: Enacting Composting as Counterculture in Hawai’i
Lucy Pickering
Imagining the Other in Cosmetic Surgery
Debra Gimlin


Reading Friedan: Toward a Feminist Articulation of Heart Disease
Anne Pollock

Tags: , , , , , , , , , , ,

Conférence – Imaginer la personne humaine :  une vision éthique de la médecine


Le Pr. Patrick Berche, doyen de la faculté de médecine Paris Descartes et
le Pr. christian hervé, chargé de la mission « relations médecins/patient/familles »

ont le plaisir de vous convier à une nouvelle édition des «Rencontres d’Hippocrate» de la faculté de médecine Paris Descartes :

« Imaginer la personne humaine :  une vision éthique de la médecine »

Avec :
Pr. Laurent Lantieri, chef du service de chirurgie plastique et reconstructrice – hôpital Henri Mondor (Créteil), auteur de la première greffe totale de la face et M. Bernard Andrieu, anthropologue et philosophe du corps.

Le lundi 17 janvier 2011, à 18h30
Faculté de médecine Paris Descartes – amphithéâtre Richet
15 rue de l’école de médecine – Paris 6è (M° Odéon)

renseignements :
christian.herve@parisdescartes.fr
www.medecine.parisdescartes.fr
Cette invitation est ouverte à tous, n’hésitez pas à la diffuser aux personnes susceptibles d’être intéressées.
Cette édition des «Rencontres d’Hippocrate» est également organisée dans le cadre de la conférence inaugurale du Master de recherche en éthique de l’université Paris Descartes.

Tags: ,

Parution – Journal of medicine and philosophy


Journal of medicine and philosophy, Bioethics and Transhumanism, December 2010, Volume 35, Issue 6

Fabrice Jotterand
At the Roots of Transhumanism: From the Enlightenment to a Post-Human Future

James Hughes
Contradictions from the Enlightenment Roots of Transhumanism

Michael Bess
Enhanced Humans versus “Normal People”: Elusive Definitions

Ingmar Persson and Julian Savulescu
Moral Transhumanism

Heather G. Bradshaw and Ruud Ter Meulen
A Transhumanist Fault Line Around Disability: Morphological Freedom and the Obligation to Enhance

Tom Koch
Enhancing Who? Enhancing What? Ethics, Bioethics, and Transhumanism

Jeffrey P. Bishop
Transhumanism, Metaphysics, and the Posthuman God

Tags: ,

Rencontre sur le handicap – Dialogue entre Marcel NUSS et Pierre ANCET

Le mardi 25 janvier 2011 – 18 h – 20 h
(arrivée du public souhaitée à 17 h 45) – entrée libre
A l’amphithéâtre Eicher, pôle AAFE
(bâtiment blanc derrière la faculté des lettres),
esplanade Erasme, Université de Bourgogne.

Rencontre organisée par le Centre Georges Chevrier UMR CNRS 5605, avec l’aide de la Région Bourgogne. Différents thèmes seront abordés comme l’autonomie (au sens courant et au sens de création de normes), la dépendance (physique et psychique), la séduction, la virilité, le rapport au temps, l’élan vital… tout en laissant une part importante aux questions au public.

Marcel Nuss présentera son dernier livre à la librairie Grangier le samedi 22 janvier 2011 à 17 h.

Tags: , , ,

Parution – Sexualities


Sexualities, december 2010, vol 13, n°6.

Special feature: Sexuality and religion/ spirituality
Andrew Kam-Tuck Yip
Some queer questions from a Muslim faith perspective
Dervla Sara Shannahan
Confession, sexuality and pornography as sacred language
Brian Duff
Secularism, religion and ‘progressive’ sex education
Mary Lou Rasmussen
Sexualization: Have sexualization processes changed direction?
Cas Wouters
Sexualization, sex and manners
Feona Attwood
Whatever happened to non-monogamies? Critical reflections on recent research and theory
Meg Barker and Darren Langdridge

Tags: , , , , , , ,

« Older entries § Newer entries »