Sociologie

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Séminaire – Le handicap en questions

 

Mercredi 30 mars
de 19h à 21h

à la Maison des Associations de Solidarité
salle Potiron
(MAS, 10-18, rue des terres au curé, 75013 Paris,
M° ligne 7 : Porte d’Ivry, ligne 14 : Olympiades)

Entrée libre
Interprétation en LSF

Le Collège International de Philosophie a le plaisir de vous convier au séminaire Le handicap en questions.
Tout autant que nous le questionnons, c’est le handicap qui nous questionne. Théoriquement, existentiellement, collectivement.  Les situations de handicap  interpellent en effet les valeurs et l’expérience communes (la justice, la norme, le manque, l’image de soi, le corps, la dignité, l’altérité…). Elles nous ramènent à des pans de l’expérience humaine devenus problématiques et mettent à l’épreuve les voies d’humanisation que proposent ou tolèrent nos communautés.

Handicap et citoyenneté

avec Madame Véronique Dubarry,
Adjointe au Maire Chargée des Personnes en Situation de Handicap

Dans quelle mesure les situations de handicap modifient-elles nos représentations et nos pratiques de la citoyenneté?

Comment cette altérité s’intègre-t-elle dans la figure du citoyen? Comment pouvons nous construire un espace public qui soit aussi un espace commun? La notion de handicap est-elle une notion pertinente pour concevoir une politique publique?

 

 

 

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Colloque international de géographies des sexualités

8-10 septembre 2011 Hogeschool-Universiteit Brussel

Ce que nous considérons actuellement comme une des dimensions de la géographie des sexualités et de la queer géography est en grande partie issue de l’étude prédominante des espaces gays – hommes blancs de classe moyenne (et par la suite lesbiens) – des centres urbains nord-américains ou européens. L’éventail des travaux entrepris par les géographes des sexualités s’est étoffé et diversifié au cours des deux dernières décennies – par la prise en compte des expériences vécues par les personnes trans, LGTB de couleur et/ou issues des classes populaires , mais aussi par l’élargissement du champ d’étude aux espaces périurbains et ruraux ainsi qu’aux pays non-occidentaux. Néanmoins, et peut-être du fait de sa genèse, la tendance à réduire le champ de la géographie des sexualités à l’étude de l’homosexualité et à assumer la non-prise en compte des expériences vécues dans d’autres contextes géographiques, demeure. Cette conférence vise à contester et à modifier ces présupposés en donnant un aperçu de l’éventail des études qui ont théorisé la spatialité de la sexualité, du sexe, des identités sexuelles et des pratiques sexuelles dans (et au-delà) des contextes européens. Cette conférence se propose de réunir des chercheurs de toute l’Europe qui étudient les dimensions spatiales de la sexualité humaine. Le colloque est donc ouvert tant aux géographes qu’aux anthropologues, sociologues, aménageurs, urbanistes, architectes, politistes, juristes… Sont aussi les bienvenus les participants qui ne sont pas issus du monde académique, membres d’associations, organisations politiques ou mouvements militants. Nous encourageons les contributions sous différents formats. Parallèlement aux présentations universitaires traditionnelles, nous accueillerons des tables-rondes, des débats, des projections de film, des installations ou toute autre contribution. Nous souhaitons favoriser la mise en réseau, l’échange et le débat au-delà des frontières nationales, de langue ou de disciplines. Les propositions de sessions et de contributions peuvent porter, sans s’y limiter, sur les thématiques suivantes:

  • Interroger la place de l’Europe et la place des sexualités en Europe, les sexualités dans les périphéries de l’Europe ;
  • Remettre en cause l’américanisation des études queer ;
  • Contextualisations et historicités des récits de «progrès» ou de «retard» ;
  • Approches queer, trans et féministes des politiques du genre en Europe ;
  • Les militants, le monde universitaire et l’égalité politique en Europe ;
  • Les mouvements féministes et les politiques sexuelles radicales en Europe ;
  • La démocratie sexuelle et les dynamiques d’inclusion/exclusion dans les différents contextes européens ;
  • Homo-nationalisme, racisme et préjugés anti-musulmans au sein des communautés LGBT européennes ;
  • Les migrations queer, les mobilités et les frontières européennes ;
  • La géographie politique de la sexualité et de l’orientation sexuelle au sein de l’UE ;
  • Les géographies économiques de la prostition, du travail sexuel et de l’industrie du sexe en (et au-delà) de l’Europe ;
  • Les divers économies des vies LGBT – y compris et sans s’y restreindre les débats sur la gentrification et la commercialisation ;
  • Les vécus sexuels dans divers espaces urbains et ruraux – la campagne et les banlieues à l’épreuve du queer ;
  • Hétéronormativité, homonormativité et l’évolution des normes sexuelles dans les contextes européens ;
  • Géographies de la vie familiale dans différents contextes européens ;
  • Les géographies des vies en dehors du couple : les espaces du poly-amour, de la non-monogamie et du célibat ;
  • Méthodes et méthodologies queer, le retour à l’empirisme dans les études queer ;
  • Les liens entre les théories queer et d’autres approches théoriques critiques (y compris et de façon non exclusive les études postcoloniales, le matérialisme historique, le féminisme matérialiste, la radical géography…)

Langue: nous n’avons actuellement pas de financements pour la traduction durant le colloque. Nous prévoyons une conférence multilingue, les participants peuvent présenter dans la langue qui leur convient le mieux. L’anglais est susceptible d’être la langue utilisée par de nombreux participants.

Coût: nous essayons de rendre accessible cette conférence à tous les participants, notamment ceux qui n’ont pas accès aux financements institutionnels. Nous recherchons des soutiens pour les déplacements des participants des pays les moins favorisés. Les frais d’inscription prévus sont de 50 euros (pour les étudiants et les non-titulaires) et de 150 euros (pour les titulaires). Les contributeurs intéressés doivent envoyer un résumé (250 mots) ou une courte proposition pour une table-ronde, à pegs@ssqrg.net. La date limite est fixée au 30 avril 2011.

L’équipe d’organisation: Marianne Blidon (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, France) ; Gavin Brown (Université de Leicester, Royaume-Uni); Kath Browne (Université de Brighton, Royaume-Uni), Konstantinos Eleftheriadis (Institut universitaire européen); Eduarda Ferreira (FCSH, Universidade de Lisboa, Portugal); Simon Hutta (chercheur, Berlin/L’Open University, Royaume-Uni); Robert Kulpa (Birkbeck, University of London, Royaume-Uni); Jenny Künkel (Université Goethe de Francfort am Main, Allemagne); Maarten Loopmans (Katholieke Universiteit Leuven, Belgique); Xosé Santos Solla (University of Santiago Compostela, Spain); Paulo Jorge Vieira (Institute of Geography and Spatial Planning, University of Lisbon, Portugal); Eleanor Wilkinson (Université de Leeds, Royaume-Uni).

La conférence est parrainée par le Space, Sexualities and Queer Research Group de laRoyal Geographical Society (with Institute of British Geographers). De plus amples informations sur la conférence sont disponibles à l’adresse: ssqrg.net/pegs.

 

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Appel à contribution – Troubles mentaux, entre changement individuel, problèmes de société et mutations politiques

Samedi 30 avril 2011

Dans le cadre d’un numéro spécial intitulé « troubles mentaux, entre changement individuel, problèmes de société et mutations politiques », la revue Lien social et politiques lance un appel à contribution autour de trois thématiques: 1) troubles mentaux et perturbations sociales ; 2) politiques et dispositifs de régulation de la maladie mentale et des troubles du comportement ; 3) portée politique des principes d’intervention en santé mentale. Les déclarations d’intention d’une page doivent parvenir avant le 30 avril 2011 à Roch Hurtubise (roch.hurtubise(at)usherbrooke.ca) et à Livia Velpry (livia.velpry(at)univ-paris8.fr).

No 67 Printemps 2012 – Troubles mentaux, entre changement individuel, problèmes de société et mutations politiques

En matière de santé mentale, les gouvernements se sont dotés en France (Plan psychiatrie et santé mentale 2005-2008), au Québec (Plan d’action en santé mentale 2005-2010) et dans d’autres sociétés de politiques publiques de réorganisation des services. Ils reposent sur plusieurs principes : 1) la concertation des acteurs au travers de dispositifs d’intersectorialité visant la mise en œuvre d’actions à plusieurs niveaux et en continuité 2) la volonté affichée de mettre la personne et sa souffrance au centre des dispositifs 3) la promotion, plus ou moins formalisée, de « nouvelles » approches d’intervention telles que, par exemple, le rétablissement qui consiste à favoriser le bien-être de la personne par la reconstruction d’une identité positive et d’une vie sociale qui reconnaît ses limites (plutôt que de les masquer). Dans ces deux sociétés la prévalence des problèmes de santé mentale estimée est supérieure à la moyenne observée dans des pays comparables. De plus, au-delà de l’énoncé d’une politique, on a observé depuis dix ans un développement de pratiques et de services qui visaient à transformer la manière de penser l’action en santé mentale. Le rôle du politique y est revu et tend à faire de la prise en charge des personnes une responsabilité partagée par plusieurs acteurs plutôt que la seule responsabilité de l’État (comme dans les systèmes asilaires ou hospitalocentrés). Parallèlement, des dispositifs à visée plus sécuritaire sont mis en place, dans lesquels la dangerosité des personnes ayant des troubles mentaux, la nécessité du maintien de l’ordre public et la protection de la société occupent une place prépondérante.

L’appel à propositions comprend trois thématiques principales:

Troubles mentaux et perturbations sociales

Les troubles mentaux mobilisent les solidarités et déstabilisent les fonctionnements sociaux habituels, dans les communautés, les familles ou le milieu de travail.  Entre exclusion, étiquetage et compassion les réactions sont parfois confuses et traduisent les limites des personnes et des collectivités à composer avec des situations atypiques. À la lumière des évolutions actuelles, notamment celles citées précédemment, quelles formes prennent ces réactions aujourd’hui ? Qu’en disent les acteurs concernés, en particuliers les personnes ayant des troubles mentaux? Comment la réponse des institutions, en particulier scolaires et familiales, se transforme-t-elle et agit-elle sur la qualification des troubles – notamment autour des troubles du comportement ? Plusieurs comportements et situations sont maintenant abordés en tant que problèmes de santé mentale : troubles du lien (dépendance affective), du travail (épuisement professionnel), de l’être (personnalité limite). En regardant la manière dont les discours scientifiques, professionnels et populaires donnent une place à ces problèmes, on peut analyser une mise en forme des réalités sociales à travers les prismes de la psychiatrie et des disciplines connexes.

Politiques et dispositifs de régulation de la maladie mentale et des troubles de comportements

Les actions gouvernementales prônent le développement des approches en santé mentale basées sur une prise en compte de la complexité. Action intersectorielle, rapprochement entre sanitaire et social, plan de suivi, concertation, campagnes de promotion, défense des droits, lutte contre la discrimination, reconnaissance et réparation sont quelques exemples des stratégies d’action mises en œuvre dans les dispositifs développés.  Quelle logique préside à l’adoption, dans divers pays, d’un « plan d’action » et dans quelle mesure s’agit-il d’une « politique de santé mentale » ? Que peut-on dire des difficultés ou de l’efficacité de ces actions? Quel rôle y joue la territorialisation de l’organisation des services ? Quelles reformulations observe-t-on dans la définition des compétences et champs d’intervention professionnels sur la santé mentale parmi les différents acteurs présents (psychiatres, psychologues, travailleurs sociaux, pairs…) ? Comment ces redéfinitions s’articulent-elles avec des évolutions des savoirs et des modèles thérapeutiques, dans le cas de la psychiatrie notamment ?

Portée politique des principes d’intervention en santé mentale

Les principes et finalités de l’intervention en santé mentale définis aujourd’hui semblent dépasser les objectifs de soins et de traitement. Ils portent également une vision des personnes destinataires de l’intervention, parfois comme porteuses des solutions et levier principal de l’intervention, parfois comme personnes à risque, dérangeantes et dangereuses. La nature et les conséquences de cette reformulation pourraient être étudiées avec profit dans une perspective qui croise la sociologie, la philosophie et la science politique. En quoi le mieux-être des personnes avec des troubles de santé mentale est-il porteur d’un mieux-être collectif ? Dans le même temps, des dispositifs à visée sécuritaire, qui s’appuient sur une association entre dangerosité et troubles mentaux, proposent une tout autre figure des personnes ayant des troubles mentaux que celle véhiculée par les politiques récentes de santé mentale qui mettent l’accent sur le rétablissement. Le jeu des politiques publiques est ici complexe car la santé mentale est souvent associée à d’autres enjeux : logement, sécurité du revenu, lutte à l’exclusion, insertion, immigration, etc.

Modalités de soumission

Des déclarations d’intention (une page) de la part des personnes qui souhaitent contribuer à ce numéro doivent être envoyées à :

Roch Hurtubise (Département de service social, Université de Sherbrooke) : roch.hurtubise@usherbrooke.ca

Livia Velpry (Université Paris 8, CERMES3-Equipe CESAMES (Univ. Paris Descartes, CNRS, INSERM)) : livia.velpry@univ-paris8.fr

avant le 30 avril 2011

Comité de rédaction et conseil scientifique :

Voir la page : http://www.lsp.umontreal.ca/revue_redact_FR.html

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Parution – Body and Society
Body and Society, mars 2011, vol. 17, n°1
The Invisible Woman: The Bioaesthetics of Engineered Bodies
Lesley A. Sharp

Do Voices Matter? Vocality, Materiality, Gender Performativity
Annette Schlichter

The Body and the Senses: Visual Methods, Videography and the Submarine Sensorium
Stephanie Merchant

Liminal Biopolitics: Towards a Political Anthropology of the Umbilical Cord and the Placenta
Pablo Santoro

Mind/Body Theory and Practice in Tibetan Medicine and Buddhism
Chikako Ozawa De Silva and Brendan Richard Ozawa-De Silva

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Colloque – Risques en Afrique : conditions de vie, pouvoirs, profession, information

 

Lundi 04 avril 2011

Pessac (33607)

10 esplanade des Antilles (Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine – Domaine universitaire)

C’est dans le cadre du programme quadriennal « risques en Afrique » de la Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine, qu’un ensemble d’enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants s’est réuni pour élaborer une réflexion pluridisciplinaire sur le risque. À partir d’objets d’étude et de terrains différents, ces derniers ont échangé leur approche théorique et méthodologique en partageant leurs résultats. Cette synergie, rassemblant des analyses sur le risque dans les champs de la santé, du risque professionnel, du pouvoir politique, de l’espace-environnement et de la communication, donne lieu à ce colloque qui présentera les principaux résultats du programme, y intégrera de nouvelles réflexions et des perspectives.

Lundi 4 avril

9 h : Accueil

9 h 15 : Ouverture

Christophe BOUNEAU, Directeur de la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine
Alain D’IRIBARNE, Président du Conseil scientifique de la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine
René OTAYEK, Directeur du Laboratoire « Les Afriques dans le Monde » (LAM).

9 h 45-10 h : Intervention introductive de Simon POMEL, responsable du programme.

10 h-10 h 15 : Pause

10 h 15-12 h 45 : Table ronde. Regards croisés sur les risques en Afrique

Modérateur : Dominique DARBON, professeur en sciences politiques, IEP de Bordeaux, UMR LAM.

Participants :

Philippe AUVERGNON, directeur de recherche CNRS en droit social, COMPTRASEC, Université Montesquieu-Bordeaux IV
Eugénie AW, docteur en sciences de l’information et de la communication (SIC), directrice du CESTI (École de Journalisme), Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Daniel BLEY, anthropologue biologiste, directeur de recherche, UMR 6012 ESPACE/DESMID, CNRS/Université Aix-Marseille 2
Maurice ENGUELEGUELE, docteur en sciences politiques, directeur de l’Institut Africain pour la Gouvernance (IAG) de Dakar
Marie-Soleil FRÈRE, chercheur qualifiée en information communication, ULB (Bruxelles)
Patrick RASOLOFO, économiste, fondateur et membre de l’ONG HARDI pauvreté urbaine et rurale, Antananarivo.
12 h 45 : Pause déjeuner

14 h-16 h : Atelier 1. Les représentations des risques

Étienne DAMOME et Annie LENOBLE-BART

Marc SPINDLER, professeur émérite en missiologie des Universités de Leyde et Utrecht, chercheur associé à l’UMR 5115 LAM, Bordeaux.
« La liberté religieuse en Afrique noire et ses risques »

Maurice Soudieck DIONE, docteur en Sciences politiques et doctorant en SIC, EA MICA 4426.
« Le risque démocratique dans les interactions entre le champ politique et le champ médiatique sous le régime de l’alternance au Sénégal »

Alain KIYINDOU, professeur en SIC, Université Michel de Montaigne-Bordeaux, EA MICA 4426, Président de la Société des Sciences de l’Information et de la Communication – SFSIC.
« TIC et crise des valeurs en Afrique »

Sidiki BAMBA, docteur en SIC.
« Les espaces de discussions en Côte d’Ivoire »

Adama N’DIAYE, doctorant en SIC, EA MICA 4426, gestionnaire du club de vacances Karaiba.
« Le tourisme au Sénégal au risque de la communication »

16 h 15-18 h 45 : Atelier 2. RISQUES : CONDITIONS DE VIE, RESSOURCES, ENVIRONNEMENT, SANTÉ

Françoise DELCROIX, Chrystelle GRENIER-TORRES, Nicolas LEMOIGNE

Construction du risque

Chrystelle GRENIER-TORRES, socio-anthropologue, chercheure associée LAM, Bordeaux.
« La santé sexuelle et reproductive au carrefour de multiples facteurs de risque. Entre contraintes et subjectivité : une autonomie émergente »

Abdou BONTIANTI, géographe, chef de département, Institut de recherches en Sciences Humaines-IRSH, Université Abdou Moumouni de Niamey, Niger.
« Méthode d’évaluation des risques de pollution des eaux de surface en milieu sahélien »

Attitudes, pratiques et gestion des risques

Nicole VERNAZZA-LICHT, anthropologue de la santé, chercheure associée UMR 6012 ESPACE Université Nice-Sophia Antipolis, présidente de la Société d’Écologie Humaine-SEH.
« Perceptions et gestion du risque palustre au Cameroun : entre fatalité et action »

Jean-Philippe BERROU, doctorant en Sciences Économiques, ATER, Université Bordeaux IV GREThA UMR 5113 et Claire GONDARD-DELCROIX, économiste, maître de conférences, GRETh A, UMR 5113, Université Montesquieu Bordeaux IV.
« Le Réseau social, un atténuateur de crise ? Étude de cas portant sur les micro entrepreneurs de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) »

Martin DOEVENSPECK, docteur en géographie, chercheur, Institut de Géographie, Université de Bayreuth, Allemagne.
« La gestion du risque naturel en période de guerre à l’est de la République démocratique du Congo : une « société du risque africaine » au Lac Kivu ? »

Mondialisation et développement

Nicolas LEMOIGNE, docteur en géographie, ATER, Université Michel de Montaigne-Bordeaux, UMR 5185 ADES.
« Mondialisation et importation des modèles agricoles en Afrique. Comment la gestion du risque engendre-t-elle le risque? »

Gning KHADY, docteur en géographie, UMR 5185 ADES, Université Michel de Montaigne-Bordeaux.
« Risques, pratiques agricoles et enjeux dans le bassin arachidien sénégalais »

Élodie ROBERT, doctorante Université Michel de Montaigne-Bordeaux, ATER, université de Nantes.
« L’implantation du coton BT au Burkina Faso: quels apports, pour quels risques et quels enjeux? »

Mardi 5 avril

8 h 30-10 h 30 : Atelier 3. RISQUES POUVOIRS

Céline THIRIOT (LAM, UMR 5115, Sciences Po Bordeaux)
Appréhender le risque politique

Christian BOUQUET, professeur de géographie, Université Michel de Montaigne-Bordeaux, UMR 5115 LAM.
« Géographie politique des insécurités en Afrique »

Étudiants M2 CID GRPS de Sciences Po Bordeaux et Dominique DARBON, professeur en Sciences Politiques, IEP de Bordeaux – LAM.
« Une méthodologie de Risque Projet : exemple du Sénégal »

Mohamed JALLOH, doctorant en sciences politiques, LAM ; analyste à International Crisis Group, Dakar.
« Risques en situation de post conflit »

Déclinaisons du risque politique

Laurent FOURCHARD, historien, chargé de recherches, FNSP–LAM.
« Risques, violences urbaines et politiques de sécurité au Nigeria et en Afrique du Sud. »

Agathe MAUPIN, docteur en géographie, Université Université Michel de Montaigne-Bordeaux, ATER Université Paris IV.
« Les risques hydropolitiques en Afrique à travers la gestion des bassins transfrontaliers »

Danielle MINTEU KADJE, docteur en sciences politiques – LAM.
« Érosion de la souveraineté et migrations transnationales : les risques migratoires en Afrique sahélienne »

10 h 30-10 h 45: Pause

10 h 45-12 h 45 : Atelier 4. RISQUES PROFESSIONNELS

Animation et synthèse par Maty DIAKHATE (maître de conférences en droit social, Université de ParisVIII)

Cheick Ousane DIOP, Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal – CNTS –, Intersyndicale de prévention des risques professionnels.
« Action syndicale et risques professionnels au Sénégal (titre provisoire) »

Pierre-Étienne KENFACK, chargé de cours en droit, Université de Yaoundé II.
« Le droit des risques professionnels au Cameroun »

Paul KIEMDE, professeur en droit, Université de Ouagadougou.
« Le droit des risques professionnels au Burkina Faso (titre provisoire) »

Loïc LEROUGE, chargé de recherche CNRS en droit social, COMPTRASEC UMR CNRS 5114 Université Montesquieu-Bordeaux IV.
« Les risques professionnels au Sénégal 1 : compte-rendu de recherche (politique institutionnelle).»

Philippe AUVERGNON, directeur de recherche CNRS en droit social, COMPTRASEC UMR CNRS 5114 Université Montesquieu-Bordeaux IV.
« Les risques professionnels au Sénégal 2 : compte-rendu de recherche (instances de contrôle) »

Sandrine LAVIOLETTE, ingénieure d’études, droit social, COMPTRASEC UMR CNRS 5114 Université Montesquieu-Bordeaux IV.
« Les risques professionnels au Sénégal 3 : compte-rendu de recherche (structure d’entreprise, formalisation) »

12 h 45 : Pause déjeuner

14 h 15-15 h 15 : Table ronde de conclusion : Responsables des axes et discussion générale

15 h 45 : Clôture

COMITÉ SCIENTIFIQUE

François BART, professeur émérite de géographie, Université Michel de Montaigne, Bordeaux, UMR 5115 LAM (f.bart@sciencespobordeaux.fr)
Étienne DAMOME, postdoc en sciences de l’information et de la communication, Groupe de d’études et de recherches sur la radio (GRER), membre associé à l’EA MICA (etiennedamome@gmail.com)
Françoise DELCROIX, docteur en anthropologie sociale et culturelle et ethnologie, chargée de cours, infirmière à l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Croix Rouge Française de Bordeaux/Bègles (frandelcroix@gmail.com)
Chrystelle GRENIER-TORRES, socio-anthropologue, chercheure associée à LAM/UMR 5115, Sciences Po, Bordeaux, coordinatrice du groupe recherche-action de l’Association Genre en action (c.grenier.torres@free.fr)
Nicolas LEMOIGNE, docteur en géographie, ATER, Université Michel de Montaigne, Bordeaux, UMR 5185 ADES (colalem@yahoo.fr)
Annie LENOBLE-BART, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication, Université Michel de Montaigne, Bordeaux, EA MICA 4426 (annie.bart@u-bordeaux3.fr)
Loïc LEROUGE, chargé de recherche CNRS en droit social, COMPTRASEC UMR CNRS 5114 Université Montesquieu-Bordeaux IV (loic.lerouge@u-bordeaux4.fr)
Simon POMEL, directeur de recherche au CNRS, géographe (spomel@free.fr)
Céline THIRIOT, maître de conférences en sciences politiques, IEP de Bordeaux, UMR 5115 LAM (c.thiriot@sciencespobordeaux.fr)

Contact
Annie Bart
courriel : abart (at) u-bordeaux3 [point] fr

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Parution – Le sexe et la norme


Bruno Py et Nathalie Deffains (eds.), Le sexe et la norme, Presses Universitaires de Nancy, 2011.

 

« Jouissons sans entrave ! »
Cette formule revendique en tant que réalisation de la libération sexuelle la disparition de la norme dans le domaine du sexe. La révolution attendue a-t-elle eu lieu ? Le droit peut-il ou doit-il « réglementer » ou « normer » la sexualité qui est diverse ? De ce point de vue, le droit de la sexualité fut longtemps le droit d’une sexualité hétérosexuelle, monogame dans le cadre institutionnel de la famille. Comment s’adapte-t-il dans une société où « la sexualité de chacun procède d’une histoire singulière, sans double, écrite une fois dans l’univers et ne reproduisant jamais dans le cosmos » (Michel ONFRAY, Le souci des plaisirs, Construction d’une érotique solaire, Flammarion 2008) ?
La liberté sexuelle a pu s’affirmer dès lors que s’affaiblissait le poids de la morale traditionnelle ou de la « morale sexuelle civilisée » coupable selon Freud de la « maladie nerveuse des temps modernes » (Sigmund FREUD, La vie sexuelle, 13ème édition, PUF 1997). Ainsi, certains comportements socialement tolérés ont disparu du champ pénal (tel a été le cas de l’adultère ou encore de l’homosexualité). Pour autant, le droit n’a pas disparu de la sphère intime des relations sexuelles. L’objet de l’ouvrage est de donner un éclairage actuel et renouvelé sur les relations qu’entretiennent aujourd’hui le sexe et la norme juridique.

Première partie – La « règlementation » du sexe : de quel droit ?

Bruno PY  — Le Sexe et le Droit : un couple sulfureux

Nathalie DEFFAINS — La liberté sexuelle : Quelle liberté ? Pour quel régime ?

Deuxième partie – Le sexe dévoilé

Julie LEONHARD — La nudité toute nue

Nelly ACH — La police des publications licencieuses et pornographiques

André MOINE — La représentation de la sexualité au cinéma – Les critères juridiques de sa visibilité

Troisième partie – Le sexe sans discrimination

Jérôme BERNARD — La liberté sexuelle des mineurs : des limites utiles et fondées ?

Diane COISSARD — La Cour européenne des droits de l’Homme face à l’homosexualité

Céline BENOS — Les conséquences juridiques du traitement du transsexualisme

Quatrième partie – Questions d’éthique

Jean-Baptiste THIERRY — Libres propos sur l’assistance sexuelle au sujet de la liberté sexuelle des personnes handicapées

Jean-Philippe VAUTHIER —Le sexe sous le microscope du droit

Cinquième partie – La prostitution

Katia BLAIRON —La prostitution face aux libertés de circulation en droit de l’Union européenne

Bertrand MARION —Profession : prostitué !

Ludivine STARCK —Néo-féminisme et Prostitution

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Encore et en corps – 2011

Après le succès de l’édition 2010, elle revient à Sciences Po !

Une semaine entière pour bousculer les stéréotypes et les idées préconçues sur les questions de genre et de sexualité. Une occasion immanquable de (re)découvrir la théorie queer, de s’interroger sur le poids des normes sociales et de rencontrer de nombreux intervenants.

Au fil de conférences, de débats et d’événements interactifs, la Queer Week se propose de sensibiliser les étudiants et de susciter un intérêt pour l’étude de ces questions, que ce soit par le biais des sciences sociales, de la philosophie, du droit ou encore de l’érotisme.

L’édition 2011, Encore et en corps, abordera la théorie queer en insistant sur la façon dont s’articulent le rapport au corps et les représentations sociales, culturelles et artistiques. Un va-et-vient entre études théoriques et pratiques artistiques permettra de révéler les multiples nuances des Gender et Queer studies. Tout au long de la semaine, des clichés d’Emilie Jouvet seront exposés dans le jardin de Sciences Po. Enfin, cette deuxième édition placée sous le signe des arts et de la culture, profite d’un marrainage exceptionnel, celui de l’auteur-compositrice-interprète, Juliette Noureddine.

LUNDI 21 MARS : OPEN(MIND)ING

Ce n’est que récemment que la France a pris connaissance de la théorie queer. Trop souvent confondue avec les gender studies ou les LGBT studies, la pensée queer aborde des thématiques beaucoup plus transversales, s’élevant contre les raisonnements binaires et hiérarchiques.

Pour l’inauguration de son édition 2011, Encore et en corps, la Queer Week mêle art et théorie. Des clichés d’Emilie Jouvet, une exposition sur l’identité et une première conférence ouvrent la réflexion sur le corps, ses expressions et ses représentations dans l’univers queer.

12h15-13h : Avale ton genre.

Découverte de l’exposition d’Hélène Mourrier, artiste passionnée par le corps et le genre.

17h-19h : Conférence inaugurale par Cécile Proust.

Cécile Proust, danseuse et chorégraphe, mène depuis 2004 le projet artistique et théorique Femmeuses qui se nourrit des interactions entre féminisme, queer et postmodernisme en art.

Amphithéâtre Jean Moulin (13, rue de l’Université)

19h-21h : Cocktail d’ouverture.

Sur invitation, en présence de Juliette Noureddine et des intervenants.

Cafétéria du 13, rue de l’Université

 

MARDI 22 MARS : A MON CORPS DEFENDANT

A mon corps défendant, j’ai dansé avec un garçon. A mon corps défendant, je suis un garçon. Mes défenses abandonnées, juste pour un tango. Je veux danser encore, la décadanse.

Pour sa défense, le dira-t-il, qu’il n’y a pas d’offense ? A baiser, comme on danse, la décadence.

14h45-16h45 : Décadanse, atelier de tango argentin queer.

Venez apprendre à mener ou à suivre selon vos envies, en vous affranchissant de la répartition traditionnelle des rôles.

Salle Eugène d’Eichtal (27, rue Saint Guillaume) Sur inscription

17h-19h : Bibliothèque rose.

Présentation d’ouvrages sur la théorie queer et le genre, ainsi qu’une sélection de livres érotiques, par la librairie Violette AndCo.

Péniche (27, rue Saint Guillaume)

19h15- 21h15 : Pornographie, mauvais genre ?

Une figure incontournable du film X, face à Christine Castelain-Meunier,  sociologue au CNRS, sur le rôle de la pornographie dans la construction du genre et de la sexualité.

Amphithéâtre Eugène d’Eichtal (27, rue Saint Guillaume)

 

MERCREDI 23 MARS : CODE INCIVIL

Comment qualifierait-on des lois qui fassent place à l’Autre et au déviant ? A la femme, éternelle altérité et au queer, résolument « bizarre » ? Un code incivil ? Mais ne serait-il pas infiniment plus civil, ce code, s’il parvenait à ne pas normer l’anormal, à ne pas sexuer les femmes ?

17h-19h : Projection de La chasse (Cruising), de William Friedkin, avec Al Pacino.

Un film policier à forte valeur psychologique et une plongée dans les représentations de l’univers gay SM des années 80, en partenariat avec Plug’n’Play et le Cinéclub.

Un jeune enquêteur plein d’ambition infiltre le milieu gay pour retrouver un tueur. La chasse va progressivement se transformer en voyage initiatique, le protagoniste s’interrogeant sur son identité et ses désirs refoulés.

Amphithéâtre Jean Moulin (13, rue de l’Université)

19h15-21h15 : La loi du genre.

Conférence de Stéphanie Hennette-Vauchez,  juriste spécialiste de droit constitutionnel et de droit de la bioéthique, professeur à l’université Paris XII Créteil et à Sciences Po. Une réflexion sur les normes juridiques encadrant la manière dont les femmes jouissent de leur corps et sur leur influence quant à la place sociale accordée aux femmes.

Salle A 11 (27, rue Saint Guillaume)

 

JEUDI 24 MARS : FAIS-MOI MÂLE

Hétéronormativité [eteRƆnƆRmativite] n.f. ■ 1. Ensemble des représentations ancrées dans un point de vue hétérosexuel. 2. Promotion de l’hétérosexualité comme modèle normatif de référence en matière de comportements sexuels.

L’hétéronomativité structure les sociétés, leurs coutumes et leurs droits en imposant une hiérarchie entre le normal et le déviant.

La questionner, ça ne fera pas de mâle!

19h15-21h15 : Normal, vous avez dit normal ?

Conférence sur l’hétéronormativité de Daniel Borrillo, juriste membre du Centre de recherche et d’études sur les droits fondamentaux, et Louis-Georges Tin, agrégé et docteur ès lettres spécialiste de l’histoire de la sexualité. L’hétéronormativité s’impose violemment, rejetant ceux et celles qui ne peuvent reproduire les schémas culturels et sociétaux généralement admis. Dans ce contexte, le queer s’élève et propose une vision novatrice de la place des identités de genre dans la société.

Amphithéâtre Chapsal (27, rue Saint Guillaume)

22h-02h : IN-CORPS-IGIBLES

Soirée au Tango. 13, rue au Maire. (Entrée : 5 euros)

(Métro : Réaumur-Sébastopol ou Arts et Métiers)

 

 

VENDREDI 25 MARS : ACCORDS EN GENRE ET EN NOM

Quels sont les liens entre genre, langage et corps ? Les moyens de communication structurent notre manière de nous percevoir et de nous projeter. Comment les conduites, qu’elles soient verbales ou physiques, se façonnent-elles face au développement du queer ? En quoi le langage est-il révélateur d’une représentation hétéronormée du corps et de l’apparence ?

L’identité, le langage et la culture s’imbriquent et participent réciproquement à la déconstruction et la reconstruction du genre.

14h45-16h45 : Comme ils disent.

Conférence de Luca Greco, sociologue italien, sur la construction et l’adaptation du langage à la diversité du genre. A l’aide de ses enquêtes filmées sur le terrain, Luca Greco s’intéressera tout particulièrement aux drag-kings, à la façon dont ils parlent d’eux-mêmes et, surtout, celle dont la société parle d’eux.

Amphithéâtre Chapsal (27, rue Saint Guillaume)

17h-21h15 : Art corps.

Belles dames sur papier glacé, vraies nymphes d’enfer sur les planches, c’est  lors de la dernière conférence que Mère, sainte, putain et tous les entre-deux feront fondre les Il ou ELLE trop arrêtés. Pensées, échanges et performances sur le corps queer avec Wendy Delorme, Emilie Jouvet, Louise de Ville et Judy Minx.

Amphithéâtre Leroy-Beaulieu-Sorel (27, rue Saint Guillaume) Sur inscription

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Congrès des Cinq Continents – Effets psychosociaux de la mondialisation sur la santé mentale

 

Lyon, du 19 au 22 octobre 2011

 

 

 

Vous trouverez en ligne : http://www.congresdescinqcontinents.org/

– l’ouverture des inscriptions

– le pré-programme

– l’appel à communications et à posters

 

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5ème Journée Française de l’Allergie

22 mars 2011

Concernant 1 Français sur 4, les allergies respiratoires sont cette année au cœur du dispositif de sensibilisation. Mal connues, souvent mal traitées, ces pathologies peuvent pourtant s’aggraver sévèrement. Des solutions concrètes existent pourtant pour améliorer durablement la qualité de vie des personnes allergiques. Elles sont d’autant plus efficaces que le diagnostic est précoce.
C’est pour pallier ce déficit d’information que l’Association Asthme & Allergies et la communauté allergologique consacrent la 5ème Journée Française de l’Allergie aux allergies respiratoires avec comme mot d’ordre : « Allergies respiratoires : ne subissez plus,agissez ! ».
Le dispositif s’appuiera sur le lancement d’un site internet d’information et d’échange entre patients et allergologues : www.allergiesrespiratoiresagir.org. En parrallèle, nous sommes présents sur les réseaux sociaux par le biais de comptes Facebook (https://www.facebook.com/pages/Allergies-respiratoires-ne-subissez-plus-agissez/173284122717313?sk=wall) et Twitter (http://twitter.com/AsthmeAllergies). Sur le terrain, l’information sera relayée par de nombreux pharmaciens et dans les cabinets d’allergologie.
Coup d’envoi : un « Chat », le 22 mars, permettra aux Français d’entrer en contact avec des allergologues et d’obtenir en direct des réponses aux questions qu’ils se posent sur les allergies respiratoires.
Le site www.allergiesrespiratoiresagir.org permettra également aux internautes d’accéder à un quizz « Etes-vous concerné par les allergies respiratoires ? », des témoignages vidéos d’allergologues et de patients, des conseils pratiques…
A travers cette démarche, l’Association Asthme & Allergies entend aussi apporter son soutien à la candidature des allergies respiratoires comme Grande Cause Nationale en 2012. Les internautes auront ainsi la possibilité de soutenir cette candidature sur www.allergiesrespiratoiresagir.org et dans les salles d’attente des cabinets d’allergologues grâce aux registres de signatures prévus à cet effet.

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Parution – Journal of aging and health

Journal of aging and health, avril 2011, vol. 23, n°3

Psychosocial Interventions for the Prevention of Depression in Older Adults: Systematic Review and Meta-Analysis
Anna K. Forsman, Isabell Schierenbeck, and Kristian Wahlbeck

Acculturation and Depressive Symptoms Among Mexican American Elders New to the Caregiving Role: Results From the Hispanic-EPESE
Elizabeth A. Hahn, Giyeon Kim, and David A. Chiriboga

Environmental Sustainability in an Aging Society: A Research Agenda
Karl Pillemer, Nancy M. Wells, Linda P. Wagenet, Rhoda H. Meador, and Jennifer T. Parise

Social Stratification of Body Weight Trajectory in Middle-Age and Older Americans: Results From a 14-Year Longitudinal Study
Anda Botoseneanu and Jersey Liang

Illicit and Nonmedical Drug Use Among Older Adults: A Review
Li-Tzy Wu and Dan G. Blazer

Predictors of Body Satisfaction: Differences Between Older Men and Women’s Perceptions of Their Body Functioning and Appearance
Philipe de Souto Barreto, Anne-Marie Ferrandez, and Anne-Marie Guihard-Costa

Unmet Needs for Home and Community-Based Services Among Frail Older Americans and Their Caregivers
Banghwa Lee Casado, Kimberly S. van Vulpen, and Stacey L. Davis

Lifetime Risk and Duration of Chronic Disease and Disability
Christopher M. Murtaugh, Brenda C. Spillman, and Xing (Doreen) Wang

Defining Profiles of Functional Limitations in Groups of Older Persons: How and Why?
Björn Slaug, Oliver Schilling, Susanne Iwarsson, and Gunilla Carlsson

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