Les Editions BHMS ont le plaisir de vous annoncer la création d’une nouvelle collection intitulée ‘Hors-série’ inaugurée par la parution d’un nouvel ouvrage:

 

Marie Tavera & Vincent Barras, L’Hôpital de l’enfance de Lausanne, Histoire d’une institution pionnière de la pédiatrie suisse, Editions BHMS, XII et 188 p. 

Le destin de l’Hôpital de l’enfance de Lausanne, fondé il y a 150 ans dans le contexte du « Réveil » et de la philanthropie protestante, est à bien des titres exemplaire d’une histoire des soins à l’enfance propre à l’ensemble de l’Europe occidentale. Cet ouvrage, fondé sur une recherche originale et doté d’une iconographie inédite, en illustre un épisode particulièrement riche, celui d’une institution partagée depuis le 19e siècle jusqu’à nos jours entre volonté de protection sociale, processus de médicalisation et de développement de la spécialité pédiatrique, et souci de santé publique.
Vous pouvez commander ce volume:
– en ligne: http://www.chuv.ch/iuhmsp/formulaire_commande_bhms.html
– au moyen du bon de commande téléchargeable directement: cliquer ici
– par courriel: bhms@chuv.ch dans lequel vous préciserez votre adresse postale;
– par téléphone: +41-21-314 70 50
– par fax: +41-21-314 70 55

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Parution – Hippolyte Bernheim. Un destin sous hypnose

 

Cathy Bernheim, Hippolyte Bernheim. Un destin sous hypnose, Paris, Editions ZBZ&Cie, 2011.

Hippolyte Bernheim est un des plus grands neurologues français de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.
Ses travaux ont été essentiels dans le domaine de la psychothérapie et de l’hypnose. Pour lui, l’hypnose est susceptible de faciliter certaines applications thérapeutiques. Opposé aux thèses de Charcot, les hypothèses de Bernheim ont eu une grande influence en Europe, particulièrement en Allemagne, mais aussi aux États-Unis. Au début du XXe siècle, il est considéré comme le plus grand psychothérapeute d’Europe.
Cette biographie, rédigée par son arrière petite-nièce, rend hommage à un chercheur qui a beaucoup influencé Sigmund Freud et qui, après sa mort en 1940, a été injustement oublié, mais dont les thèses sont depuis une dizaine d’années remises au goût du jour par les neurologues contemporains (mentalisme), notamment dans le domaine des addictions.

Arrière petite-nièce d’Hippolyte, écrivain, critique de cinéma, Cathy Bernheim a été un des piliers du féminisme des années 70. Elle a aussi publié des livres pour enfants, des romans et des essais. Notons parmi ceux-ci les biographies consacrées à Marie Shelley et à Picabia, ainsi qu’un essai célèbre : L’amour presque parfait (Le Félin, 2003).

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Parution – L’énigme du handicap. Traces, trames, trajectoires


 

Jean-Sébastien Morvan, L’énigme du handicap. Traces, trames, trajectoires, Editions ERES, 2010, 256 p.

 

Histoire de chocs ou chocs d’histoires, l’énigme du handicap reste entière tant sur le plan individuel que social. Elle concerne de manière différente les enfants, parents et professionnels. À partir des mouvements de fond ‒ conscients et inconscients ‒, tantôt de refus, tantôt d’acceptation, l’éprouvé psychique fait écho à ce qui, en chacun, résonne d’identique autour du malformé, du déformé. Le handicap, ce qui « handicapte », est moins une question de dissemblance et de différence que de ressemblance et de mêmeté. 

Ce qui se donne à voir, la fixité et la perte (handicap physique), le vide et l’institution (déficience intellectuelle), l’errance et l’étrangeté (mésadaptation socio-affective), suscite mouvements de penser et de panser, tant sont profonds les effets identificatoires, de réverbération, d’ébranlement, de remobilisation, chargés d’ambivalence, à la fois de traces et trames de protection mais aussi trajectoires de dégagement. Un travail psychique s’avère alors nécessaire pour dépasser – déplacer – ce qui du moi blessé vient entraver l’accession en tant que sujet dans son individualité et dans son altérité.

Avec le souci de déboucher concrètement sur l’intervention éducative et les questions de formation, l’auteur propose ici une analyse psychodynamique de la complexité des situations où le sujet handicapé et/ou inadapté est considéré comme membre à part entière de la condition humaine dans sa finitude et dans ses possibles ouvertures.

Jean-Sébastien Morvan est psychologue clinicien. Il a été professeur à l’université du Québec à Montréal, conseiller technique au Centre technique national d’études et de recherches sur les handicaps et inadaptations, maître de conférences, professeur puis professeur émérite à l’université Paris-Descartes, faculté des sciences humaines et sociales-Sorbonne, département des sciences de l’éducation.

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Parution – Professionnels de santé et analyses des pratiques

 

 

Dominique Fablet et de Jean Chami (dir.), Professionnels de santé et analyses des pratiques, Paris, L’Harmattan, 2011, 200 p.

 

Voici le onzième ouvrage collectif sur l’analyse des pratiques professionnelles, consacré celui-là aux professionnels de santé. Il vise à explorer diverses professions concernées : médecins, infirmiers, psychologues. Quel rôle joue aujourd’hui l’analyse des pratiques dans la formation initiale et continue de ces professions ? L’investigation s’est portée sur ces catégories professionnelles qui subissent des évolutions croissantes, mais aussi sur la diversité des champs d’exercice : pratiques libérales, hospitalières, mixtes.

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Colloque – Mutations et inquiétudes : art, littérature et science à la croisée des 
chemins

 

 

jeudi, 28 avril, 2011

Salle J-4225, Pavillon Judith-Jasmin

1495, rue St-Denis UQAM

Montréal, Canada

 

Organisateurs : Jean-François Chassay, Marianne Cloutier et Stéphanie Chifflet

Les questions éthiques ne sont pas neuves en science, mais nous assistons à
 une accélération, depuis une décennie ou deux, de mutations scientifiques
 qui provoquent crises et malaises. On le voit à travers les développements
 de la génétique notamment, mais aussi dans les débats sur le nucléaire, le
 pouvoir des grandes industries pharmaceutiques, etc.

 Ce contexte singulier a un effet sur l’imaginaire contemporain. De quelle 
manière art et littérature investissent-ils la science, dans un monde où
 celle-ci est souvent associée aux pires catastrophismes? Comment sciences et
 nouvelles technologies alimentent-elles la réflexion des artistes et des 
écrivains contemporains? Est-ce que les récents développements de la science
 engendrent de nouvelles formes de savoir dans le monde de l’art et des 
lettres, et si oui comment? Ce sont là quelques-unes des questions que ce 
colloque abordera.

Horaire

9h15 Accueil

9h30 Mot d’introduction de Jean-François Chassay

Remodelage de l’humain : un remodelage du langage?

Président de séance : Sylvain David, Études françaises, Université Concordia.

9h40 Louis Lefebvre, Département de biologie, Université McGill

« Science et littérature: où est la vérité, où est la fiction? »

10h20 Stéphanie Chifflet, FIGURA, Université du Québec à Montréal

« La fabrique de l’humain dans le théâtre francophone contemporain : l’évolution en scène et en question »

Pause

11h10 Tony Thorström, L’institution des langues modernes, Université d’Uppsala, Suède

« Le post-humain dans un monde post-apocalyptique : questionnements antagonistes au prisme du roman Le Goût de l’Immortalité de Catherine Dufour ».

11h50 Alexandre Klein, Département de Philosophie/ Archives H. Poincaré UMR 7117 CNRS/ Nancy Université, France

« Transhumanisme scientifique et transgression identitaire »

12h30 Lunch

Figurer la mutation : de l’imprévisibilité à la manipulation

Présidente de séance : Véronique Cnockaert, Département d’études littéraires, Université du Québec à Montréal

14h00 Carolina Ferrer, Département d’études littéraires, Université du Québec à Montréal

« La théorie du chaos au grand écran :des métaphores cinématographiques aux glissements analogiques »

14h40 Elaine Després, Département d’études littéraires, Université du Québec à Montréal

« Métamorphoses biologiques et dédoublements cybernétiques dans la Tétralogie du Monstre d’Enki Bilal »

15h20 Marianne Cloutier, Département d’histoire de l’art, Université du Québec à Montréal

« Du fait scientifique à l’imaginaire : histoire d’une lignée cellulaire »

Pause

16h15

Conférence de clôture

Antoine Robitaille, Journaliste au Devoir et essayiste

« Le trans- et le posthumanisme, nouvelles religions ou vieilles idéologies ? »

+ Cocktail

 

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Séminaire pluridisciplinaire – Genre, Transmission, Transgression. Rapports sociaux de sexe, genre et santé

 

Dans le cadre du séminaire pluridisciplinaire « Genre, Transmission, Transgression » sous la responsabilité de Marlaine Cacouault et Ludovic Gaussot (GRESCO)

Jeudi 12 mai
14h à 17h
Hôtel Fumé, salle des séminaires, Poitiers

« Rapports sociaux de sexe, genre et santé »

Ludovic Gaussot, maître de conférences en sociologie, Poitiers :
“L’alcoolisme donne-t-il un genre ?
Consommation à risque et mortalité alcoolique au prisme du genre et de la position sociale”
A partir des données épidémiologiques disponibles, il s’agit d’étudier l’impact du genre, la transmission du « privilège » masculin en termes de normes de consommation de l’alcool, mais aussi de la position sociale, les attitudes devant la vie, la maladie, le corps, la mort, sur les consommations jugées « à risque », les morbidités et mortalités différentielles. L’analyse, menée avec Nicolas Palierne, suggère ainsi une certaine permanence des écarts sociaux (de genres et de « classes ») concernant ces normes et « transgressions ».

Nicolas Palierne, doctorant en sociologie, CADIS/EHESS :
“Alcool et « mauvais genre ». De la transgression à la reconstruction de soi. Quelle transmission dans les pratiques professionnelles ?”
A travers un travail empirique (observations et récits de vie) au sein d’un centre de soins de suite et de réadaptation en alcoologie, il s’agit de s’interroger sur la place du genre dans la maladie alcoolique. La population des « curistes » restant composée majoritairement d’hommes (75 à 80%), la présence de femmes alcoolo-dépendantes est l’objet d’un regard particulier tant de la part des soignants que des hommes en soins. En quoi la demande de soins passe-t-elle par un mode d’expression genrée de son rapport à l’alcool ? Le travail sur soi entrepris par les personnes en difficulté avec l’alcool invite dès lors, soignants et soignés, à un questionnement des normes socioculturelles, notamment de genre, qui entourent la consommation transgressive d’alcool.

Contact :

ludovic.gaussot@univ-poitiers.fr

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Séminaire Centre Cavaillès – Physique et biologie

11 mai à 13H30,

Salle Langevin,
29 rue d’Ulm au 1er étage

Cyril Rauch (Université de Nottingham)

 » Sur le rôle de la tri-dimensionnalité dans le développement tumoral »

Dans le traitement du cancer, la résistance multiple aux drogues est un phénomène très contrariant en ce qu’il limite l’efficacité des chimiothérapies courantes. Cette résistance multiple est actuellement expliquée par la surexpression et donc la présence de transporteurs de drogues membranaires.Il est généralement admis qu’un transporteur de ce type peut interagir avec les drogues et donc bloquer une quantité remarquable de drogues différentes qui n’ont pas nécessairement de rapport chimique et structurel entre elles (c’est l’aspect multiple de la résistance aux drogues). Ceci pose une question fondamentale : quel sens donner à la notion d’affinité ou de spécificité chimique dans le cadre des systèmes cellulaire cancéreux résistants aux drogues? Je discuterai de la façon dont la physique peut permettre de résoudre ce paradoxe en élargissant la notion d’affinité chimique pour y inclure celle d’affinité physique. Cette dernière étant principalement basée sur la notion d’espace et plus particulièrement de « dimensionnalité ».

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Séminaire – Histoire, Epistémologie et Philosophie des sciences du corps

 

Mercredi 25 mai 2011
Au Muséum-Aquarium de Nancy
Rue Ste Catherine
A 17h

sous la direction de Bernard Andrieu et Alexandre Klein

Alexandre Klein
« L’imaginaire du posthumain : un lieu pour repenser l’humanisme médical ?»

Alors que le renouvellement de la loi de bioéthique fait débat entre les députés, les sénateurs et les médecins, la question d’un reproblématisation de l’éthique médicale se révèle, avec plus de force encore, comme un chantier nécessaire de notre présent. L’idéal modèle du colloque singulier ne fait plus sens et le pluralisme médical demande à la médecine d’enfin prendre en compte cette société qui fut toujours le tiers de la relation médecin/malade. Mais dans notre société postmoderne où la figure de l’homme ne légitime plus le savoir, dans cette société de contrôle où les dividus s’autodéforment, comment envisager une éthique pour la discipline proprement humaine qu’est la médecine ? Faut-il abandonner l’humanisme face à cet homme contemporain fractal, fuyant et multiple ? Quelle peut être l’éthique du « nouvel homme nouveau » qui habite déjà notre quotidien ? C’est à ces questions que nous tenterons de répondre en analysant l’imaginaire du posthumain, ses présupposés philosophiques et ses conséquences anthropologiques. Nous pourrons ainsi esquisser les conditions d’une éthique (et donc d’une politique) qui réponde aux exigences de la biomédecine contemporaine et des biotechnologies sans pour autant rompre avec la médecine clinique moderne ; une éthique de l’interface singulière qui ne soit pas un alibi (Sicard), mais une philosophie pratique aux fondements et au coeur des pratiques médicales et biomédicales contemporaines.

Alexandre Klein est philosophe et historien des sciences. Après deux ans d’enseignement en Sciences de l’éducation et auprès de professionnels de santé, il achève actuellement une thèse sur le corps et le sujet dans la médecine contemporaine sous la direction de B. Andrieu à l’université Nancy 2 au sein du LHSP Archives H. Poincaré (UMR 7117 CNRS/ Nancy Université). Ses travaux portent essentiellement sur les représentations et usages du corps et leurs relations avec la constitution de l’identité, notamment dans les pratiques de santé. Il est l’auteur de plusieurs articles d’histoire, de philosophie, d’éthique et d’épistémologie de la médecine, et a dirigé en 2010 un volume collectif sur Les sensations de santé (Presses universitaires de Nancy).

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Parution – De l’Ethique de Spinoza à l’éthique médicale

 

 

Eric Delassus, De l’Ethique de Spinoza à l’éthique médicale, Presses universitaires de Rennes, Collection Philosophica, 2011, 340 p.

La maladie, qu’elle soit chronique ou aiguë, est souvent perçue comme une injustice ou une malédiction. La philosophie de Spinoza, parce «qu’elle enseigne comment nous devons nous comporter à l’égard des choses de fortune», peut donc être considérée comme la source d’une sagesse dont la vertu serait de vaincre ces représentations qui ne font qu’ajouter une souffrance inutile aux douleurs que nous impose le plus souvent la maladie.

Spinoza, qui fut lui-même malade une grande partie de sa vie, n’en est pas moins parvenu, selon ses biographes, à rédiger son Éthique et à vivre courageusement et sereinement sa condition. Il est la preuve par l’exemple que la maladie n’est pas nécessairement un obstacle sur la voie qui mène au salut. Ce travail tente de montrer en quoi sa philosophie n’est pas étrangère à une telle attitude.

L’esprit étant pour Spinoza «l’idée du corps», il faudrait pour progresser vers une appréhension plus sereine de la maladie, qu’il se constitue comme une idée adéquate. Or, le malade peut-il penser l’idée de son corps comme une idée claire et distincte ? Cette question est au centre de ce travail qui cherche à proposer, tant aux malades qu’à ceux qui les prennent en charge, des pistes de réflexion pour mieux vivre la maladie et pour mieux accompagner ceux qui en souffrent.


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Colloque – Psychopathologie et Handicap chez l’enfant et l’adolescent : Questions, Tensions, Enjeux

 

Sous le Haut Patronage du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche& du Secrétariat d’Etat à la Santé en partenariat avec
Premiers parrainages : SFPEADA – FFPP – INS HEA – ANCREAI AFPSSU – FASM Croix Marine – ANECAMSP – AFPEN – SNP – AEPP

LYON – CITÉ CENTRE DES CONGRÈS
3, 4 & 5 novembre 2011
Association francophone de Psychologie et Psychopathologie de l’Enfant et de l’Adolescent

Des évolutions importantes ont eu lieu ces dernières années dans la manière de prendre en compte, d’accompagner et de soigner les enfants et les adolescents qui présentent des souffrances psychologiques ou des troubles psychiques, associés ou non à d’autres pathologies. D’origine le plus souvent multifactorielle, le trouble ou le symptôme psychique chez l’enfant ou l’adolescent résulte d’un processus complexe qui implique des problématiques de natures diverses. Certaines pathologies ne peuvent être guéries, mais il est possible de faire évoluer leurs conséquences sur le sujet et ses proches ; d’autres troubles, plutôt réactionnels ou adaptatifs, sont rapidement réversibles ; d’autres encore ne sont qu’un épisode particulier du développement durant lequel les souffrances et les crises ne relèvent pas, ou seulement de manière temporaire, du soin spécialisé. Tout ce qui perturbe le cours habituel des apprentissages n’est pas d’origine déficitaire, neurologique ou neuropsychologique, et certains sujets atteints de troubles d’apprentissage sont plus vulnérables aux pathologies psychiques. C’est dire l’existence d’une intrication étroite et complexe entre les signifiants « handicap » et « psychopathologie » et l’intérêt de les définir sur les plans clinique et théorique.
Le concept de handicap a progressivement reçu une définition plus large, et celui de «handicap psychique» est apparu récemment en France. Or, nommer une difficulté : trouble, symptôme, déficience, handicap, multi ou polyhandicap, maladie psychique, n’est pas neutre pour les professionnels, les enfants, les adolescents en difficulté et leurs proches. En définissant le handicap comme « une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques », la loi française du 11 février 2005 intègre désormais sous ce même signifiant les déficiences intellectuelles, sensorielles, motrices, instrumentales, les multi ou poly handicaps et les troubles psychiques, au diagnostic desquels le clinicien, psychiatre ou psychologue, est convoqué. Ce qui impose un rapprochement du secteur de la pédopsychiatrie et du secteur médico-social ou médico-éducatif n’aura de conséquences positives que si les patients, leurs familles et les professionnels y sont activement associés. C’est un des objectifs de ce colloque. Pour cela, les intervenants s’attacheront à conceptualiser les liens qui existent entre les champs du handicap et de la psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent, en fonction de l’état des connaissances sur le sujet et en les mettant en perspective avec les nouvelles considérations sociales et législatives, y compris dans leur dimension économique. Avec une volonté d’ouverture à l’international, le débat, le dialogue entre les chercheurs, les praticiens, les familles, les confrontations et complémentarités des approches psychologiques et psychiatriques seront recherchées.
Il s’agira de contextualiser les questions actuelles et de les discuter au regard des apports de la psychologie, de la psychopathologie, des neurosciences et plus généralement des sciences de l’éducation et des sciences humaines et sociales. Les pratiques éprouvées et novatrices, les difficultés des équipes et des familles seront au coeur des échanges et des réflexions de ce colloque.

Télécharger le programme (pdf)

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