Students Ex Machina

Dans le cadre du colloque du Groupe pour la Recherche, l’Education et la Prospective (GREP), du 5 au 7 avril, nous sommes heureux que le projet Students Ex Machina permette la participation de quatre étudiant.e.s du Master 1 Ethique du Soin et Recherche.

Margaux Rollin, Noémie Dubruel, Rudy Organini et Gabrielle Léonétout prendront part aux discussions dans les différentes séquences thématiques.

Le détail des groupes de discussion se trouve ici. 

Margaux Rollin interviendra jeudi 5 avril à 10h50 dans le groupe « Les nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives (NBIC) sont-elles l’avenir des soins de santé ? » dont le responsable est Jean-Pierre Madier.
Noémie Dubruel et Rudy Organini interviendront jeudi 5 avril à 14h55 dans le groupe « Les limites morales doivent-elles évoluer en fonction des avancées scientifiques ? » dont le responsable est Paul-Antoine Miquel.
Gabrielle Léonétout interviendra vendredi 6 avril à 10h40 dans le groupe « Doit-on fixer des limites à la manipulation du vivant ? » dont le responsable est Didier Vilette.

 

Café éthique

Gabrielle Léonetout, Florian Martinet et Rudy Organini, trois étudiant.e.s du Master 1 éthique du soin et recherche, ont pris l’initiative d’organiser un café éthique. Deux séances ont déjà eu lieu avec succès. Les prochaines séances seront annoncées ici.

« Ce café éthique sera un lieu de débat et de rencontre. Environ une fois par mois, un intervenant présentera un sujet sur lequel il fait des recherches et publie.

Chaque séance d’une durée d’environ 1h30 sera divisée équitablement en deux : la première partie consistera en une présentation du sujet par l’intervenant qui laissera place dans un second temps au débat.

Les intervenants pourront être des professionnels de santé, des juristes, des philosophes, des essayistes… Rassurez-vous donc, ces séances ne s’apparenteront en rien aux cours magistraux que nous pouvons avoir dans nos cursus, mais seront un véritable lieu d’échanges et d’ouverture d’esprit !

Le projet sera fédératif. Il sera progressivement ouvert aux autres étudiants de santé puis à différents cursus, ceci dans le but que chacun puisse apporter des arguments au débat en fonction de ses expériences tant scolaires que sociales ou culturelles.»