Parution – Lettre de l’Observatoire du sida et des sexualités
Lettre de l’Observatoire du sida et des sexualités – n° 7, octobre 2011
Recherches en sciences humaines et sociales
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Parution – Lettre de l’Observatoire du sida et des sexualités
Lettre de l’Observatoire du sida et des sexualités – n° 7, octobre 2011
Tags: Anthropologie, Arts, Economie, Ethnologie, Etudes des sciences, Etudes Genre, Géographie, Histoire, Histoire de l'art, Littérature, Philosophie, Psychologie, Sociologie
Parution – Image et santé. Matériaux, outils, usages
Sous la direction de Florence Douguet, Thierry Fillaut, François-Xavier Schweyer (dir.) 2011. Cet ouvrage a été publié avec le soutien de la MSHB et fait suite à l’organisation des trois journées d’études « La santé par et à travers l’image ».
Fixe ou animée, muette ou parlante, l’image est omniprésente dans le secteur de la santé : techniques d’imagerie médicale, affiches de prévention sanitaire, magazines spécialisés télévisés, documentaires… Malgré la profusion des formes et des supports, l’analyse des usages de l’image en santé a jusqu’à présent trop peu fait l’objet de recherches en sciences humaines et sociales.
Cet ouvrage collectif et pluridisciplinaire explore les multiples facettes de l’image en santé à travers des approches autant pratiques que théoriques : il met en relief l’intérêt et les limites de ce média pour le chercheur et le professionnel de santé. L’image est une source et un matériau de recherche précieux pour l’historien de la santé, le sociologue ou l’anthropologue, un outil de diagnostic, de soins ou de prévention pour le professionnel, un support pédagogique et de communication. Quel qu’il soit, son usage implique une posture et des questionnements spécifiques, en plus des contraintes documentaires et de conservation inhérentes à sa matérialité.
Historiens, juristes, anthropologues, sociologues, politologues, spécialistes en communication, mais aussi ergonomes et professionnels de santé publique font état ici de leurs réflexions et de leurs pratiques de l’image.
Coordination
Tags: Anthropologie, Etudes des sciences, Histoire, Sociologie
Tags: Anthropologie, Ethnologie, Etudes Genre, Psychologie, Sociologie
Poste d’assistant-e de recherche (50%), Haute école de santé Arc-Neuchâtel
La Haute école de santé Arc met au concours sur le site de Neuchâtel un poste d’assistant-e de recherche à 50%
Vos futures fonctions
Entrée en fonction:
1er janvier 2012 pour une durée maximale de trois ans.
Salaire: selon l’échelle de salaires de la Haute école Arc (fonction assistant-e de recherche, classe 7).
Candidatures
Les personnes intéressées sont invitées à envoyer un dossier de candidature
en format pdf à Prof. Esther González Martínez, responsable du recrutement (esther.gonzalezmartinez@he-arc.ch) ainsi qu’à la contacter pour tout renseignement complémentaire.
Tags: Ethnologie, Psychologie, Sociologie
Call for Papers – From Health Behaviours to Health Practices
Simon Cohn, editor
Sociology of Health & Illness Monograph
The 20th Sociology of Health and Illness monograph will critically examine the concept of ‘health behaviours’, which is increasingly widespread in both health research and government policy. Whether already an established focus for interventions as in the UK, or only yet emergent, as in some other international settings, health behaviours are presented as self-evident topics for investigation and action. Derived from psychology, the idea that human behaviour can be divided into discrete, stable and measurable categories, and that such actions are merely the result of individual agency and rational choice, is at odds with most sociological approaches emphasising the relational nature of social life. Further, given the complex and diverse ways in which people make sense of issues relating to their health and body, it is often striking just how few of these perspectives are ever acknowledged or integrated into behavioural accounts.
The monograph will assess the limitations of the concept of ‘health behaviours’, including the widespread absence of any discussion of power or conceptualisation of sociality. It will explore whether there are different ways to problematise and conduct research into what people do in relation to their health and their experience of illness. Through both theoretical discussions and specific examples contributors should propose approaches that resist an individualising tendency. Instead they should put forward accounts that go some way to capture the complexities associated both with conventional topics, such as diet, smoking and alcohol consumption, as well as topics not normally conceived of as ‘health behaviours’, such as features of socialising with others, housing conditions and employment circumstances, which have a significant influence on health and illness.
By examining a range of situations and case studies under the general term of ‘health practices’, emphasis will be put on the emergent nature of the actions and interactions of people in their social and physical environment, thereby countering a model of a priori psychological states typically assumed to be the key causal mechanisms to explain what people do.
As well as exploring conceptual issues, the volume aspires to describe how the concept of health behaviour has enabled classic clinical research designs and methods to be expanded into new areas of investigation. By proposing alternatives to the construction of behaviours as discrete and measurable variables, novel methodologies and forms of evidence should also be accepted as means of assessing the complexity of ‘health practices’ in context.
The monograph will appear both as a regular issue of the journal and in book form. The planned publication date is February 2014. Potential contributors should send an abstract of up to 600 words to shi.behaviour@gmail.com by 31st January 2012. Informal email enquiries to this address prior to submission are welcome, as are suggestions for shorter contributions that might, with the assistance of the editor, be collated with others into more innovative submissions. Name and institutional affiliation of author(s) should also be supplied, including full contact details.
Proposals will be reviewed and potential authors notified by 31 March 2012. Those whose abstracts are short-listed will be invited to submit a finished paper by 31 July 2012. All submissions will be refereed in the usual way for Sociology of Health and Illness and should follow the journal’s style guidelines (http://www.blackwellpublishing.com/shil_enhanced/submit.asp).
Tags: Sociologie
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Séminaire – Corps, techniques et société
GT 41 de l’Association Française de Sociologie
« Corps, techniques et société »
Séminaire public 2011-2012
« Corps et techniques : Voir et connaître »
Horaire : 16h00-18h30
Lieu : CETCOPRA – Université Paris 1. 17, rue de Tolbiac. 75013 Paris. 5ème étage
(RER C ou Métro ligne 14, bus 62 ou 89)
Responsables :
Valérie Souffron (Cetcopra, Paris 1), Caroline Moricot (Cetcopra, Paris 1), Marina Maestrutti (Cetcopra, Paris 1)
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A travers l’approche socio-anthropologique qui le caractérise, le GT41 précisera cette année sa problématique précédente : « dépassement des frontières du corps par le recours à la technique, déplacement anthropologique de la définition de l’humain, distance à soi, aux autres et aux choses », en s’intéressant aux sens, à leur construction sociale et culturelle, et à leur rôle dans la construction des connaissances. Fidèles à notre préoccupation pour l’entre-deux des problématiques touchant aux corps et aux techniques, nous nous interrogerons sur les entrecroisements du regard, du toucher (voire d’autres sens) et de la technologie, dans la production des savoirs. Mise à distance des corps, regards ou touchers médiatisés, quelles visions du corps sont-elles en train d’être construites ? Quelles mises en scène, quelles mises en sens et quelles mises en savoir les technologies et ceux qui les conçoivent et qui les utilisent, contribuent-ils à élaborer ? Ces questions générales seront abordées par des ethnologues, des anthropologues, des historiens, des sociologues, des philosophes ou des praticiens, à partir de leurs recherches respectives.
Tags: Anthropologie, Etudes des sciences, Histoire, Philosophie, Sociologie
Cycle de vie de l’homme et évolution des maladies. Impact des technologies de l’information et de la communication appliquées à la santé
Tags: Anthropologie, Etudes des sciences, Psychologie, Sociologie
Mélina Balcazar Moreno et Sarah Anaïs Crevier Goulet (dir.), Pensées du corps. La matérialité et l’organique vus par les sciences sociales, Presses Sorbonne Nouvelle, 2011.
Ce début de XXIe siècle aura vu le corps s’imposer comme le « lieu commun » par excellence dans les médias mais aussi dans l’art, la littérature et les sciences humaines. Le pari de cet ouvrage est de s’en emparer en tant que carrefour disciplinaire, afin de dessiner une épistémologie du corps qui soit propre aux sciences humaines. Les différentes contributions abordent la question de la surexposition médiatique des corps en reparcourant quelques-uns des grands jalons théoriques qui, de la modernité au post-structuralisme, auront marqué les réflexions sur le corps. Sont ainsi examinés les effets de sa marchandisation ou des lois qui visent à le régir, mais aussi la question des modifications corporelles ou les problématiques du corps-machine, de l’anomal, du rapport du psychique au somatique, du matriciel. A la croisée de l’esthétique, des études littéraires, de la philosophie, des études culturelles, des études de genre et de la psychanalyse, cet ouvrage rassemble des textes qui s’ancrent dans des expériences singulières du corps et explorent en même temps la possibilité de métamorphose de celui-ci. Tout en allant au plus près de la fragilité et de la vulnérabilité du vivant, ce livre donne à voir et à penser l’infinie transformabilité de la matière qui est celle même du corps.
Melina BALCÁZAR MORENO et Sarah-Anaïs CREVIER GOULET — Avant-Propos
Préface
Mireille CALLE-GRUBER — Sur la pointe des pieds
Partie I
La pensée et l’organique
Sofiane LAGHOUATI — L’expérience du corps anormal dans l’œuvre de Claude Ollier
Joana MASÓ — De l’écriture et du corps chez Jacques Derrida
Souad KHERBI — Saisir l’ombre du corps : sur les traces du motivum de la pensée de Pascal Quignard. L’exemple d’Apronenia Avitia
Partie II
Du corps réprimé au corps fétiche
Esther COHEN — Corps scindés. Saintes et sorcières dans l’impasse de l’histoire et ses discours
Daniela CARPISASSI — Les éclats de Sarah, Baubo et Méduse : figures du « corps féminin » riant
Isis ORTIZ REYES — Face à la métaphore : Hannah Wilke
Chantal ZABUS — Chaises musicales entre l’Occident et le « non-Occident » : sexualité, modification corporelle et corporéité transnationale
Partie III
Une autre cartographie des organes
Anne BOURSE — Le corps appareillé : Figures littéraires de l’« immachination »
François VILLA — La chair du psychique, le corps du moi
Sylvie DUVERGER — Levinas au seuil des féminins-matriciels
Hervé SANSON — Jean Boullet : du corps phantasme au corps monstrueux
Partie IV
Hors le corps
Ginette MICHAUD — « … la bouche touche » (Une « scène primitive » du corps nancyen)
Jean-Yves HEURTEBISE — Penser la danse ou Qu’est-ce qu’un Corps ? (un Univers Merleau-Pontien)
Sarah-Anaïs CREVIER GOULET — « … ces traces de tomie » : la longue histoire du petit bout de peau rose
Véronique LANE — Artaud et Céline : « les choses » à leur paroxysme
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Appel à contribution – Traitements et Contraintes
EHESS, 14 et 15 juin 2012
Traitements et contraintes : approches empiriques des dispositifs de prise en charge institutionnelle.
Argumentaire
Ce colloque vise à proposer une nouvelle approche des dispositifs institutionnels à travers les thématiques croisées du traitement et de la contrainte. Alors que les recherches de Goffman sur les institutions totales, et les théories de Foucault sur les techniques de pouvoir continuent d’inspirer de nombreux travaux rapprochant la prison, l’hôpital psychiatrique et les centres de rétention administrative, cet appel à contribution entend élargir le champ de ces investigations sous l’angle des pratiques, prises en tension entre des enjeux de traitement (médical, social, juridique) et des enjeux de contrainte (enfermement, confinement, discipline, normalisation). Le cadre juridique qui définit l’institution contraignante par la notion de privation de liberté et qui sert d’appui conceptuel pour un certain nombre de recherches, se trouve ainsi éclaté, permettant d’analyser de manière plus large les différentes formes de pratiques de prise en charge dans des dispositifs institutionnels. Ce colloque vise à faire dialoguer des analyses de scènes sociales hétérogènes, qui seront mises en parallèle sans pour autant être amalgamées.
Tout en s’inscrivant dans un mouvement plus large de recherches sur les institutions contraignantes, ce colloque souhaite marquer son originalité tant sur le plan thématique que sur le plan méthodologique. Sur le plan thématique, le choix des termes “traitement” et “contrainte” invite à une exploration de la polysémie de ces notions et de la diversité des dispositifs institutionnels. Ainsi seront étudiés non pas seulement les dispositifs étatiques “souverains” (type prison), mais également des dispositifs aux frontières plus floues, soit qu’ils ne s’inscrivent pas dans une unité de lieu (par exemple, des dispositifs de suivi éclatés sur plusieurs sites), ou bien qu’ils soient délégués au secteur associatif ou privé.
Au niveau des méthodes, nous souhaitons résolument promouvoir l’enquête empirique, qu’elle soit quantitative ou qualitative, menée avec les diverses techniques des sciences sociales (ethnographie, statistiques, archives). L’enquête empirique doit être un moyen de développer une réflexion ancrée dans l’étude des faits, plutôt que dans le développement d’une théorie par trop spéculative. L’attention fine à ces dispositifs permettra d’approfondir la connaissance des différentes formes de traitements et de contraintes. Dans cette optique, nous souhaitons susciter un autre regard sur les politiques publiques dans le champ de la santé, du social et du pénal en interrogeant la manière dont elles sont mises en œuvre en pratique.
Une telle approche permettra également d’élargir la notion de contrainte pour prendre en compte non seulement le continuum existant entre force physique et assignation normative (usages de contention physique et chimique, discipline, etc.) mais également les contraintes organisationnelles, structurelles et réglementaires pesant sur la pratique. Cette autre dimension de la contrainte est encore trop rarement mise en regard de la première, quoi que des travaux s’intéressant aux professions aient souligné son importance. Comment le manque de moyens et de personnel influe sur les pratiques de prise en charge ? Quelles sont les contraintes managériales et légales ? Comment l’évolution de ces contraintes se traduit-elle dans l’évolution des rôles et des déontologies professionnelles ? Ainsi on pourra envisager d’approfondir une réflexion sur le care, considéré non pas seulement dans sa dimension éthique, mais également dans une dimension sociologique, qui tienne compte des ambiguïtés de la pratique et de la diversité des rapports de pouvoir et de domination traversant les relations des professionnels et personnes prises en charge.
Enfin l’angle thématique du traitement et de la contrainte doit permettre de prendre en compte les points de vues et pratiques des personnes prises en charge. Plusieurs études ont souligné l’importance, dans les dispositifs institutionnels étatiques, des perspectives managériales de gestion des populations, catégorisées « à risque ». Pourtant, à ces formes de standardisation s’articulent des dispositions procédurales (droits des patients, droits des détenus etc.) qui peuvent constituer des ressources pour les individus. Comment rendre compte de la diversité des expressions de la vulnérabilité, de l’adaptation ou de la résistance qui peuvent être formulées dans ces dispositifs institutionnels ?
Ces questionnements pourront être articulés à travers quatre axes.
1/ Pratiques du traitement et de la contrainte
Les pratiques du traitement et de la contrainte s’inscrivent dans une sociologie des professions qui a montré des résultats importants en matière d’analyse des dispositifs institutionnels, mais aussi de mise en évidence plus large d’inégalités sociales. Comment décrire et qualifier les pratiques professionnelles dans les dispositifs institutionnels combinant des formes de traitement et des formes de contrainte ? Quelles sont les pratiques valorisées et les pratiques disqualifiées ? Comment se répartissent les rôles et quelle est la conséquence de cette distribution sociale sur les formes effectives de contrainte et de traitement administrés dans les dispositifs ?
2/ Les transformations du traitement et de son administration.
La mise en perspective de différentes formes de traitement (médical, social, juridique) est un pari heuristique visant à comprendre des transformations transversales de la prise en charge des individus dans les dispositifs institutionnels, par exemple l’insistance de plus en plus forte sur l’autonomisation et la responsabilisation des personnes. Quel est le sens pratique de ces notions dans les dispositifs institutionnels contraignants ? Dans l’administration des traitements et l’ajustement des contraintes, quelle est la part de bureaucratisation ou d’individualisation? Quel sens est donné à ces activités par leurs acteurs ou par les personnes prises en charge ? Comment sont-elles justifiées (consentement au traitement, défaut de responsabilité entraînant recours à la contrainte, etc.) ?
3/ Le sujet pris en charge
L’étude du point de vue des personnes prises en charge pourra s’appuyer sur différentes conceptions du sujet, pour explorer les sens du traitement et de la contrainte, mais un intérêt tout particulier sera apporté aux contributions prenant en compte la place concrète des corps dans ces dispositifs de transformation/domination, assujettissement/subjectivation. Une autre question importante dans l’étude de la place des sujets dans ces dispositifs est celle du consentement : comment se fabrique le consentement au traitement ? Comment les personnes prises en charge peuvent s’adapter à la contrainte, ou bien la contourner, ou faire jouer différentes contraintes les unes contre les autres? Quelles ressources sociales sont au ressort de ces différentes attitudes face aux traitements et aux contraintes ?
4/ La position du chercheur
A cause du caractère sensible des dispositifs institutionnels considérés (du fait de la “vulnérabilité” ou de la “dangerosité” des personnes prises en charge), la position du chercheur est particulièrement problématique. En poursuivant les réflexions sur l’engagement du chercheur auprès de ses enquêtés, sur la déontologie de la recherche et son sens politique, nous souhaiterions inviter les contributeurs à considérer le lien entre cette réflexion et les enjeux méthodologiques – qu’il s’agisse des problèmes de l’étude de cas, de la montée en généralité, de l’identification des représentations dominantes etc.
Contributions.
Visant à faire dialoguer différentes recherches en sciences sociales, cette conférence accueillera les contributions de différentes disciplines en privilégiant les approches empiriques, qualitatives ou quantitatives, qui apporteront des éléments de réponse à l’une ou plusieurs des questions soulevées dans l’argumentaire. Les résumés des contributions (environ 3000 signes) présenteront l’analyse, en indiquant les sources empiriques et la méthodologie. Les résumés seront envoyés avant le 25 novembre 2011 à l’adresse: colloqueTC2012@gmail.com. Le texte de la communication (environ 50 000 signes) devra être envoyé au plus tard le 25 avril 2012 et pourra être considéré pour publication.
Comité d’organisation, comité scientifique et soutiens institutionnels.
Organisée par un groupe de travail du Réseau Jeunes Chercheurs Santé et Société réunissant une dizaine de doctorants depuis septembre 2010 (Groupe de travail Traitements et Contraintes), cette rencontre scientifique vise à permettre la confrontation d’idées, de terrains, mais aussi la rencontre entre chercheurs et la consolidation de réseaux scientifiques. Cette rencontre scientifique bénéficie à cette fin du soutien de la fondation du Campus Condorcet, de l’EHESS, et du laboratoire Iris et du Réseau Jeunes Chercheurs Santé et Société.
Comité scientifique :
Nicolas Dodier, directeur de recherches, EHESS – GSPM.
Corinne Rostaing, maître de conférences, Lyon II.
Delphine Moreau, doctorante, EHESS-GSPM.
Fabrice Fernandez, postdoctorant EHESS-Iris.
Coline Cardi, maître de conférences, Paris VIII.
Benoît Eyraud, maître de conférences, Lyon II
Tags: Anthropologie, Philosophie, Sociologie