Les lumières s’allument, les acteurs saluent et une partie du public est partie pendant la représentation. Effrayés, attristés, surpris ? Qu’est-ce qui les a poussé à transgresser les portes sacrées du théâtre ? La dramaturge et actrice espagnole Angélica Liddell monte sur scène avec son œuvre Liebestod et « s’assassine » d’abord pour ensuite attaquer le monde. Quel sens prend toute cette violence représentée ? Contribue-t-elle réellement à transmettre un message ou devient-elle simplement un moyen scénique pour susciter le débat ?

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