« Depuis trente ans, la grande faiblesse de la politique de la ville française tient à l’absence de confiance dans les habitants. Dans le refus de leur donner la moindre parcelle de pouvoir. L’Etat a multiplié les dispositifs, inventé des acronymes, expérimenté d’innombrables politiques. Il a aussi envoyé des préfets, nommé des délégués de l’Etat et donné naissance à des générations de techniciens de la politique de la ville. Mais jamais notre société n’a cherché à confier les clés des politiques urbaines aux habitants eux-mêmes. Ni même à les faire participer ». L.Bronner. La loi du ghetto. Edit Calmann-Lévy
Conférences publiques :
Bègles, 6 et 13 septembre 2012