Textes de conférences 2004

Une mesure de la performance de l’organisation sans but lucratif : la porosité

Journées de l’Association Française des Sciences Economiques, 2004
Philippe Jeannin, Université de Toulouse 3 LERASS IUT Tarbes oxymore11@aol.com
Jacques Prades, Université de Toulouse 2 Le Mirail cerises prades@univ-tlse2.fr

Assurer de solides fondements à une évaluation de la performance dans les organisations sans but lucratif (OSBL) est l’objet de cet article. Le propos de cette contribution est double : passer en revue la littérature sur le sujet et suggérer que la « porosité » est un outil fécond pour les OSBL.

Economie sociale et territoire rural: une socio-économie spatiale Journées d’études internationales « Mise au travail, pratiques solidaires, acteurs et institution », Amiens 28 Mai 2004 Jacques Prades, Université Toulouse 2 Le Mirail, Cerises

A partir de trois études de cas, l’article montre quelles sont les conditions nécessaires pour que les structures d’insertion par l’activité économique participent à une dynamique territoriale.

Lutte contre les inégalités versus lutte contre la pauvreté, un nouveau défi pour la microfinance

Conférence à l’institut CDC pour la recherche: Les defis contemporains de la microfinance – 29 Mars 2004
Jean-Michel Servet, Professeur à l’Institut Universitaire d’Etudes du Développement de Genève

1/ Montée des inégalités au cours du dernier quart de siècle. 2/ Dans l’objectif primordial de lutte contre la pauvreté, quelle est la part de la microfinance ? 3/ L’objectif de lutte contre la pauvreté, vice originel de la microfinance 4/ Lutte contre les inégalités et approche autre de l’accès pour tous aux services financiers.

Des territoires en reconversion : les faux espoirs de la croissance

« L’odyssée des lecteurs », Martigues, 4/5 Juin 2004 Jacques Prades, Université Toulouse 2 Le Mirail, Cerises

Ce texte montre que la volonté locale légitime d’une recherche de la croissance est peu crédible au niveau macro-économique mais surtout pas souhaitable en raison des effets pervers qu’elle produit. L’hypothèse est que la force de l’Europe pourrait ne reposer ni sur l’Europe économique, ni sur l’Europe sociale mais sur l’entreprise sociale européenne. On débouchera alors sur la recherche d’une troisième voie du développement territorial qui, s’il ne résout pas totalement les questions évoquées, peut limiter certains effets pervers de la croissance.